Un de ces derniers étés, nous avions pris l'habitude, quelques voyageurs et moi, séjournant à Londres, de passer les nuits à nous promener au pare Saint- Ja* mes, en nous contant des histoires jusqu'au jour, selon la maxime d'un poète inédit:
C'est l'heure de vivre aux étoiles, Les nuits sont les jours de l'été.
En sortant de Drury - Lane après les