;t)n assàsfa au « 11 vc o'cloek » de l'éléphant.
I
EN FAMILLE
Celle année-là, le premier de l'an tombait un samedi. En conséquence, la fête des souhaits cl des étrennes devait durer quarante-huit heures au lieu de vingt-quatre, et cette perspective n'attristait aucunement les enfants sur toute l'étendue du territoire français. Peut-être n'élait-elle pas dépourvue de toute menace aux yeux des parents.
Car la fêle des « étrennes » n'apporte pas seulement des
joies aux jeunes. Elle surcharge assez sensiblement le budget
des « ménages » à ressources médiocres; et, du concierge
aux « boueux », les compliments intéressés se multiplient,
exprimés par toutes sortes de gens avec lesquels on n'eut que
de très rares relations.
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