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Titre : Journal de conchyliologie

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1860-04-01

Contributeur : Fischer, Henri (1865-1916). Éditeur scientifique

Contributeur : La Saussaye, S. Petit de. Éditeur scientifique

Contributeur : Fischer, Paul Henri (1835-1893). Éditeur scientifique

Contributeur : Crosse, Hippolyte (1826-1898). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343487782

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343487782/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 26738

Description : 01 avril 1860

Description : 1860/04/01 (SER2,T4)-1860/04/30.

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5658347r

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-S-498

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 01/12/2010

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JOURNAL

DE

CONCHYLIOLOGIE.

Avril 1860.

Études anatomiques sur la Lingule anatine (L. anatina Lam.) (Suite.)

Par M. PIERRE GRATIOLET.

§ 6. DES VISCÈRES.

A. De l'intestin. — L'ensemble du canal intestinal, indiqué assez exactement par Orner, a été beaucoup mieux décrit par M. Vogt ; sa disposition générale est beaucoup plus compliquée que dans les Térébratulidées, et son étendue relative beaucoup plus grande.

La bouche est située exactement sur la ligne médiane (1), au-dessous de la masse des canaux basilaires

(1) Cette bouche est franchement dirigée du côté de l'une des valves ( celle que j'ai appelée dorsale ), et je ne puis concevoir comment M. Vogt a été assez ébloui par les raisonnements à priori d'Agassiz, pour dépenser tant d'efforts à prouver le contraire ( Mémoire cité, page 15 ). La symétrie parfaite des Brachiopodes saute, pour ainsi dire, aux yeux, et le sens de cette symétrie est déterminé de manière à ne permettre aucun doute sur l'existence d'une valve dorsale et d'une valve ventrale. Il a donc fallu revenir à cette opinion ancienne que M. Vogt qualifie de méprise grossière et qui est cependant l'expression d'une vérité incontestable.

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