Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 4 à 4 sur 18

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Les Deux Frères ; la Capote du soldat ; Bienfait de l'Empereur. Scènes militaires. (Par Jacques Arago.)

Auteur : Arago, Jacques (1790-1855). Auteur du texte

Éditeur : Baudot (Troyes)

Date d'édition : 1841

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30024397s

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : Français

Format : In-12. Pièce

Format : Nombre total de vues : 18

Description : Collection numérique : Fonds régional : Champagne-Ardenne

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5651494k

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LB51-3449

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 27/07/2009

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 100%.


Les deux Frères.

La capote du Soldat. Bienfait de l'Empereur.

Le frère du soldat se précipite dans la rivière.— l'Empereur fait une ronde. — Comme la capote manquait dans le sac du soldat, il passe à un conseil de guerre. — Le jeune frère se présente à la barre, et fait acquitter Je soldat. — Tous deux, sur le Rhin, font des actions d'éclat.

UN soir, par un ciel gris et bas, par un froid de décembre et une brise rapide de nordouest, l'empereur Napoléon revenait à cheval de St-Cloud, accompagné seulement de Duroe et de Berthier, tous deux ses amis et ses confidens. Arrivés sur la place de la Concorde, l'empereur dit : « Descendons et achevons notre route par les quais ; j'ai froid, vous aussi, sans doute, la marche nous réchauffera. » Les chevaux furent confiés aux valets, et les trois personnages, bras dessus, bras dessous, firent résonner sous leurs bottes à éperons les dalles des trotoirs, en méditant peutêtre la conquête d'un empire. Il n'en fallait