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Titre : Revue de géographie commerciale

Auteur : Société de géographie commerciale (Bordeaux). Auteur du texte

Auteur : Groupe géographique et ethnographique du Sud-Ouest. Auteur du texte

Éditeur : [s.n.] (Bordeaux)

Date d'édition : 1913-08-01

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32857090j

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32857090j/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 5567

Description : 01 août 1913

Description : 1913/08/01 (A39,N8)-1913/08/31.

Description : Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k56510197

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/01/2011

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Août 1913

La question de l'heure

Le réglage des horloges, et par suite,' la mesure du temps écoulé entre deux instants successifs, a toujours été une chose de la plus haute importance, qu'on se place au point de vue des besoins pratiques de la vie ou à celui de la précision des recherches scientifiques.

Les anciens mesuraient le temps au moyen de deux sortes d'appareils essentiellement différents : les clepsydres et les cadrans solaires.

Nous ne dirons rien des clepsydres, sur lesquelles on peut trouver des détails intéressants dans divers ouvrages très répandus, notamment 1' Astronomie populaire d'Arago et le Cours d'Astronomie élémentaire de Delaunay.

Les cadrans solaires ontété employés beaucoup plus longtemps. L'invention des' horloges à roues, qui sont connues depuis le haut moyen-âge, puisqu'on voit Haroun-al-Raschid en envoyer une à Charlemagne, ne les fit pas disparaître. Loin de là, ils ne devinrent que plus nécessaires, précisément pour qu'on pût faire indiquer à ces horloges une heure exacte.

Aussi, encore aujourd'hui, dans la plupart des maisons importantes ayant quelque ancienneté, on trouve un cadran solaire qui n'est d'ailleurs peut-être pas toujours réglé parfaitement, par suite de l'ignorance des ouvriers qui l'ont

construit.

Les traités de gnomonique étaient pourtant nombreux ;

parmi les plus célèbres, parmi ceux qui ont été publiés en

France, nous citerons le Traité d'Horlogiographie de do m

Pierre de Sainte-Marie-Magdeleine, d'Abbeville, religieux de

l'ordre des Feuillants. Cet ouvrage, réimprimé plusieurs fois

pendant le dix-septième siècle, est remarquable par le soin

avec lequel ses planches sont gravées. Indiquons encore les

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