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Titre : La chromolithographie et la photochromolithographie / par Frédéric Hesse,... ; édition française, revue et augmentée... par Albert Mouillot,... Georges Lequatre,... ; [préface de A. Valette]
Auteur : Hesse, Friedrich. Auteur du texte
Éditeur : A. Muller (Paris)
Date d'édition : 1897
Contributeur : Mouillot, Albert. Traducteur. Éditeur scientifique
Contributeur : Lequatre, Georges. Traducteur. Éditeur scientifique
Contributeur : Valette, A.. Préfacier
Sujet : Chromolithographie
Sujet : Photochromolithographie
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30601397p
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 1 vol. (VIII-262 p.) : ill., fig. et pl. ; in-8
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Description : Contient une table des matières
Description : Avec mode texte
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5627318w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-V-27005
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/11/2009
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ration est continuée jusqu'à parfaite régularité de la surface. Cette manière de procéder est également usitée pour nettoyer complètement' les pierres qu'un usage prolongé a profondément imprégnées de matière grasse.
L'opération n'est achevée qu'alors qu'aucune dépression n'est sensible à la surface, car il faut absolument une surface régulièrement plane pour que le dessin se reproduise exactement clans toutes ses parties avec les valeurs voulues par le dessinateur.
Un procédé plus rapide et assurant une perfection absolue repose sur l'emploi d'appareils mécaniques; des machines, de modèles différents, ont été construites qui permettent un dressage mécanique parfait. En principe, un double mouvement giratoire inverse est imprimé à la table et à la pierre; les axes excentrés facilitent l'opération et servent à ramener vers le centre le sable chassé sur les bords; la pression se règle à l'aide de vis (fig. 15).
Les pierres à surface très irrégulière, aussi bien que les pierres ayant déjà fourni un long service, doivent tout naturellement être soumises à un travail plus prolongé que les pierres neuves et assez bien planées, ou encore que les pierres qui n'ont servi qu'à des travaux passagers ou à des reports. Les vieilles pierres, en particulier, laissent très facilement transpercer les anciens dessins au moment de l'impression si leur dressage a laissé à désirer.
Un usage assez répandu consiste à arroser la pierre, au moment du dressage, avec de l'acide nitrique au lieu de l'eau ; c'est là une chose absolument défectueuse et qu'il faut proscrire; l'emploi de l'acide nitrique, fait sans de minutieuses précautions, amène des accidents graves.
LE PONÇAGE. •— Le dressage achevé, la pierre présente un aspect rugueux, et, en cet état, elle est tout à fait impropre à un travail quelconque; le ponçage lui donnera les qualités qui lui manquent.
On prend d'abord une pierre ponce artificielle, tenue continuellement humide, et on frotte vigoureusement la