A HENRI DEUAGB
Ce roman, vous le savez, mon cher ami, est presque une histoire,—l'histoire triste et vraie d'un coeur qui a aimé, souffert et lutté 1
C'est pourquoi je vous demande la permission de vousdédier ce livre, où il n'est, question que d'amour, à vous que je pourrais appeler, sans aucune espèce de jeu de mots, le médecin spirituel de cette affection !
Qui mieux que vous, en effet, a étudié le coeur de la femme, en général, et celui de Y actrice en particulier?
Semblable kVhomme incombustible, dans sa cage de feu, je vous ai toujours vu calme au milieu des pas-