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Titre : Le Ménestrel : journal de musique

Éditeur : Heugel (Paris)

Date d'édition : 1834-12-07

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344939836

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb344939836/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 44462

Description : 07 décembre 1834

Description : 1834/12/07 (A2,N2)-1834/12/13.

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k56212690

Source : Bibliothèque nationale de France, TOL Non conservé au département des périodiques

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 01/12/2010

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DIMANCHE 7 DÉCEMBRE 4854.

(N° 54.)

DEUXIÈME ANNÉE. — N° 2.

lEoliabovaUm^-^mociés.

Mme Duchambge.

MM.

Labarre.

Adam.

de Beauplan.

Monpou.

€oUaboraUnv&-'%8S0tit8.

MM.

Bruguière.

Masini.

Ch. Plantade.

Strunz.

Merle.

CONDITIONS D'ABONNEMENT : PARIS', DIX FRANCS PAR AN; DÉPARTEMENS, 2 FRANCS EN SUS; ÉTRANGER, 3 FRANCS. On souscrit à PARIS, au bureau du Journal, rue Richelieu, 92. Dans les Départemens, chez tous les libraires, directeurs de poste, etc.

A BRUXELLES, à la librairie moderne de l'Épine, rue Montagne-de-la-Cour, 2. Toutes les lettres doivent être adressées franc de port au Directeur du Journal.

J\D

Ole,

MM, les abonnés de Paris qui ne reçoivent pas exactement le journal, le dimanche même, sont priés de vouloir bien en prévenir l'administration par lettres même non-affranchies.

StJK LES FIA1TOS.

Nous avons déjà entretenu nos lecteurs de cette excellente entreprise. Il était dans les attributions du MÉNESTREL de parler l'un des premiers d'un établissement qui manque à Paris, et qui vient de s'ouvrir sous les auspices d'un nom fait pour le recommander au monde musical. L'entreprise spéciale de L'accord et de la location des pianos pour Paris et taca.mpagne, créée et dirigée par M. Charles Plantade, est destinée à remplir un vide qui se faisait sentir à toutes les personnes qui s'occupent de musique, et ne saurait manquer d'obtenir le plus grand succès. Depuis quelques années effectivement le goût de la musique a pris en France, et surtout dans la capitale, une extension remarquable. Partout on s'occupe de cet art, partout on l'aime et on le cultive. Un piano est devenu dans toutes les familles un objet de première nécessité, soit qu'il accompagne la romance nouvelle ou;les chefs-d'oeuvre des grands maîtres de la scène, soit qu'il remplace dans les réunions dansantes les orchestres, qui rendaient autrefois les bals si dispendieux. Le piano réclamait

réclamait impérieusement la création d'un établissement qui centralisât en quelque sorte les diverses industries qui se rattachent à cet instrument, et qui, par le fait même de cette centralisation, pût offrir au public économie, commodité, enfin tous les genres d'avantagés. Déjà nos artistes les plus distingués ont pris sous leur patronage l'Entreprise spéciale que nous annonçons, et là en effet est réuni tout ce qui concerne le piano : vente par commission et location d'instrumens de nos meilleurs facteurs; accord avec et sans abonnement par des accordeurs éprouvés et à des prix réduits; réparations faites avec le plus grand soin dans les ateliers de l'Entreprise, par des ouvriers choisis, tels sont les avantages que présente le nouvel établissement sur lequel nous ne saurions trop appeler la faveur du public.

La Sentinelle Perdue,

Opéra-comiçpie en 1 acte, paroles de M. ST-GEORGE , musique de

M. RlFAUT. — Mlle AjINETTE LEBRUN.

Un paradoxe désespérant avait été avancé dans ces derniers temps par quelques-uns de nos jugeurs satyriques : c'est que l'opéra-comique n'était plus possible en France. Au train qu'allaient les administrations précédentes du théâtre Feydeau, il est probable que ce jugement aurait fini par obtenir une éclatante consécration ; mais M. Cronier est venu à point pour saper dans sa base une assertion aussi cavalièrement émise, et aussi niaisement justifiée par l'impéritie des directions. M. Cronier a terrassé l'hydre para-