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Titre : La Nouvelle France : journal de la colonie libre de Port-Breton, Océanie

Éditeur : [s.n.] (Marseille)

Date d'édition : 1884-09-15

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 985

Description : 15 septembre 1884

Description : 1884/09/15 (A6,N73)-1884/10/14.

Description : Collection numérique : Fonds régional : Provence-Alpes-Côte d'Azur

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k56069591

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3094

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

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ADMINISTRATION 28 et 30, Rue Sainte, 28 et 30

MARSEILLE

Les Abonnements partent du 15 de chaque mois. Annonces : la ligne, 1 fr. Réclames 2 fr.

SIXIEME ANNEE

N- 73 15 Septembre 1884

Le journal parait tous les mois.

PRIX DE L' ABONNEMENT :

Pour la France 6 fr. par aq. 1 Pour l'Etranger 7 fr. par an Prix du numéro : 60 centimes.

' PRIX DES COLtECTIONS :

1879-80- 1880-81, 1881-82 et 1883-83 : 10 fr. l'une.

SOMMAIRE :

Avis. — Ce que nous voulons. — Souscriptions collectives. — La parole est aux adhérents. — Questions coloniales. — La Nouvelle Guinée. — Correspondance. — Petite chronique. — Annonces ! — Avis important. — Envois de fonds ; Le procès du Marquis de Rays. .

En vue de s'assurer, pour le moment opportun, un personnel colonial bien choisi, la Compagnie générale de Colonisation prie ses amis et adhérents de lui signaler, dès à présent, les personnes pouvant faire partie d'une expédition en Océanie.

Afin qu'il n'y ait aucun malentendu, elle fait remarquer qu'il ne peut être question actuellement ni d'émigrants ni de colons proprement dits. Ce qu'il lui faut, en premier lieu, ce sont des hommes capables et possédant des connaissances spéciales en marine et colonie, pour fonder et diriger des comptoirs detrade. Elle prcndi*ait aussi quelques ouvriers spéciaux.

La langue anglaise est indispensable, au moins pour les chefs do Comptoirs.

Des garanties pécuniaires seront demandées aux agents de la Compagnie.

Toute demande doit être adressée au siège social de la Compagnie générale de Colonisation, 48, Honda -San-Pedro pal à Barcelone (Espagne). Il ne sera répondu qu'aux demandes qui seront accompagnées de pièces établissant les aptitudes et la moralité des postulants, et appuyées des plus sérieuses références.

À partir de notre prochain numéro et sous le titre : UN SEJOUR A PORT-BRETON; nous nous proposons de publier par extraits lejoumalà.'\xà colon parti sûr la Nouvelle Bretagne.

Cette publication prouvera à nos lecteurs-que nous ne négligeons rien pour leur être agréable et les renseigner. .'

Tout en laissant à l'auteur toute la responsabilité de ses ju^ gements, rious croyons que pon récit intéressera vivement tous nos lecteurs et que chaque adhérent auraitavantageà le connaN tre. Nous comptons sur nos chers abonnés pour répandre de plus en plus La houvelle Franco. Au moment d'une reconstitution tout adhérent a intérêt à être tenu au courant au jour le jour de tout ce qui se fait.

CE QUE NOUS VOULONS

Après tout ce qui a déjà été dit dans ce journal, nous pourrions nous dispenser do longs détails et faire, en trois mots, la réponse au titre ci-dessus: oc Relever la Colonie. »

Oui, en effet, c'est là l'unique but de la Compagnie de colonisation et la seule ambition de son Conseil d'administration : RELEVERr,A.COLONIE POUR tes adhérents de la Nouvelle-France et AVEC EUX Rendre glorieuse pour ceux qui y participeront et fructueuse pour tous, une entreprise qui a été si entravée, mais que ses contradicteurs ont été forcés de reconnaître RÉELLE et POSSIBLE.

Pour cela nous, avons besoin de la confiance de tous lés adhérents, non pas d'une confiance aveugle dont nous aurions toute la responsabilité morale, mais d'une confiance réfléchie qui ne s'accorde qu'après un sérieux examen.

Cet examen préalable est bien difficile, no.ùsdirat-on ; s'il doit se faire individuelleméut, il sera même impossible à la Compagnie de, répondre à tomtes les demandes. C'est vrai. Aussi certains adhérents qui