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Notice complète:

Titre : La Nouvelle France : journal de la colonie libre de Port-Breton, Océanie

Éditeur : [s.n.] (Marseille)

Date d'édition : 1882-11-15

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 985

Description : 15 novembre 1882

Description : 1882/11/15 (A4,N41).

Description : Collection numérique : Fonds régional : Provence-Alpes-Côte d'Azur

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5606958m

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3094

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

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'<.-"• -■ SOMMAIRE :

Avis .et -Actes/officiels; ■•■**■■ Un Journaliste à RIazas. —: A la Galette "des;Tr-ièuliaitx. — Â là Bastille; —Notre,Enquête.- — Les Protestations. Rectifications. -^' Revue des Journaux — Encore le Monde. •— Extrait du Petit Provençal.-^ Un Scandale. — Réponse aux Journaux. — Calqué sur Figaro. — Utilité de la Collection complète du journal de Ja Nouvelle-France. —r\ Trésorerie dés Missions; — Un rapprochement. — Histoire de la première Mission Catholique au Vicariat de Mélanésie (suite). — Petite Correspondance; — Offres et Demandes.

Avis ET ACTES OFFICIELS

Nous; sommés informés que les : réponses'. faites; à^xcoin^ missions^ogatéiïFeSi envoyiez & Barcelone parordre ateRt;Ùfe; juge: d'instruction du Tribunal; de la, Seine: sorit toutèsv $ti: faveur de M. le marquis de Rays..

Nous nous-permettons derenouveler à nos amis l'invitation pressante dé travailler à la diffusion du journal, qui, dans ces moments:difficiles, a un rôle si grand à remplir: lutter contre la calomnie et coopérer " à la défense de notre chef .La-persécutionne diminue en rien l'intérêt puissant de notre oeuvre. Bien au contraire, il s'en trouve accru.

A partir du 15 septembre dernier toute personne qui procurera vingt abonnements aura droit à un abonnement gratuit.

Les abonnements partent du 15 de chaque mois. On peut s'abonner à Marseille, aux bureaux de l'Administration, 28 et 30, rue Sainte, et en Belgique, provisoirement, à M. Gh. Godts, 4, rue des Cultes, à Bruxelles. Mais pour tout ce qui concerne le journal, pour toutes réclamations, etc., il faut s'adresser exclusivement à l'Administration, 28 et 30, rue Sainte à Marseille, en envoyant le n° de la quittance ou la bande du dernier numéro et en ajoutant, un timbre pour la réponse, saris cela nous ne pourrions répondi'e que par la vpie de la petite correspondance.

Pour tout ce qui concerne la Société Espagnole, il faut s'adresser exclusivement à Barcelone, à M. E. de Los Reyes, 2, calle Paz délia Ensenanza.

Copie de deux lettres qui furent adressées par M. le marquis dé Rays, . en réponse à celles qui lui furent écrites pour lui demander des ren* seignementset des explications, par un adMrent qui, nous* les commu* nique.

PREMIÈRE LETTRE.

Le 3 décembre; 1^8; Monsieur, .,.;.■ •. -;;;<- .

L'impression que vous avez ressentie, et que vous m'exprimez par votre lettre en date du 29 écoulé, ne me surprend en aucune façon puisque vous: êtes naturellement étranger aux questions coloniales. .

En Amérique^ le gouvernement a vendu très souvent d'excellentes terres à raison de 1 fr. 25 l'hectare, ce qui serait encore beaucoup plus étonnant à yotrepoint de vue. Cela n'empêche pas les acquéreurs dé ces terrés d'arriver : très promptement à une fortune considérable, lorsque l'émigration se dirige vers eux.

Tout réside donc dans l'a question d'émigration et dans la rapidité avec laquelle elle se porte sur un point donné.

J'espère que les imprimés ci-joints vous donneront toute satisfaction au point de vue des renseignements que vous pourriez désirer. Nous sommes convaincus naturellement de la valeur de notre entreprise, et notre opinion est partagée par des hommes sérieux et compétents. La Société des études coloniales et maritimes, vient elle-même de nous faire tout dernièrement l'honneur de nous admettre dans son sein, exprimant ainsi la portée qu'elle veut bien accorder à notre oeuvre. Veuillez bien agréer, etc.

Signe : CH. DU BREit, MARQUIS DB RA.YS.