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Titre : La Nouvelle France : journal de la colonie libre de Port-Breton, Océanie
Éditeur : [s.n.] (Marseille)
Date d'édition : 1885-01-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 985
Description : 15 janvier 1885
Description : 1885/01/15 (A7,N77)-1885/02/14.
Description : Collection numérique : Fonds régional : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k56069079
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3094
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/01/2011
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"„_ Eettrè -de M-..- ©upréi,! ^•Notice: par M. Bupré! sur : lies Kanaqsies de
*.:■: laiNouvelfe^Brëtagnë. -^ Fontevrault ^/fe/i fe: ©Ui mquv.entent colonial
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:• Australes'{siïitef, ■' ■ ■'.:;. •.>'';'■;.: :'■
L'ALLEMAGNE ET LA NOUVELLE-FRAKCE
; Comme au 4 noyemhr.e,. fête de. Saint-Charles, nous savons que, parmi les nombreux et fidèles adhérents de .M. le marquis de Rays, plusieurs, à l'occasion du premier janvier, lui ont adressé l'expression de leurs voeux, de leur respect et ■ de leur douleur. Nous remercions avec émotion tous ces coeurs généreux et compatissants., dont le malheur ne fait qu'accroître le. dévouement ;. le noble prisonnier de Fontevrault en sera grandement consolé. Bieù veuille écouter leurs souhaits et permettre que l'année q;ui vient de commencer marque la fin d'une si cruelle , épreuve et de tant de maux !
/,.:, JSfpus prions de .nouveau, à cette: occasion,, toutes les ^personnes amies d'excuser Madame- la marquise de Rays, plongée, qu'elle est, dans la plus grande tristesse, si elle ne peut répondre personnellement aux. souhaits qui lui sont arrivés, et témoigner elle-même à tous ceux dont les sympathies lui sont connues, sa plus; vive reconnaissance.
,: On télégraphié déFEariefÔrtï^ Matin ;;;;;:;'r: .-;:"
: Dans; nos cercles finànefersy orr croit savoir' que l'Allemagne ne se : contentera: pas/des- terrifiés iàèquis actuellement dans; l'Afrique. ■ ' - :; : ^
Il paraît qu'à Berlin on songe' à ; étendre; la; T poM^ tique coloniale allemande' encore/sur divers points, et voici ceux qu?on a clioisïs : une partie delà/ cote au nord dé Natal,, dans le Transvaaî ; ''dans; les mers du sud> la Nou^elle^Irlande! et .la jSfouvèïle-- Bretagne, enfin, la partie nord-ouest de la Nouvelle^ Guinée.
Gazette du Midi, du. 1:6 décembre■ Il8j8'4.
..-,-,Melbourne, 1-9 .déçemtire 1884. .
Le bruit court que le pavillon Allemand a éLé
hissé aux îles de la NôUvelle-Bretagnè 5 'et' dé la
Nouvelle-Irlande. L'amirauté est partie des côtes
nord de la Nouvelle-Guinée. .. ;
Gazette du Midi, du 20 décembre 1884.
La Gazette de. l'Allemagne du Nprd'^:^','2ï']~dccembre, dit queles dépêches parvenues au ministère des affaires étrangères; et à l'amirauté confirment la nouvelle d'après laquelle le .pavillon allemand a été arboré par des navires de guerre sur différents points de la Nouvelle-Guinée' et de l'archipel dé'la