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Titre : La Nouvelle France : journal de la colonie libre de Port-Breton, Océanie

Éditeur : [s.n.] (Marseille)

Date d'édition : 1884-08-16

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 985

Description : 16 août 1884

Description : 1884/08/16 (A6,N72)-1884/09/14.

Description : Collection numérique : Fonds régional : Provence-Alpes-Côte d'Azur

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5606903n

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3094

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

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ADMÏNIS^A^ÔN ' SIXliTMË ANNÉE PRIX DE L'ABONNEMENT :

28 et 30^ jRiif ëaintëj ;28 et 30 N* 72 P°v la France 6 fr- »« M-1 Pour l'Etranger 7 fr. pit

; M^âiSjEiEL,jjE? 16 Août 1884 Prix du numéro : 60 centimes.

":":£és Abonnementsparient dit I*dechaque mois: PRIX DES COLLECTIONS :

—^- — 1879-80, 1880-81, 1881-82 et 1882-83:

Annoncés: là ligne* I fr. Réclames 2 fr; Le journal paraîttous les mois. 10 Fr. l'une.

SOMMAIRE :

En Cour de Cassation. —^- Ce que nous sommes, -r ta parole est aux àdhérentsi —r SyndicatSi r— A propos de la Bastile. -r- Oboclc et le marseillais PierrëArnpùx. — Le sucre dans le Queensland (sUîte)„.r- Figaro j tige par la Bourgogne. —■ Petite chronique. — La trésorerie de la Mission, -- Çompte de la trésorerie des missionsi — La poste française. — Annonces : Avis important ; envois de fonds ; Le procèsdu Marquis de Rays,

EN COUB DE CASSATION

On nous écrit de Paris :

« La pour de Cassation (Chambre correctionnelle) « a rejeté le pourvoi formé par M. le marquis de « Rays, contre l'arrêt de 14 mai de la Cour d'appel oc de Paris, qui confirmait le jugement de la hui<t tième chambre duTribunal correctionnel, du 2jan« vier dernier, lequel acondamné, malgré les preuves « fournies, l'honnête mais malheureux fondateur « de la Colonie de Port-Breton, à quatre années « d'emprisonnement ». :

Nos lecteurs se souviennent que le consul de France à Barcelone a été un des principaux agents de la République, chargé d'opporter toutes sortes d'entraves aux départs des navires, etc.; ce fonctionnaire vient d'être nommé Officier de la Légion d'honneur; que l'ambassadeur de France à Madrid qui a obtenu l'extradition en cachant à l'Espagne les vrais motifs des poursuites exercées contre M. le marquis de Rays, a été nommé Chevalier de la Légion d'honneur le 2 août 1882, le jour même de F incarcération, à Mazas, du Marquis; enfin, M. Bagneris, président de la huitième Chambre, dont l'attitude, dans le procès du Marquis, a même été

l'objet de critiques de lia presse républ'ièaineay^nGëè^ vient d'être nommé conseiller à la Çbùr d'appel de Paris, avec dispenses ayant déjà tin Mr^e conseiller àlamême.

Ces trois faits, à eux seuls, suffisent pour justifier le Marquis d'une condamnation prononcée après avoir refusé d'examiner les; preuves fournies parla défense. :

M. Bouniceam-Gesmon, seul, a été oublié jusqu'à ce jour.

CE QUI NOIJS : S011ES ' ■

On ne saurait jamais être trop clair.

Il paraît que l'article : Notre sixième année, inséré en tète du numéro 71, n7â pas été suffisamment compris par un certain nombre de lecteurs; ce qui nous oblige à y revenir.

Nous disions, dans cet article : que M. Bevenot des Haussois n'agissait pas, en son titre de Président de notre Compagnie, comme mandataire de M. le marquis de Rays et nous ajoutions qu'aucun mandat ne peut être conféré pour l'exercice de semb labiés fonctions.

S'en suit-il que l'oeuvré de civilisation chrétienne entreprise à P ort-Breton par M. le marquis de Rays, ne sera pas continuée par nous ?

Pour répondre à cette question, il suffit de rappeler sommairement les conditions dans lesquelles notre Compagnie a été constituée et surtout de pré-