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Notice complète:

Titre : La Nouvelle France : journal de la colonie libre de Port-Breton, Océanie

Éditeur : [s.n.] (Marseille)

Date d'édition : 1883-10-01

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 985

Description : 01 octobre 1883

Description : 1883/10/01 (A5,N58)-1883/10/15.

Description : Collection numérique : Fonds régional : Provence-Alpes-Côte d'Azur

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5606890g

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3094

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

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ADMINISTRATION 28 et 30, Rue Sainte, 28 et 30

MARSEILLE Les Abonnements partent du 15 de chaque mois. Annonces : la ligne, 1 fr. Réclames 2 fr.

CINQUIEME ANNEE N° 58 1" Octobre 1883

Le journal paraîtra tous les quinze jours jusqu'à la fin. du procès.

PRIX DE L'ABONNEMENT :

Pour la- France 6 fr. par an. I Pour l'Etranger 7 fr. par »D Prix du numéro : 60 centimes.

PRIX DES COLLECTIONS :

1870-80, 1880-81, 1881-82 et 1882-88: 10 fr. l'une.

SOMMAIRE :

Avis et actes officiels. — Requête au Roi d'Espagne. ■— Esquisses Coloniales : Le capitaine Henry (suite). — En Espagne. — Le Renaid Gascon et son Compère de Bourgogne : Introduction ; I" partie. — Une singulière façon de rendre ses comptes.— Correspondance. — Revue de la Presse. — Annonces : Elude sur les îles Salomon.

Avis ET ACTES OFFICIELS

Avis Importants.

Jusqu'à nouvel ordre, notre journal reste exclusivement l'organe de l'oeuvre de M. le marquis de Rays.

Toute la correspondance doit être envoyée exclusivement au siège administratif provisoire de la COMPANIA GENERAL DE COLONIZACION EN OCEANIA, 2, Calle Paz de la, Ensenanza, à BARCELONE (Espagne). L'administration décline toute responsabilité pour les lettres qui ne seraient pas adressées dans les conditions ci-dessus

Depuis le 1" juillet, nous tenons à la disposition de nos souscripteurs la collection complète des quatre années parues denotrejournal, reliée ou brochée en un seul volume.

Ce livre renfermera une table générale analytique des jnatières contenues dansée volume.

Le prix sera de 30 francs relié et de 25 francs broché.

Nous remercions bien vivement tous nos abonnés des marques incessantes qu'ils nous donnen! de leur sympathie, celle qui vient de nous être la plus sensible a été la manière

dont viennent de se renouveler les abonnements à notre 5"' année. C'est surtout, nous le savons, à M. le marquis de Rays que les lecteurs fidèles dé son journal, ont voulu, en cette circonstance,'donner un témoignage nouveau de leur confiance inaltérable en soutenant de leurs concours effectif la voix qui ne cesse de proclamer bien haut la vérité et dé demander juslice pour la victime de Mazas.

Les quelques rares abonnés qui n'ont pRS encore fait parvenir à l'Administration le prix de leur réabonnement, sont priés de le faire, à moins qu'ils ne préfèrent que nous le fassions recevoir par la poste, en y comprenant les frais de recouvrement.

Ainsi que nous l'avons depuis si longtemps promis à nos abonnés, nous avons composé une TABLE GÉNÉRALE: DES MATIÈRES, disposée par ordre-alphabétique.

C'est spécialement pour les défenseurs de M. le marquis de Rays que nous l'avons composée avant le terme de cinq années d'abord indiqué. Nous sommes actuellement en mesure de l'eiuoyer à ceux qui nous en feront la demande. Elle est du prix de 0 f r. 60 cent.

Personne ne recevra cette table gratuitement.

Des abonnés nous posent des questions pour savoir si les titres de la Colonie qu'ils ont remis aux autorités judiciaires, et qui ont été envoyés, ils ne savent où, leur seront rendus; s'ils doivent les réclamer eux-mêmes?

A ces diverses questions nous sommes nous-mêmes très embarassés pour répondre, si ce n'est que le meilleur moyen d'éviter les ennuis qu'éprouvent aujourd'hui ces adhérents, était de garder par devers eux leurs titres, la justice ou ses représentants, ne peuvent en aucun cas les forcer à s'en désaisir. Qu'ils adressent donc aujourd'hui leurs réclamations à ceux qui ont reçu les dépôts, ci. ':o forcent au besoin, à rendre des titres qu'ils n'avaient pas le droit de saisir ; car en agissant ainsi, ils ont commis un abus de pouvoir, puisque ceux dans les mains desquels ils ont saisi ces titres, en étaient légitimes possesseurs.