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Titre : La Nouvelle France : journal de la colonie libre de Port-Breton, Océanie

Éditeur : [s.n.] (Marseille)

Date d'édition : 1883-03-15

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 985

Description : 15 mars 1883

Description : 1883/03/15 (A4,N45)-1883/04/14.

Description : Collection numérique : Fonds régional : Provence-Alpes-Côte d'Azur

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k56068781

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3094

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

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ADMINISTRATION 28 et 30, Rue Sainte, 28 et 30

MARSEILLE Les Abonnements partent du 15 de chaque mois.

OUATRIEME ANNEE

N° 45

15 Mars 1883

Le jou'riaal paraît tous les mois. Tous nos dessins sont inédits.

PRE£. DE L'ABONNEMENT : Pour la France 6 fr: par an; 1; Pour l'Etranger 7 ft> par an,.

Prix du numéro : 60 centimes.

PRIX DES COLLECTIONS :

1879-80, 1880-81et_L8_81-82 : 10 fr. Vuw. Annonces : la ligne, 1 fr. Réclames 2 fr.

SOMMAIRE S

Avis et actes officiels. — Une ordonnance. — Lettre du R. P. Navarre. — Patience et Foi. — Deux poids et deux mesures. — Marche à reculons. — Notre enquête. — Adhésions à l'adresse du l" janvier 1883. — Nouvelliste de Rouen. — Petite correspondance. — Trésorerie des Missions. — Petits Cadeaux. — Dons en argent. — Offres et demandes. — Annonces.

A vus ET ACTES OFFICIELS

Avis important.

Nous rappelons qu'aucune lettre ne doit être adressée à M. Ed. de Los REYES qui a cessé de représenter, en Espagne, M. le marquis de Rays et la Colonie de Port-Breton ; toute la correspondance doit donc être envoyée exclusivement au siège administratif provisoire de la COMPANIA GENERAL DE COLONIZAGION EN ÔCEANIA et porter le nom de son secrétaire général : S 1' Don S. DE MOBELLAN, Comte de CASAFIEL, 2, Calle Paz de la Ênsenanza, à BARCELONE (Espagne).

Jusqu'à nouvel ordre, notre journal reste exclusivement l'organe de l'oeuvre de M. le marquis de Rays.

Afin de faciliter la transmission du service colonial à la. Compagnie générale décolonisation en Ocèanie, nous prions instamment nos adhérents de se mettre en relations avec cette Compagnie et de faire connaître à son secrétaire

général, les sommes qu'ils ont envoyées depuis le mois de . juillet dernier, en justifiant des reçus de la poste et en communiquant tous les accusés de réception qu'ils ont reçus. Ces renseignements sont tout-à-fâit indispensables pour rétablir l'ordre dans la comptabilité depuis l'arrestation de M. le marquis de Rays. -

L'appel' que nous ne cessons de faire à nos zélés adhérents et nombreux abonnés, de nous aider à composer ce journal mensuel, qui souffre tant de l'absence de son ancien rédacteur en chef, non encore remplacé, a été entendu. Nous remercions tous les collaborateurs que Dieu a suscités depuis de longs mois pour nous empêcher de périr.

Mais il est une prière que nous sommes obligés de leur adresser: c'est que chacun d'eux veuille bien nous autoriser à mettre son nom au bas de la communication qu'il daignera nous envoyer. Cette mesure est indispensable pour nous mettre à l'abri de suppositions peu honorables que nos ennemis se permettent vis-à-vis de la rédaction dont ils mettent en doute la loyauté. Ne nous déc ourageons pointcependant et tenons ferme devant la grosse mer.

Le phare du port a semblé luire à nos regards qui en ont été un instant éblouis. Encore quelques efforts et sa lumière vive ne sera plus une vaine illusion I

Adresser toujours les communications à l'Administratio n . du journal.

UNE ORDONNANCE

Nous Bouniceau-Gesmon, juge d'instruction près le Tribunal de première instance de la Seine, vu la procédure instruite contre le sieur du Breil, marquis de Rays, invité par mandat de comparution, à comparaître devant nous, à L'effet d'y être interrogé sur les faits de la dite contravention, déclare décliner notre compétence par la double raison :

1° Que deux ordonnances de non-lieu qu'il qualifie impro-