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Titre : La Nouvelle France : journal de la colonie libre de Port-Breton, Océanie

Éditeur : [s.n.] (Marseille)

Date d'édition : 1882-09-15

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 985

Description : 15 septembre 1882

Description : 1882/09/15 (A4,N39)-1882/10/14.

Description : Collection numérique : Fonds régional : Provence-Alpes-Côte d'Azur

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5606873z

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3094

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

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; • " ■' ADMINISTRATION \ i '§} QUATRIÈME ANNÉE PRIX DB L'ABONNEMENT :

T \ * " ' ^ / Jï» 39 . Pour la France 6 fr. par an. | Bour l'Etranger 7 fr. p>r m.

2 A, Rue Sainte-lWme 2 A 7 15 Septembre 1882 ' Prix du numéro : 60 centimes.

MARSEILLE/' llW*^/' PRIX DES COLLECTIONS :

^- -^ Le journal parait tous les mois. 1879-80, 1880-81 et 1881-82 : 10 fr. l'une.

Les Abonnements partent du 15 de chaque mois. Tous nos desttns sont inédits. Annonces : la ligne, 1 fr. Réclames 2 fr.

. , „.._. SOMMAIRE :

Avis et actes officiels. — Utilité de la collection compltte du journal de la Nouvelle-France. — Gi.md Archipel delà Nouvelle-Bretagne. Article premier : ta- Nouvelle-Ii lande — Réponse à un article du journal le Tènips, TT- Encore Gil-Blas. — Réponse au Soleil. — Réponse au Petit Méridional, de Montpelliei. — Juste appiécintion sui le dépait des colons de Port-Breton. \— Correspondance. — Histoire de la piemièie Mission Catholique au Vicai iat de Mélanésie, (suite), —Offres et demandes.— JPetite correspondance.— Dons volontaires pour la Colonie. — Trésorerie.

Avis.''ET ACTES OFFICIELS

\ . tjjsr CONFESSEUR

Nous devonsinoùs attendre à recevoir d'affligeantes nouvelles jusqu'au dénouement du procès intenté 'au vailant et pieux marquis de Rays, par M. le jugé, d'instruction. C'est ainsi que nous avons appris l'arrestation du rédacteur de la Nouvelle France-; elle a eu lieu le 31 août dernier. M. Sumien, après s'être rendu spontanément & Paris, a été écroué à Mazas, dit-on, pour être interrogé, parait-il, sur 1?affaire dé Port-Breton., Lés confesseurs de la foi ne sontils pas de tous les temps ?\Sfe serait-ce point médire de notre époque en les reléguant aux premiers âges de l'ère chrétienne? ■ ~

..... Si leur devoir est de souffrir patiemment pour la justice, le nôtoe est de prier pour leur déliyance...

Tu aùlem in nobis es. domine,... nedevelinquas nos do-^ mine Deus noster I

LE MARQUIS DE RAYS

On.nous écrit,.à la date du 3 septembre, que M. le marquis de Rays est toujours tenu sous le secret... Qu'on veut faire le.vide autour de lui...

Ceci, ajoute-tron, ne ressemble plus à de la justice : refus de secours religieux; secret depuis plus d'un mois I Les plus grands criminels ne sont point traités de la sorte.

Y aurait-il une machination ténébreuse qui emploierait des moyens d'autant plus violents que ceux qui sont chargés de l'instruction deviennentplus convaincus qu'il n'existe aucun grief sérieux contre le noble accuse ?

Et lui, le plus modeste, le plus sobre des homm.es, qui s'est dépouillé de sa fortune personnelle, en vue.de la> réussite de son oeuvre, on veutle-faire passer pom; un criminel et pour un escroc !I Cela crie vengeance au cjiel..: "

... Eh bien ! son oeuvre survivra à toutl telle est ma conviction basée sur des données consolantes.

Le marquis de Rays sera proclamé un jour, à Uvhonte de ses ennemis : le génie, et la plus loyale personnalité du siècle.

.'PREMIERE .LlîTlàE û'ON JAMt; iMV-0U&.

Pour satisfaire : aux nombreuses ■ demandes; d'adhérents, qui nous interrogent; suivies soùffràncesriu: maïquis dé Ràys à .Mazas,, su.r lés.mauvafe

allons; :reproduire;;tèxtuellement ;des; extraits) d'une lettre qui rious;arrive .d%ii..pays:,étranger.'-Elleest-datéé dul?r ;> septembre.;; - -y.: :;■- :. ■> :\ :.r::uv.:"..':) ;'.::,:;:■':;■;:-:

■•'-«■ Ybûssavezvsàn^

■ au secret à^Pàrisi par M. le jugé d?ihstruc(ionc €èïui-ci avait afeeeptede-recev.6ir.de luides renséignèmèrity...;. et maintenant, on te'tieridra; espérant, ainsi' ànéanitir te journal ! Cet

j organe dé la' Colonie; doit être on effet un cauchemar pour: Messieurs nos ennemis3;lui- seul peut jètefuîî^pêu^e lumière et dé justice sur le marquis de Rays et sur sônoeuvré. « Il faut croire .que M. le juge d'instruction est de plus en

i plus convaincu de son impuissance en présence de la loyauté

! et.de l'innocence de M. le marquis de Rays puisque les rigueurs redoublent autour.de notre noble'ami. On hepeut vraiment pas savoir où cela s'arrêtera..... alors qù\>n a fait une si grande mise en scèi.e. Il paraît qu'une garde est, jour et nuit, à la porte du marquis de Rays et personne ne