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Titre : La Nouvelle France : journal de la colonie libre de Port-Breton, Océanie
Éditeur : [s.n.] (Marseille)
Date d'édition : 1881-08-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 985
Description : 15 août 1881
Description : 1881/08/15 (A3,N26)-1881/09/14.
Description : Collection numérique : Fonds régional : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k56068536
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3094
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/01/2011
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Les Abonnements partent dit 15 Juillet de chaque: année
TROISIEME ANNEE N" 26
' ' 15 Août 1881
Le journal paraît tous les mois. Tous nos dessins sont inédits.
PRIX DE L'A-BONNEMENT :
Pour la France 5 fr.paran. I Pour l'Etrangei6 fip.paraa. Prix du numéro : 50 centimesk
PRIX DES COLLECTIONS :
1879-80etl880-81.-6ir.251'une. 12fr. 251esdem Annonces : la ligne. I fr. Réclames 2 fr. '
SOMMAIRE ":
TEXTE : Avis et actes pffiçielsi — Le Conseil Colonial. -^- Les Pavillons; -—■ La Mission.. — À son propre piège.— Histoire de la première Mission catholique au vicariat, de Mélanésie (suite). — Une visite inattendue. ■^ Histoirede la découverte des terres australes (suite). -=• Bibliographie, -rBibliothèque des Directeurs d'OEuvres de jeunesse. -^- Les petits cadeaux.
. — Annonces:.
GRAVURES : Un lit servit d'autel. —- Nègre du Gap.
Avis ET ÂG^ES OFPIOIEÏUS
Quelques-uns de nos amis, animés de trop, d'impatience, nous demandent des nouvelles directes de Port-Breton. Ils ont même exprimé le regret que notre dernier numéro n'en contînt pas.
C'est être bien exigeant et aller beaucoup^ trop vite en besogne.
. Nous ne referons pas le calcul des distances, mais si l'on veut bien réfléchir un moment on se convaincra, d'après ce que nous avons fait connaître du voyage de la Nouvelle^ Bretagne et du Marquis de Rays, qu'il: estimpossible que des nouvelles nous soient déjà parvenues, alors même.que le premier souci du commandant de l'expédition aurait été de prendre la plume avant de s'occuper des affaires les plus urgentes de la Colonie.
Or, nos lecteurs comprendront facilement que, le bien général d evant passer avant les convenances de la curiosité même la plus sympathique, il faut savoir attendre que le nouveau gouverneur soit erî mesure de délacher un de ses navires pour Manille, après avoir réorganisé la Colonie, av^nt que nous puissions recevoir des nouvelles.
Ne soyons donc pas si impatients !
Nous avons reçu des nouvelles du Chandernagor. Elles sont excellentes.
Pour les raisons que nous avons sommairement expliquées lors du départ de ce navire, nous ne donnons pas les détails de ces nouvelles.
Qu'il suffise dédire que ce navire suit, avec succès, la route et les diverses étapes qui lui ont été tracées.
L'Administration coloniale remercie, très cordialement: lés souscripteurs des; précédentes séries %a£ lui ont, donné de nouvelles marques de sy tnpalhiei en se faisant: inscrire dans là série privilégiée, dès Fondateurs. :
On sait que cette série a été créée sur la demaiiàVde quelques-uns d'entre eux,et,à.titre défaveur. IVlalgré diverses demandes qui nous sont faites,' il rie paraît pas opppr^ tun de proroger" le délai primitivement fixé. Il convient, ail' contraire, de rentrer dans la règle générale afin de ne pas compliquer la marche et^es; opérations: de la Colonie qui, par suite des récentes et importantes décisions que nos lecteurs connaissent ou vont bientôt connaître, doit consacrer désormais tous ses soins à des intérêts très graves ettrèsféconds à tous Tes! points 1 de vue.: ;
-En conséquence, la souscription a la série privilégiée est. et demeure close;pour tous les. souscripteurs qui n'étaient pas encore en instance ou en négociation à ce sujet, au moment de l'apparition du présentajournai, 15 août 1881.
S'il reste, dans les divers bureaux de la Colonie, des titres encore disponibles de cette sérieprivilégiée.ilsfëront retour à l'Administration coloniale qui en disposera, selon qu'elle; le jugera convenable, au mieux des intérêts généraux de la Colonie.
'■Donc, à partir de ce moment, la 4mo série dés bons de terrain^ à 50 fr. l'hectare reste seule en souscription. On sait que c'est la dernière série.