DIRECTION, REDACTION et ADMINISTRATION-.^'". 11 , Rue de la République ,\ 11
MARSEILLE \
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Xes Abonnements partent du 15 Juillet de chaque année
PREMIÈRE ANNÉE ! N» 12 15 Juin 1880
- Le journal paraît tous les mois.
PBIX DE L'ABONNEMENT :
Pour la France 5 fr, par an.
Pour l'Etranger 6 fr. *
Prix du numéro : 50 centimes.
Annonces : la ligne, 50 cent. Réclames 1 fr.
TIRAGE: 10,000 exemplaires
SOMMAIRE:
'TEXTE: Avis aux abonnés.— Avis et actes officiels.— Les-Majorats.— Carmenso. — Une première fête. — En vovage.— Lettre de M. l'abbé Lannuzel à M. le marquis de Rays. —TJIndia, — Nouvelles religieuses. — Petits cadeaux. — Journal du Havre. —■ Une lettre touchante. — Nos gravures. — Une histoire de Cirque. — Communication de la Société des Sucreries et Distilleries. .— Petite correspondance. — Les petits cadeaux.
GRA.VUK.ES : Entrevue du baron de La Croix et du roi Toméo. — Le docteur Febrer.
Nous engageons vivement nos abonnés à renouveler au plus lut leur abonnement, s'ils ne veulent pas éprouver de relard dans Venvoi du journal. Joindre une bande imprimée à l'appui de la demande.
Nous avons des mesures à prendre pour la confection des bandes et l'organisation définitive du service dont l'importance, toujours croissante, exige des soins nombreux. La première année a été une année d'essai dont nous devons mettre à profit l'expérience.
Nous rappelons que l'abonnement part du 4 S juillet de chaque année, sans fractionnement de semestres ni de trimestres,
et qu'il est de cinq francs par an pour la France, et dé six francs pour l'étranger,
Prière de joindre un timbre—poste de 0,40 cent, pour l'envoi de la quittance d'abonnement.
Nous prions nos abonnés de bien vouloir, autant qUe possible, ne pas envoyer le prix d'abonnement en timbres-poste.
Avxs ET ACTES OFFICIELS
Par décision de M. le MARQUIS DE RAYS, Ont été nommés membres du Conseil Colonial
MM.
LÉON ROUBAUD, notaire à Marseille. Le DOCTEUR FEBRER, citoyen américain.
Nous sommes heureux d'annoncer à nos lecteurs que les dernières difficultés pour la distribution des titres définitifs sont sur le point d'être levées.
On nous objecte encore le privilège qu'ont les Fermiers généraux de choisir les terrains à cultiver selon leur conve-