Galle Paz de la Ensenanza , 2 .
L4f- Aimnéméitts :/teïiteni: dit l$; Juillet' de chaque année
QUATRIEME ANNEE
N" 37
15 Juillet 1882
Le journal parait toU3 les mois. Tous nos dessins sont inédit t.
PRIX DE L'ABONNEMENT : Pour la France 6 fr. par ar. [ Pour l'Etranger 7 fr. par anPrix du numéro : 60 centimes.
PRIX DES COLLECTIONS :
1879-80 et 1880-81 : 10 fr. l'une. Annonces : la ligne, 1 fr. Réclames' 2 fr.
SOMMAIRE :
TEXTE : Avis et Actes officiels. — Justice et Consolation. — La Société E^pagnole.^ Une excursion à la mine San-José.— Le Chandernagor. — Les journaux.— Rapport officiel sur les derniers événements survenus à la Colonie; — Nouvelle-Jrlande. Son occupation par le marquis de Rays est - .légitime,T-T- Histoire delà; découverte des terrés australes (suite). — Dons volontaires; pour la Colonie.
Avis ET ACTES OFFICIELS
Noms.avons la douleur d'annoncer que M; le marquis'de tta^s a-été mis à la disposition du> consul; dé -Eijaneeya: Màdrif,; Nous comptons plus que janiais sur M justice rMini^ si grande cause.
Ainsi que nous l'avons annoncé dans notre dernier numéro, nous confions à la poste le soin de recouvrer à domicile l'abonnement pour 1882-83, de ceux de nos amis q\li nenousl'ont pas encore fait parvenir. ' Nous les prions de réserver bon accueil à cette légère demande. Il faut absolument assurer l'existence de notre Journal gui a plus que jamais à remplir une grande mis: sion de justice, de loyauté, d'informations et d'encouragements. On verra déjà par les graves documents publiés dans ce premier numéro de notre^ quatrième année que la persécution ne diminue en rien l'intérêt puissant de notre tEuvre. Bien au contraire, il s'en trouve accru, et nous avons pleine confiance, avec l'aide de Dieu, qu'il ne fera toujours que s'accroître.
Nous nous reprocherions, à cette occasion, de ne pas adresser l'expression de notre reconnaissance aux amis très nombreux qui, voulant nous envoyer le prix de leur réabonnement, n'en ont été empêchés que par ce motif, que les
bureaux français ne délivrent pas encore des mandats postaux pour l'Espagne. Nous publions plus loin une note à ce sujet. Nous ne remercions pas moins nos chers abonnés des précieux témoignages d'approbation et de sympathie qu'ils nous ont jirodiguès à ce sujet, témoignages'que plusieurs ont voulu accentuer d'une manière matèHelle en nous envoyant un prix plus fort que celui que nous avons fixé pour l'abonnement.
Les circonstances et la ferme actuelle: de l'organisation de nos Bureaux nous'amènent & supprimer le: service: désPetits Cadeaux.
A l'avenir, tous les-dons; de cette nature seront centralisés ànotre Trésorerie dés naissions, dont M.lé Chanoine \ferguet a bien voulu se charger, ainsi que nous l'avons annoncé dans; un de:hos précédents .numéros,, , _, Maisinoùs^eontu^ronisïàipublie^ lalisteides .dons4dlvi^s sur les indications de M. le chanoine Verguét à qui ils devront être adressés, àCareassonne, faubourg Tri valle, ÎI2.
Nous ne recevrons plus directement que les offrandes pour le majorât du St-Përe et pour l'installation en Nouvellè-rFrance; de divers ordres; religieux, soit sous forme de souscriptions nouvelles, soit sous forme de transmission de bons de terrain.
Sur les instances d'un grand nombre dé nos amis et dans la nécessité où nous nous;trouvons d'inscrire des sommes déjà versées, nous aurons une liste dé dons volontaires - pour la Colonie.
On a pu voir, enverra encore dans plusieurs des lettres par nous publiées, que des propositions multiples nous ont été faites à ce sujet : le million volontaire, le franc par hectare, l'emprunt, l'appel aux adhérents,, etc.... Nous ne pouvons exprimer assez vivement notre reconnaissance pour des marques si indéniables d'un dévouement sans exemple dans les circonstances exceptionnelles que nous traversons ensemble. Mais radministration coloniale, si odieusement calomniée, désire pour cela même ne pas intervenir d'une manière active dans ces inspirations généreuses. Elle les laisse tout entières à l'initiative de