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Titre : La Nouvelle France : journal de la colonie libre de Port-Breton, Océanie

Éditeur : [s.n.] (Marseille)

Date d'édition : 1881-04-15

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb328261098/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 985

Description : 15 avril 1881

Description : 1881/04/15 (A2,N22).

Description : Collection numérique : Fonds régional : Provence-Alpes-Côte d'Azur

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5605235w

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-3094

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/01/2011

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DIMM«9<)H etJMlNISTRATION DBUXljBE ANN É E ^ Pmra L'ABONNEMENT ^ ^ ■

\ii^4tiàa»JÉ.iiB 1D Awu IMI Prix du numéro : 50 centimes.

-•-" tio journal parait tous les moi». prix de la collection 1879-1880 : 6 fr. 25.

Cet Abonnements partent du 15 juillet de chaque année Toil, nos atteint tant inéditt. Annonces : la ligne, 1 fr. Réclame»' 2 fr.

TIKAGE; 30,000 Exemplaires

SOMMAIRE :

TEXTE : Avis et actes officiels. — La Bataille. — Simple note. — Deux réponses. — Le Figaro de l'année dernière. — Le voyage de la Nouvelle-Bretagne. — Nouvelle-France : Histoire naturelle (suite). — Fautes et remords. — Avis. — Société des Fermiers Généraux. — Causerie sur les moeurs des habitants d'Arossi, île de San-Christoval (Saloraons) : La pêche. — Cacaoyer-Cacao. — L'opinion publique. — Histoire de la découverte des terres australes (suite). — Exposé succinct des règles du langage en NouvelleFrance (A Arossi).— Etat de Libéria (suite). — Les Petits Cadeaux. — Annonces.

GRAVURES : La pêche en Nouvelle-France. — Le Cacaoyer.

Avis ET ACTES OFFICIELS

Notre Journal était sous presse quand nous avons lu avec stupéfaction dans certains journaux amis, une nouvelle absolument inexacte au sujet de la Colonie. Ces journaux affirment que le gouvernement Espagnol a donné Tordre à un navire de guerre de la station des Philippines de se rendre à Port-Breton et de l'occuper, au besoin, pour protéger la Colonie.

Nous devons à la vérité et à notre honneur de déclarer que cette nouvelle est fausse, au moins pour le moment. Nous n'avons pas le temps d'en rechercher la provenance, mais elle ne peut avoir son origine que dans le fait, que nous signalons plus loin, d'un navire de commerce espagnol qui, sur les ordres de M. le Marquis de Rays, est'parti de Manille pour Port-Breton, avec des ouvriers, pour y continuer les travaux d'installation et y attendre la Nouvelle-Bretagne.

LA QUATRIÈME SERIE

Quelques personnes nous ont exprimé le désir de voir proroger la date de clôture de la 3m 8 série à- 20 fr. L'Administration coloniale n'a pas estimé qu'il fût opportun de condescendre à ce désir. Les attaques de nos ennemis ne sauraient influer à ce point sur notre marche. D'ailleurs, les résultats déjà obtenus sont tels,et il y a tant de motifs d'espérer qu'au sortir des difficultés présentes les résultats prochains seront plus satisfaisants encore, qu'il a paru juste de consolider entre les mains des souscripteurs déjà inscrits les avantages qu'ils doivent à leur confiance, à ieur constance et à leur généreuse initiative.

Nous leurs transmettons, à cet égard, les remerciements et les félicitations de l'Administration coloniale. Mais, d'autre part, nous devions cette explication à ceux de nos amis qui étaient d'un avis différent.

En conséquence, ainsi que c'était annoncé dans le dernier et dans l'avant-dernier numéros du Journal, la quatrième série de souscriptions aux bons de terrain à cinquante francs l'hectare a été ouverte le 11 du mois courant.

C'est la dernière série.

Aussitôt après la clôture de cette dernière série et le placement, que divers indices nous indiquent comme devant être rapide, des deux cent mille bons qui restent encore disponibles sur la souscription primitivement ouverte à six cent mille bons, l'Administration coloniale se mettra à la disposition de ses adhérents pour centraliser toutes, les demandes de ventes et d'achats qui pourraient lui être adressées, de façon à faciliter ainsi les transactions. Mais, dans l'intérêt même de tous les souscripteurs, elle croit devoir déclarer dès aujourd'hui qu'afin de maintenir la valeur des bons à un taux proportionnel à celui qu'ils devront réellement avoir par LE FAIT MÊME DE

LA REALISATION COMPLÈTE DU CAPITAL NÉCESSAIRE, elle