Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 1 sur 32

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Quand même ! : bulletin mensuel d'études sociales et d'action catholique

Éditeur : [s.n.] (Angers)

Date d'édition : 1906-08-25

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32846310f

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32846310f/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 4729

Description : 25 août 1906

Description : 1906/08/25 (A4,N37).

Description : Collection numérique : Fonds régional : Pays de la Loire

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5581417c

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-R-20905

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/01/2011

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 97%.


4' Année. \° 37 25 Août 100«

BULLETIN MENSUEL

D'ÉTUDES SOCIALES & D'ACTION CATHOLIQUE

L'ENCYCLIQUE " GRAVISSIMO OFFICII "

Du io août 1906 Portant condamnation des "Associations cultuelles".

Rome a parlé, la cause est entendue. Pie X rejette les i associations cultuelles, p les catholiques français n'en constitueront pas'. Même après l'encyclique Vehementer nos qui condamnait le principe de la loi dite de Séparation, on pouvait encore discuter sur la possibilité ou l'opportunité de semblables associations. Il ne saurait y avoir, aujourd'hui, ni hésitation ni tentatived'accommodement:lespontssont coupés. Le Souverain Pontife décide que « les associations cultuelles, telles que la loi de 1905 les impose, ne peuvent absolument pas être formée? sans violer les droits sacrés qui tiennent à la vie elle-même de l'Église ; il n'est pas permis d'essayer, à leur place, quelque autre genre d'association à la fois légal et canonique tant qu'il ne sera pas clair, d'une façon certaine et légale, que ces droits y sont irrévocablement en pleine sécurité. » Il reste donc aux évêques à organiser le culte religieux en prenant « tous les moyens que le droit reconnaît à tous les citoyens. » Sa Sainteté PieX dénonce d'avance avec indignation les récriminations mensongères qu'on va répandre contre l'Église à cause du présent décret. « Nos ennemis s'efforceront de persuader au peuple que Nous n'avons pas en vue, uniquement le salut de l'Église de France; que Nous avons eu un autre dessein, étranger à la religion; que la forme République en France Nous est odieuse, et que Nous secondons, pour