Û74 LA DOUBLfi MilpRÏSfiJ
M'JW; j'ai bien dos rernerctments à vous fairo » pouf la muslquo que vous ayez pris la peine de copier » pour mol. Elle est ravissante, : ct il faut toujours ad» mirer votre goût. Vous no venez plus à nos jeudis) » vous savez pourtant tout le plaisir que nous avons à «voUsvolr.» * *
*- «Une jolie écritUro, mais bien fine) » dit Perrin en finissant * Mais, diable ! son dîner nie scie le dos ; car il faudra so mettre eh bas de solo, et pas do fume* rie après iedinerl» ^
— « Béai» malheur, vraiment ! préférer 1 la plus Jollo femmb dé i»àris h Une pipe!.... Ce quo j'âdnitëo, c'è&l Votre Irt^âtitude. Vous no nie remerciez| jiàs dd bonheur quo vous mo devez. » ■■'-l{r;-'(•"•'::* |?•,.!>'-
-K«Y6ùs!remercier! Mats,'ce n/est jjas'à^pùs'duo j'an'o^atjôndé ce dîûèt\M si ohll^ôn ^. » ' ' r-jeA'quidohc?»
— « ^ <i^aycf*tty^ rjut a été çapjtajno chez, I^QUJB, \\ aura, dit h sa fen)tne t învltQ Perrin, c'est un, ()on djable. Comment voulez-vous qu'une jollo fepimo que je n'ai yuç cm'unc^ fois pense \ iuvitex une ylcillo culotto de pcàu'comme môj? »
Châtèaufort sourit en se regardant dans la glaco trèsétroite qui décorait la chambre du commandant.
— «Vous n'avez pas do perspicacité aujourd'hui, papa Perrin. Relisez-moi co billet, ct vous y trouverez peut-étro quelquo chbso que vous n'y avez pas vu. »
Lo commandant tourna, retourna le billet, et ne vit rien.
-^«CommentI vieux dragon, » s'écria Châtèaufort, « vous ne voyez pas qu'elle vous invite afin de mo faire plaisir, seulement pour me prouver qu'elle fait cas do