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Titre : Revue de géographie commerciale
Auteur : Société de géographie commerciale (Bordeaux). Auteur du texte
Auteur : Groupe géographique et ethnographique du Sud-Ouest. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Bordeaux)
Date d'édition : 1937-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32857090j
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32857090j/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5567
Description : 01 avril 1937
Description : 1937/04/01-1937/06/30.
Description : Collection numérique : Fonds régional : Aquitaine
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5573195w
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
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Revue de Géographie Commerciale Aimée 1937 (2e trimestre)
La Géodésie Française
au XVIIe et au XVIIIe siècle
(Suite et tin)
Nous, ne devons pas oublier de dire que, comme Maupertuis, il fit partie de l'Académie Française; qui le nomma, en 1769, en remplacement de M. de Vauréal, éVèque de Rennes. Il fut reçu par Buffon, dont le discours est resté célèbre.
Pour en finir avec l'expédition du Pérou, il nous faut dire quelques mots encore sur les officiers espagnols qui y avaient pris part.
Antonio de Ulloa fut de retour à Quito le 27 lévrier 1744. Là, il put observer une comète remarquable qui avait six queues divergeant du noyau, ce qui lui attira l'attention du grand public et fit que les dames se coiffèrent à la pûmète. Ce qui est plus important, c'est que son apparition détermina la vocation astronomique de Jérôme de Lalande, alors âgé de douze ans, ainsi que celles de Messier et de Maskelyne.
Us partirent du Callao le 22 octobre et arrivèrent, vingtneuf jours après à la Conception où ils restèrent jusqu'aux premiers jours de janvier 1745. Ne sachant pas que la France et l'Angleterre étaient en état de guerre, ils partirent sur un navire français, se croyant plus eu sûreté si le pavillon d'une nation neutre les protégeait. Mais ils eurent à combattre contre deùx^^^i|ijaiiglais, qui eurent la victoire. On fit prisonnief^A; de ITOpà, qui eut à subir do,