Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 1 sur 212

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Journal de conchyliologie

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1933-06-25

Contributeur : Fischer, Henri (1865-1916). Éditeur scientifique

Contributeur : La Saussaye, S. Petit de. Éditeur scientifique

Contributeur : Fischer, Paul Henri (1835-1893). Éditeur scientifique

Contributeur : Crosse, Hippolyte (1826-1898). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343487782

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343487782/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 26738

Description : 25 juin 1933

Description : 1933/06/25 (VOL77,N2).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55680433

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-S-498

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 01/12/2010

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96%.


JOURNAL

DE

CONCHYLIOLOGIE

2m° Trimestre 1933

MÉTAMORPHOSES CHEZ LES MOLLUSQUES TESTACÉS

Par Edouard LAMY.

L'embryon des Mollusques est typiquement une trochosphère qui acquiert un appareil de natation, le vélum, et un organe commun à tous, l'invagination préconchylienne, sécrétant une mince pellicule chitineuse dorsale, qui se calcifié bientôt pour donner le premier rudiment de la coquille : ce stade, adapté à la vie pélagique, est la larve véligère.

Chez les Gastéropodes, la coquille primitive, qui a d'abord la forme de verre de montre, prend ensuite celle d'un dé à coudre, puis se contourne en spirale.

Toutes les larves de Prosobranches et d'Opisthobranches ont une coquille enroulée, mais, lorsque la larve véligère a nagé pendant un temps variable selon les espèces et les circonstances, elle subit une brusque métamorphose. Celle-ci est très grande chez les Nudibranches, la coquille disparaissant et la partie enroulée du corps se résorbant. Chez les Prosobranches, elle se réduit à la perte des organes locomoteurs, c'est-àdire à la résorption du vélum, et la larve, tombant sur le fond, change son existence planctonique contre un mode de vie rampante.

Très souvent les particularités propres à la coquille