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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...
Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte
Éditeur : A. Picard et fils (Paris)
Date d'édition : 1899
Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique
Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8
Format : Nombre total de vues : 431
Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20
Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon
Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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MÉMOIRE AUX PUISSANCES AIMÉES. 39 Jt dans cet ermitage de Marciana que Sa Majesté eut
C'est dans cet ermitage de Marciana que Sa Majesté eut la visite d'une dame dont on a beaucoup parlé dans le temps et qu'on crut être l'impératrice Marie-Louise. Cette dame était Polonaise >. L'Empereur la reçut et la fit repartir immédiatement avec un temps qui aurait pu intimider les marins les plus courageux ». Pendant le peu de jours que Sa Majesté habita l'ermitage de Marciana, Elle n'eut presque point de militaires pour la garder Elle admit aussi très peu de personnes à sp société.
En même temps que Sa Majesté s'occupait de l'agrément des demeures qu'EUe voulait habiter tour à tour, Elle faisait ouvrir des routes afin de rendre les communications do l'Ile plus faciles, et, ce qui était plus essentiel, Elle formait une colonie à la Piauosa 4, petite Ile voisine très productive, qu'Elle voulait restituer à l'agriculture et sur laquelle déjà l'on élevait des forts pour s'opposer aux tentatives des Turcs, qui en ont plusieurs fois détruit la population. L'Empereur fit diverses visites à la colonie naissante, et toujours il les fit accompagné de quelques familles recommandables de l'ile, aux amusements desquelles Sa Majesté ne dédaignait pas de se mêler durant lo voyage.
Madame mère » était fixée à l'ile d'Elbe. Tout le monde avait remarqué avec attendrissement l'empressement quo i. C'était M" Walewaka, venue avec «on fils, lequel avait quelque re«. semblance aveo le llol de Home. ce qui contribua A augmenter la con. fusion.
a. Pon» raconte en détail dans ses Soutenir) ce dangereux voyage et les efforts faite par Napoléon, trop tard, pour empêcher M« Walewtka de s embarquer.
5. Voir un grand nombre do lettres et d'ordre* relatifs aux comraunl. cations d*ns la Urghtre de Vile d'Hibe.
4. Tout un chapitre <Vl, p. Joa-îii) des Sonrenln de l'on* est eonnaeré a cette colonisation, qui fut trop vite Interrompue pour donner aucun H. .uUat,
6. Voir baron Lammv, Madame «ère, Xapoieonti mater.