VIII INTRODUCTION. de confiance et l'importance qu'il fant attribu
de confiance et l'importance qu'il faut attribuer 4 ses intoraaUoni.
1.
Pon» ne semblait pu àestiné par sa naissance et m carrière, jusqu'en 1814, h devenir quelques années plus tard un historien. Il était avant tout un homme d'action, et peu d'existencea, même pendant les«troublea années de la Révolution, ont été plus tourmentées et plus aventureuses que la sienne. Sa littérature ne s'evpllque que par son caractère, et le détail seul de sa biographie agitée fait comprendre la formation de ee caractère trtts passionné et très loyal à la fois. Le récit de m vie est donc nécessaire à montrer comment s'est trempée la fierté de notre autour, à queUe école s'est formée sa foi politique. par quelles épreuves se développa en lui le senti- ment de l'honneur qui a été la dominante de toute s* vie. André Pons naquit à Cette ea ijja Son pere était nn au- bergiste espagnol, très pauvre, mais réputé pour sa probité. 1. UprU4p*Ido«tuac«t*eoM«ltermr la vie d* Poat «•! m Hogn- **te,*«rlte parlaHafca* <m mmm m dtetf*. H «a Un» «m Ibadta mr 4m 4o«mm«U ftmnU» par lui. Cttto btotnpht* a éU Im*i«« dus la «tefrapU» itê Uammtt iajtmr, par Owrawla ««mit «t ». ftUaMKa» If «ri», ̃•art Knbte, nuxtoMM, 0. Or. la* ittt), et pmVUH part !*»̃«• Mivuii*, Hwb UtM 1 J*mm 4» eMrtmU, mwwII* M* rwta, Iwprtex ri«*)»HkwM«tPlo»,r«M««V*ii|inira,a*M,i«;( »n ̃̃ poHr^t It- UM>gr*pia*4a rama H •»• i«pra4iMUoa de nfcUMt. Um tr»MtaM Mt- tkw,«*o«Ua«Mt jMqrt «• J««r te M«oa4* MtMwi «̃ itH, » » «M p«UI4t •«M h OktaM UtM • MayrMM* *• Kmunm 4m jm*. Pm$ <U MVi-ra*. m ilfs, t rwte OauMUMrte #A4. BUmAm*, nm du PaUU^rma, a* h; M, i<4p.; «MtrattaN U»pr., portnlt «t wptttdwrttoa *t wéitellk) |MM. At- aMMl,M,M» La Jlftwrfa^rMMrifaAMaéM aMUw i«| aa «HteteMu- roas, aouÊUtwé wtrtoat «eau– «dati alrtntw» du natee. Im ihWn dt« Mocnphlw et «MydopMlMMMUM wat taMcaUteaU « ariM«^ QaaH– la Miwstte da Fo– pr»wiU ta dwiate IsioaviwIaW *stw wa« mntriogttf»» H n– ww d» ~Mllwt», bte» portMMM m ér*. a«aMat»4»%lte rttete, alte abrite pr*«qM partout pteia* «wlaaw, eomaM te pnnv* la «Niparttea«,a«Mdtlte|M«t Mra telto, itm la doMuaMte d%MM*M. Lu anMvw aiaatelaabad* OU» swrtdiat «aaHa«s wrisam dM raitotm da te foaUW sopatelra dt cMto vtlte, et «TmaUw pltaa* «»l IMrawtteat Mr «wrtqwi yalate – •oaWH». La» utalrMd* IWnaM a* rowHwt rhw R' rotn ~aswaah.