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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...

Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1899

Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique

Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8

Format : Nombre total de vues : 431

Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20

Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon

Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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moi. » Alors sa mère s'empressa de lui dire « C'est la bonne Louise qui l'a mis à ma disposition, et je vous l'offre »; –qu'an soir, au palais de Buonaparte, on lui remit les dépêches de France; il s'y trouvait des proclamations ou des actes des maréchaux Ney et Masséna. Buonaparte, regardant MM. Bertrand et Pous, leur dit « Tout ce qu'ils peuvent faire et dire, Ney et Massena, je les délie de me trahir, et je sais & quoi m'en tenir sur ce qu'ils font. » Un caporal avait tué un soldat qui ne voulait pas crier Vive l'Empereur! il fut arrêté, et le maréchal uv le lit mettre en jugement qu'après le retour de la tyrannie. (11 fut acquitté.)

Le jour S. A. H. Mgr le duc d'Angonléroe arriva à Marseille, le maréchal Masséna étant ù ses côtés, des cris se tirent entendre et partout on lui disait « Monseigneur, le maréchal est un traitre; niéllez-vous de lui. » 11 protesta de nouveau de sa fidélité. L<> prince lui serra ia imita dans la rue Saint -Ferréol. C'était le moment oit il venait de faire prendre le» ordres «le; Napoléon ri Lyon par son aide de camp. Le îuarlehal laissa partir le duc «.'Augouléiue seul pour Toulon, où il savait qu'il était en danger d'être arrêté. 11 en était informé par divers avis, et l'on ne dut qu'à l'extrême activité et à la bravoure du. prince si cette entreprise téméraire ne fut pas effectuée.

H avait été prévenu de ce dessein le soir qui a précédé le jour de son départ pour Toulon, A l'Itotel de la préfecture A Marseille, on il était logé avec M. le duc de (tuielie et M. de Saint-Prirst.

A peine Sou Altesse Royale fut-elle de retour de Toulon, qu'elle eut organise l'armée, que Masaêna se retira dans cette ville, pour empêcher qu'en cas que le prince fût battu a Valence, il pnt «e replier sur Toulon,l'esprit des troupes était si mauvais qu'il en avait répondu à l'empereur N'ajwléon dantt la lettre qu'il lui envoya dans un fromage à l'Ile d'Elbe. Cette llriétilé «te manifesta aussitôt que l'on apprit l'entrée de Napoléon & l'eris. Mnsséna Ut donner aux prétendus braves une fêle «uptrlte, à la «uite de laquelle le» tabernacles