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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...

Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1899

Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique

Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8

Format : Nombre total de vues : 431

Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20

Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon

Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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les fatiguer, et favorisait ainsi la marche de Buonaparte sur Grenoble, le maréchal prenait ses mesures. Car, si l'on eût suivi avec chaleur et vitesse le tyran, on aurait pris toutes les places derrière lui, et l'on serait arrivé en même temps soit à Grenoble, soit & Lyon, et l'on aurait, par ce moyen, évité beaucoup de malheurs.

Mais ce n'était pas ce qu'il voulait. A peine sut il que Huonaparte fut arrivé à Grenoble le 7 mars, qu'il envoya, à ce qu'on assura, un second aide de camp auprès de Duonapartc pour prendre ses ordres ce Ait, dit-on, un sieur Porcher de Richeiuond, fils d'un sénateur, qui liait en cette qualité auprès •lu maréchal, et arrivé à Marseille depuis peu.

J'ai appris par M. lînuzi, de Lyon, employé auprès de M. Heaumont de Urivayac, que le 10 ou le la mare au soir, cet aide de camp était cuVclivciuent arriva ù Lyon.

Cet aide de camp ne rentra & Marseille que le i5 ou iGmars. On assure qu'il apporta au maréchal le brevet de lieutenant généra) «le l'Kinpcrcur. Co l'ait peut Otre prouvé par la repré- i- sentation du brevet, le maréchal ayant pris cette qualité dans diverses proclamations en avril et dans son rapport à Napoléon (sic).

Au reste, son rapport à l'Kinpereiu du i1} Il avril fait connaître beaucoup de circonstances qui prouvent l'intention bien prt 4 nonréV de Mussent» de paralyser l'action royaliste et d'avoir sciemment favorisé la marche de liuonaparte. (Lire le Journal a de V Empire Ôi\ îy ou ao avril dernier.)

Lu preuve en est dan* les faits que nous nllonn raconter L'on ma adlriué que ̃ les (lûmes Senta et Dcschamps avaient dit que. la nuit du départ de lluonaparte de l'ile d'F.lbe pour la France, il avait été prendre congé de sa mt-re, qu'il s'y trouvait sa su-ur Pauline, et que sa mère lui dit en l'cinbras- Haut « N'est-ce pas au moins un coup de tête » que llunnaparte lui répondit « Je sais quel car* je dois faire des promesses et des avis de ceux qui m«; servent depuis vingt ans. » Alors sa jirro lui répliqua qu'elle avait un million it lui remettre. Sur quoi il répondit en rit.nl à sa mire « Vou» Ote» plus riche que