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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...

Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1899

Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique

Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8

Format : Nombre total de vues : 431

Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20

Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon

Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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t suis capable. Je conserve un bien honorable sou1 n^FA

ment dont je suis capable. Je conserve un bien honorable souvenir de son père.

Je finis par où j'aurais dn commencer; mais si j'avais commencé par ce commencement, je n'aurais plus eu la force ni le courage de vous entretenir. L'univers disparatt lorsque je parle de ceUe que Dieu avait mise sur )a terre comme une preuve de la perfection morale. Elle m'a quitté. Je n'ai pas pu la suivre. EUe me l'a défendu. EUe m'a prescrit de vivre pour les deux anges qu'elle m'a laissés. J'ai obéi. J'obéis. Je lui devais cette dernière preuve d'amour.

Adieu, Peyrusse, plaignez-moi et aimez-moi.

Pava, de l'Hérault.

Port-en-Bessln, par et près Bayeux (Calvados), le to sep. tembre i85o.

V.

Lettre de Pons A Gvillaumh Pkyrussk

< P«rli, sa janvier 1861)

SuscripUon Moniteur Guillaume Peyriuse | ex-maire | à Carcasaanne 1 Aude.

Mon cher Peyrusse, je vous presse sur mon coeur et de toute mon Ame. Deux mots seulement je prie Dieu pour qu'il vous accorde une longue suite de jours en donnant à chacun d'eux une jouissance nouvelle d'époux et de père, car pour l'homme moral, ce sont là les deux conditions spéciales de la félicite suprême. J'ajoute à ces vœux de bonne année tous ceux que M"* Peyrusse peut désirer et que je m'approprie avec une ferveur extrême. Vous comprenez que madame votre fille a sa part dans cette distribution de tendresse. J'aime les habitudes de famille que les siècles ont consacrée». Croyex-cn un homme de bien il n'y a qu'un moyen d'éviter le fatal cataclysme vers lequel les mauvaises passions cher-