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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...

Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1899

Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique

Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8

Format : Nombre total de vues : 431

Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20

Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon

Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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1s auprès d'une famille qui en adoucit sans cesse l'anima nt nui nn» «as ^mînnntna vai'tiia. nai* ses arandes

je suis auprès d'une famille qui en adoucit sans cesse l'amertnme et qui, par ses érainentes vertus, par ses grandes qualités, me fait souvent oublier mon exil et quelquefois me fait même rendre grâces au ciel de ce que l'injustice des hommes m'a exilé. Mais maîtrisons nos sentiments, et n'intervertissons pas la marche des événements! Le but de ce mémoire me conduira naturellement à l'expression de tout ce que j'ai trouvé de bonté et éprouvé de jouissance dans le sein de cette famille, aussi distinguée par son rang que par la noblesse de ses principes Ma sortie du fort ressembla beaucoup à une fMe triomphale. Prisonniers, garnison, hommes, femmes, chacun voulut venir jusqu'à l'embarcation qui nous attendait. Nous arrivâmes à bord de la goélette et nous y fumer reçus avec une distinction marquée. Le commandant ordonna tout de suite qu'on appareillfit.

Lorsque M. Infernet était parti de Toulon, le pavillon tricolore ne flottait pas encore sur les bâtiments de l'État; il n'avait pas été autorisé à l'arborer, et l'ordonnance qu'on avait envoyée à Marseille ne savait pas ai le maréchal Maaséna y avait prescrit de déployer les couleur. nationales. Cette incertitude nous occasionna beaucoup de chagrins, et c'est la cause de ces chagrins qui m'a fait dire, plus haut « Malheureusement, le général blûnia

peut-tire plus encore en raison de ce qu'on voit souffrir ccui qu'on a.lme. ̃ Ue MlUn à l»dlne, la population des cite» que nous «*on» Inwnee» nous a témoigné le plus tendre intérêt. tt les grndarine» qut nous ont •*• «i.rle» ont fait tout ce qu'il leur eUlt posilblr de faite pour ne pas agira- vor notre Infortune. CVlatrnt dff Italiens. Ut* habitante de (lorlce noua traitent «umI a»ee bente. Qu'ils agréent J'eipre»Mon bien «entlr d« ma profonde wconnalManee pour leur noble ttyupalhle. (qu'il» m<* permettent) de placer ces paroles de gratitude en tête du premier ouvrage dont je m'occuperai dan» le lien de mon exil. Mes lecteur* ne trouveront donc pas étonnant ce que je Ylen» de leur dire. »

i. Pons ne nomme polnl cette famille dans la suite de «m récit.