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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...

Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1899

Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique

Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8

Format : Nombre total de vues : 431

Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20

Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon

Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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ment à bord d'un bâtiment de transport, et retourna & l'Ile d'Elbe «. Ce misérable, indigne de porter l'épée, de la bêtise la plus araère, de l'ignorance la plus honteuse, et dont l'Empereur ne se servit Bans doute que comme d'un imbécile, propre à courir sans savoir pourquoi il courait, a été employé par le gouvernement toscan, tandis que des oflioiers elbois, d'un mérite distingué, n'ont pas pu obtenir des services! Cependant, il est vrai de dire que le grand-duc de Toscane est un prince extrêmement juste a, mais ce prince a des ministres, et ces ministres sont des hommes du jour.

Il y avait six ans que j'avais quitté la France 3. Je la revoyais, cette patrie bien aimée 1 cette patrie que je por.tais dans mon eteur! cette patrie pour laquelle j'aurais mille et mille fois sacrifié la vie 4! Je la revoyais, cette belle France Mais j'étais dans un camp! Mais l'appareil militaire m'entourait Jo l'avoue, ce premier moment fut terrible pour moi. Amour sacré de la patrie, combien tu es puissant! C'est toi qui, embrasant mon Ame, rendis à mu raison toute sa forco, a mon caractère toute son énergie. Je craignais do n'être que l'homme d'un homme; t. C'est i'offleirr d'ordonnance Vent, dont Pou» parle >oujnur* avec me. pria i 11 n'était conduit avec une rare lâcheté lora du départ de 1 1 urineesie Wakwika. Voir le* Souveniri de Pon», p. j«, «1.

». grand-duc Ferdinand Ht ayant tmiiIfi-nU'- toujoum de l'attachement tt d» l'ettlroe pour « son neveu t Napoléon, le lançant) de l'on» belplique

3. Pour la direction des miner de nie d'Klbe, place que lui avait fait ob- tenir «on protecteur et ami Lacépede.

4, Ce palriotlime e«alt(> a toujour» été un dr» trait» essentiels du «». racltrede Pon». En iHJi, II *t rivait au docteur Daniel, de Olte ̃ j'aime mou pays au delà de toute expmilon. Je J'aime plut pour lut que pour moi, et e>»t plus pour lui que pour mal que Je d*»lrc de te revotr. Ce. pendant Je n'ai pris aucune dérision i cet égard Je ne me déciderai qu'an dernier moment. » H était alors i Florence, retenu par Ire affaire» d'Intérêt il* nal*r» dans l'Introduction, d'apre» te» document communiqué» par M. Maiton, de Cette.