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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...

Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1899

Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique

Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8

Format : Nombre total de vues : 431

Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20

Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon

Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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linéiques cioois avaient eu aussi ta iaioiesse ae vouloir afficher les mêmes prétentions des Corses; mais l'homme guérit facilement d'un ridicule quand il peut examiner. dans autrui, les effets d'un ridicule semblable «. L'ile d'Elbe avait une milice, sans cesse en activité de service, et connue sous le nom de bataillon franc de l'Ile d'Elbe. Ce corps, comme tous les corps sédentaires, est loin d'avoir la discipline des troupes de ligne, mais, dans plusieurs occasions où l'apparence du danger a fait battre la générale, il s'est trouvé tout entier à son poste. L'Etbols est brave, on par nature ou par amour-propre, et je suis certain que, pour la défense de l'ile, le bataillon franc serait aussi utile que le bataillon le plus aguerri. 11 serait difllcile de deviner pourquoi l'Empereur donna à ce corps un commandant dont sans doute on ne peut méconnaître l'instruction, mais qui, ayant abandonné son général et ayant refusé de le rejoindro à l'armée dans un moment de guerre a, semblait n'avoir aucune especo de droit à la préférence dont il fut honoré au détriment d'autres Elbois, et particulièrement de M. Ange Vantini, qu'on attendait à chaque instant, et qui avait fourni une longue et honorable

t. Les Corse» l'latent détesté» par Ira compagnon» français de l'Emncreur. Pons, on le volt Ici comme dans ws Soutenir*, ne tarit pa» d'injuivs contre eux. Voici ce qu'en dit «u tapissier de Napoléon, d'autant plu» di. K»n :te fol ijiif» sa lettre est d'un mécontent (Charvet A M. Halnt-Miter. l'orlo-FerraJo, Ile d'Elbe, le u octobre i»i|, Aff. et rang., 6;5) l.'lùnpf reur m'a nomme chef de tout son mobilier. Non» venons de ivcevolr trois grands navire» de meubles de Home, de Nuple«, et ton» les joura II noua en arrive de Gènes. Il meuble et fuit l>Jllr en ce moment •roi» palais c'est lui qui pri^uld» h tout.

« Voulez-vous que Je voiw fasse ma p*ofesslon de fol Je crois que nous auront le sort de ceux qui «ont aile» en \V.ph. (»/<̃). he* sont faits pour nous Jusqu'au jour do l'an. Je crois qu'A cette époque lu bombe éclatera. Toua les coquin» de Conte» et d'Italien» ne présentent pour servirper Vhonnture, » et l'on en profitera. Ils «ont bai, rampants. C'Mt ce qu'il faut à nos chefs.

a. Pons le nomme quelques lignes pins loin.