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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...

Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1899

Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique

Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8

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Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20

Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon

Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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grands hommes qui illustrèrent le règne de Louis XIV. Dans ses triomphes, les beaux-arts l'avaient souvent soulagé du fardeau de sa gloire dans ses revers, les beauxarts devaient encore charmer ses loisirs.

Avec les sculpteurs arrivèrent dcj architectes, des peintres. Des professeurs do l'école do Carrare étaient de ce nombre. Sa Majesté employa définitivement les uns et occupa provisoirement les autres. Tous éprouvèrent les effets do sa bienfaisance.

M. T., Turc do naissance l, et le flls du célèbre M. de Klaproth, de Berlin, célèbre lui-même par son voyage à la Chine et par des ouvrages du plus grand mérite, vinrent offrir leurs services littéraires à l'Empereur.

VErapcreur accueillit M. Jules de Klaproth fils avec distinctiou marquée, et n'ayant pu occuper M. T., ijiu peut-etro ne se trouvait pas dans l'aisance, Sa Majcsttt le dédoramngcu du son voyage et de ses dépenses en lui accordant une indemnité qui le mit à mtoo d'aller s'établir à Naplcs •.

Rien «le ce qu'on avait fait ou do ce qu'on faisait pour l'Empereur n'était perdu. Pauvre, comme il le disait gaiement lui-même, sa bourse n'en était pas moins toujnu s ouverte au savoir malheureux. 11 fallait souvent que le général lJortrand arrelftt les effets de sa générosité. L'on a observé plusieurs fois «jue Sa Majesté semblait ne pas oser refuser les services des personnes qui avaient un nom connu et estimé.

t. l'on» n'est pas tri s sflr de la ««tlmullt/' de en pr«frinni|re| «Illmr» II r.i dit un « Orne «l'origine. »

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