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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...

Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1899

Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique

Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8

Format : Nombre total de vues : 431

Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20

Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon

Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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C'est dans cette basse adulation dei courtisans que nous devons chercher la source des torts que Napoléon peut avoir eus, car mon admiration pour lui ne va pas jusqu'à lui supposer la perfection.

Accoutumée à n'être jamais contrariée. Sa Majesté avait dû finir par penser qu'EUe était infaillible, ou du moins qu'Elle devait nécessairement mieux juger qu'un autre, et cela lui faisait attacher de l'importance à sa pensée. Aussi, dès qu'on n'était pas de son avis, son premier mouvement était un mouvement d'impatience; mais si l'on résistait à ce mouvement subit et qu'on tint à l'opi.nion qui avait d'abord déplu, Sa Majesté revenait facilement Elle discutait, et cédait si ses raisons n'étaient pas les meilleures. J'en appelle à tous ceux qui ont travaillé avec l'Empereur, et qui ont eu le courage ou le bon sens de ne pas s'avilir qu'ils disent si j'en impose. Certainement, d'après ce qui s'était déjà passé, personne ne devait être plus réservé que moi quand il était question d'exécuter ou de ne pas exécuter des ordres directement donnés par Sa Majesté. Ne pas obéir aveuglément, c'était rappeler ma vieille opiniâtreté, et obéir aveuglément n'est pas dans mon caractère. J'aime à me rendre compte de ce que je fais.

Une nouvelle circonstance me jeta dans de nouveaux embarras; mais cette fois ils durèrent peu, et ce devaient être les derniers ».

Il y avait à Porto-Ferrajo, dans les magasins militaires. des farines vieilles, et échauffées au point qu'il ne me paraissait pas possible de les conserver plus longtemps. Les complaisants conseillèrent à Sa Majesté de m'obliger à i. Cette affaire est racontée «vec beaucoup plus de déutt* et a»ec de grandes différence» dans tes Soucenirt de Pons, ebap. VII, Les texte* cités Ici tout très différent* de ceux que Pons donne ta-