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Titre : Mémoire de Pons de l'Hérault aux puissances alliées / publié, pour la Société d'histoire contemporaine, par Léon-G. Pélissier,...

Auteur : Pons de l'Hérault (1772-1853). Auteur du texte

Éditeur : A. Picard et fils (Paris)

Date d'édition : 1899

Contributeur : Pélissier, Léon-Gabriel (1863-1912). Éditeur scientifique

Contributeur : Société d'histoire contemporaine (France). Éditeur scientifique

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31133985q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (LVI-774 p.) : portrait ; in-8

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Description : Collection : Ouvrages publiés par la Société d'histoire contemporaine ; 20

Description : Collection numérique : Fonds régional : Languedoc-Roussillon

Description : Collection numérique : Collections de Montpellier Méditerranée Métropole

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k55653f

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-L45-63 (20)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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46 MÉMOIRE AUX PUISSANCES ALLIÉES. Si Son Altesse avait suivi cet avis d'un Français toujours

Si Son Altesse avait suivi cet avis d'un Français toujours fidèle à son pays et à son prince, elle se serait montrée digne de son auguste frère, et elle aurait eu l'honneur insigne de recevoir Sa Majesté dans la plus forte place que Sa Majesté avait laissée à sa garde. Que pouvait-il lui arriver de plus beau et de plus flatteur?

Cependant, si, dans le gouvernement de la Toscane, la princesse Élisa n'a pas fait tout le bien qu'elle pouvait faire, il est juste d'en attribuer la cause, du moins en grande partie, et à ses alentours et aux circonstances. Les principautés de Lucques et de Piombino attesteront sans cesse qu'elle désirait le bonheur des peuples confiés à ses soins.

Quelqu'un, qui était dans les seciets de la grande-duchesse >, m'a assuré que, dans la chvnnstance extraordinaire dont je viens de parle»*, elle s'était laissé conduire par le duc d'Otrante. Le duc d'Otrante préludait donc, dès lors, à la conduite qu'il a tenue depuis 3! Dans les rangs des grenadiers, il s'était glissé quelques mauvaises têtes. L'Empereur ordonna l'épuration du corps, et fit renvoyer tous ceux qui étaient mal notés. Ce sont ces messieurs à cartouche jaune qui avaient fait cou- rir le bruit que les bravos abandonnaient Napoléon. Ii serait curieux de savoir si le militaire qui, à Grenoble. s'est distingué par son dévouement à la cause des Bourbons, et qui, pour prix de ses services, a obtenu la croix de la Légion d'honneur qu'il avait eu tant d'occasions do gagner à l'armée, n'est pas précisément un de ces mémo» t. le mari d'ïlina, prince Félix llaclocchl, «lonl l'uni reçut les conlklcncc» prntlinl non exil. Cf. op. *'i]>. cit., p. iflo. a. Pons, dans t.-> preinlrre rédaction, cite, A projHis de l'ouchr, le ver» de Voltaire a Les prêtre» ne sont paH ce qu'un vain peuple pcnivl » Ilans l'ouvrage clti- n-deMii», il l'appelle « uii de ce» gt'iilr» Infernaux qui Uan~ l'o"vrage cltc 1'dl'l'sll.,lIl'apllel1c « Ulo de Cl'M fi'nlt'.lnfrrnaui qui se trouvent toujourt à point iiouuiim; où 11 y du mal à produire. »