Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 1 sur 32

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Quand même ! : bulletin mensuel d'études sociales et d'action catholique

Éditeur : [s.n.] (Angers)

Date d'édition : 1913-04-10

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32846310f

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32846310f/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 4729

Description : 10 avril 1913

Description : 1913/04/10 (A11,N117).

Description : Collection numérique : Fonds régional : Pays de la Loire

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5558147t

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-R-20905

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/01/2011

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 92%.


Il- Année V117, 10 Avril 1013.

BULLETIN MENSUEL

D'ÉTUDES SOCIALES & D'ACTION CATHOLIQUE

PRIÈRE POUR LE SOIR DE PAQUES

« 0 douleur, j'ai fini, vois, par te respecter. » FRANCIS JAM.MKS.

Seigneur, la nuit descend, plus prompte que mes pas, Et comme autrefois vos apôtres, je suis triste. Le ciel cendré devient d'ardoise et je n'ai pas Près de moi quelqu'un qui m'assiste.

Cléophas et l'ami qui marchait avec lui Vers le bourg d'Emmuns se disaient vos disciples. Puis~je encor m'estimer des vôtres aujourd'hui Après mes reniements multiples ?

Ce soir pourtant, un peu craintif, je viens à vous Tandis que meurt dans l'air plus froid le son des cloches. Je vous offre en holocauste mes rêves fous Et je sens que vous êtes proche.

Si vous n'étendiez plus vos bras nus, décharnés, Au sombre carrefour où s'embusque le doute, Et si vos doigts ne paTofuenf^phis l'infortuné SaiqnantXtt^^boraVdèSlu route,