120 sieur le Comte de mes respect, et s'il veut bien me rendre le.service de parlé de ce plafond de M. Chardin, il me fera plaisirs. C'est à vous que je recomande cette affaire étant sur quel est entre bonne main. Monsieur Berque (Berch) qui veut bien vous remettre ma lettre, m'a chargé de mètre à part ce qui se fait de nouveau, pour monsieur le Comte, en fait de graveur. Je vous prie de me marqué s'il ni a personne qui eut cette commission. Je laprendray avec plaisirs. Je suis bien charmé que monsieur le Comte soit le président de vos manufactures ; je désireray qu'il fut le nostre aussie, mais les artiste ne peuvent espéré un tel bonheur. L'on me fait espéré une pension de huit cent livre, ce qui m'aidera à faire quelque ouvrage avec soins. A l'égard des lettre de change dont vous me parlé, si je ne suis point inquietté de la petites somme que nous avons en conte. Il faut mettre ces quatrevint et quelque livre là avec autre chosse pour en faire une d'un gros volume. Le fait que monsieur Bergue (Berch) vous aprendra aura lieu de vous surprendre de mademoisel La Gardie. S'il s'étay trouvé une place dans quelque boite du carosse, j'auray fait tout mon possible pour aller mangé de vos cocq sauvage ; mais monsieur Berque (Berch) a une si grande suite que c'est imposible. Fiquet, qui m'a remis vostre lettre fait une fort belles figures à Paris. Comme je scay que vous este amis, je croie qu'il vous aura informé que ces affaire me paraissent allé fort bien. L'on a joué le