Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 4-T42-34
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/01/2011
Dixième année, — N° 3s. la août i3o3
SOMMAIRE
La Guerison de la phtisie par notre carbura- tour. Maladies du foie. Les Paralysies. Couleurs rhumatoïdes. Correspondance. Table des Sommaires. Kcsumé des maladies chroniques. Consultations par correspondance. Traitement par correspondance. Tris des plaques.
LA GUÉRISON DE LA PHTISIE par notre carburateur
Semblables ;V ces soldats qui se ruent, à l'assaut, franchissant les obstacles au fur et à mesure qu'ils se dressent devant eux pour empêcher leur marche en avant, nous avons commencé à l'aide du carburateur, à mettre le blocus devant les ravages de la phtisie et nous en avons triomphé.
Ça et là, entre temps, i! nous est bien arrivé de donner satisfaction à la théorie de ce combat nouveau et de dire ce que nous pensions de ses effets, de son action et do l'ensemble des résultats obtenus.
Il faut avouer que nos théories si justes cependant, puisque les résultats venaient à tout coup les corroborer, nos théories, disons-nous, n'ont pas eu le bonheur de plaire à tous."
Il est de ces vérités dont la simplicité attire le dédain. Aussi a-t-ou feint de ne pas les avoir lues et d'ignorer complète- ment les beaux succès du carburateur.
Il y a de quoi désespérer des gens moins aguerris que nous et moins faits pour la lutté.
Chaque fois qu'un malade nous dit que son médecin a déclaré ne pas connaître lé carburateur, nous savions parfaitement bien que ce médecin était un volontaire inconscient, car en médecine comme en toute autre science, les progrès et surtout les succès nouveaux ne sont pas assez fré- quents pour qu'on les ignore.
Donc, si le carburateur a trouvé des oreilles dures et des compréhensions diffi- ciles, il faut admettre que les principaux intéressés à la vulgarisation du procédé; ont fermé les yeux, les oreilles et aussi ,1'esprit à ces études nouvelles. Sans quoi., on ne verrait pas 'd'autre-traitement que le; carburateur; et nous pouvons dire aussi que tous les décès que causent les mâlà^ dies de poitrine seraient singulièrement atténués comme nombre, pour ne.pas dire plus.
Quelle théorie pouvons-nous faire, qui soit assez explicite, assez entraînante, assez probante enfin, pour déchirer le voile
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