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Titre : Le meilleur traitement du mal vénérien, 1579 / Jean Fernel d'Amiens ; traduction, préface et notes par L. Le Pileur,...

Auteur : Fernel, Jean (1497-1558). Auteur du texte

Éditeur : G. Masson (Paris)

Date d'édition : 1879

Contributeur : Le Pileur, Louis (1839-1921). Éditeur scientifique

Sujet : Infections sexuellement transmissibles

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304292099

Type : monographie imprimée

Langue : latin

Langue : français

Format : 1 vol. (XXXIII-393 p.) : portr. ; in-8

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Description : Collection : Collection choisie des anciens syphiliographes ; 4

Description : Collection : Collection choisie des anciens syphiliographes ; 4

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5503147w

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-TD43-344 (4)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/03/2009

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5i — qu'une humeur quelconque y pénètre), vient infecter le sang de la veine cave, et l'esprit de la grande artère. Alors le bubon apparaît à l'aine; de là, les vaisseaux spermatiques et les reins étant affectés, la gonorrhée se produit, et celle-ci semble vomir le poison au dehors k. Quand cet horrible Mal a atteint le foie et l'estomac, il se produit un léger flux intestinal. Bientôt le sang est infecté avec le foie, toutes les veines en reçoivent leur part et le répandent dans les membres, dans la peau et les muscles; le fléau contenu, caché jusque-là, fait irruption, et l'on voit surgir des pustules livides et rougeâtres, de petits ulcères croûteux et des dartres ; chez quelques-uns des ulcères profonds et malins; phagédéniques et rongeants chez les sujets bilieux; chancreux chez les mélancoliques ; plus bénins chez les pituiteux mais aussi plus fétides, et sécrétant une sorte de mucosité infecte; enfin plus abondants et en forme de charbon chez les individus sanguins. Tous ces ulcères ont des bords très-durs, tuméfiés et renversés ; quand la chair est détruite, ils s'attaquent aux os eux-mêmes, commençant par les plus minces, comme ceux du nez et du palais, et prenant ensuite les plus résistants, que la pourriture et la carie détruisent avec le temps.

La gonorrhée,

Les ulcères,