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Titre : Le meilleur traitement du mal vénérien, 1579 / Jean Fernel d'Amiens ; traduction, préface et notes par L. Le Pileur,...

Auteur : Fernel, Jean (1497-1558). Auteur du texte

Éditeur : G. Masson (Paris)

Date d'édition : 1879

Contributeur : Le Pileur, Louis (1839-1921). Éditeur scientifique

Sujet : Infections sexuellement transmissibles

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304292099

Type : monographie imprimée

Langue : latin

Langue : français

Format : 1 vol. (XXXIII-393 p.) : portr. ; in-8

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Description : Collection : Collection choisie des anciens syphiliographes ; 4

Description : Collection : Collection choisie des anciens syphiliographes ; 4

Description : Contient une table des matières

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5503147w

Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-TD43-344 (4)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 17/03/2009

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— 265 — facile, telles que poulets, pigeonneaux, perdreaux, ensuite veau et chevreau, et d'autres analogues ou meilleures encore. A cause de la sécheresse et de la maigreur du corps, ces viandes doivent être tantôt bouillies, tantôt rôties, car il est plus facile d'engraisser et de se refaire avec des aliments liquides qu'avec de plus résistants. On faisait donc bouillir pendant longtemps, dans de la décoction de gaïac, un morceau de veau avec un poulet; vers la fin, on ajoutait de l'oseille, de la bourrache, de la buglosse, du pourpier et de la pimprenelle, puis, le jus bien exprimé, on en faisait boire au malade six onces deux fois par jour. Ce bouillon, outre qu'il relève promptement les forces, adoucit également la cause du Mal. Après le bouillon, qu'on lui donnait toutes les huit heures, il mangeait un peu de rôti s'il le pouvait, enfin comme dessert des raisins secs et du biscuit.

J'interdis le vin pendant tout le temps de la cure, ayant expérimenté combien est vrai ce que j'ai déjà dit : qu'aucun de ceux qui en boivent ne peut guérir par l'usage du gaïac et des autres alexipharmaques. Au lieu de vin, le malade faisait usage aux repas ou entre les repas, quand il avait soif, de la décoction faible de gaïac décrite au chapitre du traitement léNourrilure,

léNourrilure,