DOXKER, faisant ï*ce aa~ Géant*.
Ai-je jamais, Fasolt et Fafner, éprouvé sur vous mon marteau ? (i)
FAFXER
A quoi bon cette menace '?
FASOLT
De quoi viens-tu te mêler ? Nous n'avons provoqué p~ rsonne nous ne réclamons que ce qu'on nous doit.
DONNER, bn'ndÎMant son marteau
Plus d'une fois déjà, aux Géants, j'ai payé ce qui leur était dû (i); jamais je ne suis resté l'obligé des larrons: approchez! je vous ie pèserai, votre salaire, et je ferai bon poids! WOTAX, la Lance tendue entre les adv<Ma:ret.
Holà, Brutal (3) Rien par la force! Le bois de ma Lance est garant des traités nous n'avons que faire de ton marteau
(1) « Thor a (Donner), résume l'~Mo de Snorro. < .possède trois objets précieux le Marteau Mjœlincr, connu. des Géants de Montagne, car il a brisé bien des tètes parmi eux. Les chants de l'E<Mo de Sœmand sont remplis, en effet, de passages pareils & celui-ci. :< Il (Thor), lança Mjœ!tner, et tua toutes les baleines des montagnes, c'est-à-dire tes Géants (Le /'o<!M<' de ~m<r, 35.) Le même chant snrnommo Thor « la douleur des Géantes Il (14) etc. « Le carreau de feu jaillissant du ciel, » commente Carlylo, « c'est le Marteau, brisant tout, lance de la main do Thor. (Z~ Héros, trad. Izoulet-LoubaUcres, p. 30.)
(2) Les Asos ayaut acquis la certitude qu'ils avaient reçu chez eux un géant de montagne, n'eurent plus aucun égard aux serments qu'ils avaient faits. Ils appelèrent Thor qui vint do suite, <!< OMM~O dette contractée pour la ~M!<t'MC<Mn du CM.teau le géant ne retourna point à Jœtocheim. Du premier coup, Thor lui brisa le crâne. (Ed~a do Snorro.)
(3) Ou « Sauvage