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Titre : La Presse

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1901-02-20

Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication

Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 124274

Description : 20 février 1901

Description : 1901/02/20 (Numéro 318).

Description : Note : numérotation incomplète.

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k549792g

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 11/06/2008

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LA SANT~ D~ ~I, WALD~CK.- LE ~~EâING D~S G~~T~~IÈR~S. °- L~ MARDi-GR~~

er'~ !èF@-H e M~e

~t8E M.WÂLOEÛK

-~bidesasscd~oES-M~rdëa

Les journ&uxministeriejs, qui placent 'tout leur espoir dans la précieuse. personne du chef du ministère, afiirment que M.; ~Vàldeck-Rpuss~âù va mieux, beau" coup mieux,-presque.tout a fait bien. Cela pour contredire les nouvelles que "-nous avons données de l'état de dépres'sion et de fatigue ou se trouve encore le 'président du conseil.

On lit cependant au communiqué of'iicieux'donné tout à l'heure à. presse Les mini.stresae soit reuinsce matin en ;co~seilà l'Elysée, soua la présidence de M. .Emile Loubet.

M..Waldeck-Rousseau ~ouyoufStKdMpose, .et M. CaiHaux excuse,'n'assistaient pas à la

'dëhbération.

H faudrait s'entendre ou M. Waldeck ''va mieuXj'~talbra, il pouvait assister an ~Conseil, puisque, ily a quelques jours, il 'avait été capable de recevoir les délégués 'des tullistes de Calais et de conférer longuement avec eux; ou bien l'amélioration annoncée dans la santé de M.WaI!decli. ne s'est pas produite. Et, dans ce ~cas, il était bien inutile de démentir les 1 informations documentées que nous avoua .~publiées a ce sujet.

,L Non76MTecQl ~'EnnQ, malgré, les_afnrmations qu'on ~mous avait données de la présence de M. ".Waldeck au Parlem&ntponr la prochaine ~Tentreë des Chambres, le T~ps annonce ce soir que le président du conseil sera .encore absent ce joar-là. Voici 1~ note Jeudi, en raison de l'absence du président .du conseil, la Chambrera reprendra pas en'-core 1~ discussion de la loi sur les;associationa. Elle (Hscutera d'abord les modi&cations aDportées au budget.do -1901 parle Sénat et, .sile tempa je-permet, eHa'commencera l'exa,mende3proposit[ona relatives à l'extension '( ~o la compétence dea juges de pais.

On le voit, la loi des associations va se trouver encore ajournée.

DEWET EST UBRE!

Nous avons annoncé hier soir; sous les plus expresses réserves, que le bruit cou- jrait à. Londres, avec. persistance,: de la canture du général Dewet. Nos confrères t'Ëc!air et l'Echo de Par~s, notamment, lesquels sont renseignes directemeut à L-ondres. conSrmaient) ce matin, l'existence de ces bruits qui ont couru au Stock-Exchange et au Parlement anglais.

-Fort heureusement, la .nouvelle est controuvée. On Terra plus loin que Dewet ast encore parveau à dépister les troupes Britanniques. Les Anglais qui escomptaient la capture du héros boer pour le succès da leurs opérations de Bourse au<roat pris leurs désirs pour la réalité.

~,E DÉPABT D'ËaOU&RO VH

On mande de Londres:

Le yacht VM~ofta a?td ~/bË)-{ estprêt et!e'.Toi Edouard D'attend qu'un mot de son neveu 'pour se rendre aussitôt au chevet de'sa sœur

t'impépatriceF~dertC~

Bien curieuse cette anaire de la Raf~nerie de Samt-Ouen Voilà un patron~ riche, nous dit-on, à plusieurs dizaines de millions, dont l'usine occupait douze cents ouvriers, et qui tout à coup décide de cesser sa fabrication de mettre la clef sur la porte, en tirant sa révérence ses employés.: f .Le motif, direz-vous, d'une déterjOMnation aussi prompte ? Le patron ;~tait fort riche, donc il pouvait sou-.tenir la concurrence. Le sucre est une .'bonne marchandise, un objet~e vente .'assurée, qui se paye en France trois Is ibis plus cher qu'en Angleterre, que L'Etat patronne et soutient, sous forme ~déprimes à'l'exportation, et qui par conséquent doit enrichir ceux .qui le

fabriquent.

-–Erreur J vous répondra le patron mis en cause. Mon usine:fonctibnnàit .~suivant les vieilles méthodes. Lp <cdé<ve!oppement du machinisme B cher à ~M. Jaurès, et qui remplace la main distraite'de l'ouvrier par un simple et 'iaiatigable levier en acier, ce progrès ':n~cst~pas encore établi chez moi. II. faudrait ~~7~'cy~~pour mettre :B?&n usine à la mode du jour. Sept .mUlions, c'est lourd! Il faudrait être ;së!' de l'avenir,: être sûr de son per.sosnel, et savoir qu'il ne fera pas de ''grevés pour un motif plus ou m'oins futile. Or, nous sommes a la merci du ïn&indre incident. J'ai mieux aimé me retirer à l'heure où M. Millerand n'avait pas encore fini son bel ouvrage de désorganisation industrielle, j~'<?/<~K~ t K~~ax ~~n~M~ ~r/o~ ~c~e ~i compromettrait davantage encore

~a situation.

Yoiià, ou à peu près, ce que répond jk patron. Et, quoique nous n'ayons pas a prendre ici sa défense, nous sommes bien forcé de reconnaître~ qu'i! a raison. En essayant, pour les ëesoins de sa politique,.de contenter à fois 1$ chef d'industrie etsessala-

ECK E NU' bl~u lui

rles/. en. promettante au. premier que la~« grève obligatoire )) n'était qu'un trompe-l'oeil; aux seconds, qu'elle était l'avènement du bonheur, le ministère Millerand-Waldeck a désoriente et trouble toute rindusirie française. Voyez Chalon ou~Montceau, ou "les .'grévistes, leurres .par de belles promesses, se serrent le ventre en relu- salit de travailler, cependant':que les mines, non reboisées, s'écroulent sous ia poussée de l'eau qui'les envahit! ~equi n'est pas le'moins curieux, c'est que, en ce qui concerne la Raffinerie de Saint-Ouen, les hommes~ polîtiaues delà région parlent déjàd'inter-pekr 'le, ministère et d'obliger le pa'frûn à ne pas fermer son usine. Je .voudrais bien savoir, ce. que répondra -M'MilIerahd. La grève o~Z~~M-ë;a-t-il proclamé. Mais, alors,. la grève des patrons l'est autant que celle des ~ouvriers!

Et cependant voici douze cents ouvriers qui, dans moins de six mois, vont, ~'se trouver sans ouvrage. Voici douze "cents familles que cette fermeture épouvante et disperse comme ferait un coup de. pied dans une fourmilière.; Allons il paraît que nous avons encore beaucoup à faire avant de pouvoir nous vanter d'avoir résolu le problème

social

social _LEON BAILBY.

GHATtTUBEGOUVERNE~EMTÂLE M..Lonbat à Toulon

La, population niçoise a été désagréablement surprise en examinant le programme du prochain voyage présidentiel. M. Emile Loubet devant se rendre dans le chef-lieu des Alpes-Maritimes à. l'occasion de la fête fédérale, les 7 et 8, avril

prochain, .il était naturel et attendu

qu'i! fut salué dans cette ville paï'l'es-

cadre italienne. aitnatllrel et atteiÙ:!u,

On a décidé que démonstration navale aurait Ueu à Toulon.

C'est évidemment pour récompenser les~ Touloum.is d'avoir fait subir un échec au nationalisme, dans la. personne de notre ami Grébauval, que le gouverneBiontrinnige aux Niçois une modification de programme dont pourrait bien se ressentir l'accueil qu'ils feront au chef de l'Etat.

VOIR .A L~i DEUXIEME jPAGS

Jeu de massscFe, dess'ns deLourdey. t.a chronique d'Henr: d'A!meras. LsGHefpeaMTransvaa!.

L~ d~rs~i-~o'sjB. Une !ni~at!ve de !a « Presse s. Le nuRtSt~e s'en préoccupe.

A <a MortEtB!e

Dans la Presse du '16 janvier, nous' demandions, au nom de nos lecteura, la création d'un nouveau typa de monnaie dh-isionnaire le demi-sou, qui devait réaliser une économie répétée à nombre de petits consommateurs. L'innovation préconisée a reçu le meilleur accueil du public; l'idée est sur le'point d'arriver a réalisation; En effet, le, ministre~ desËnances est occupe, dans le silence'de soneaMnet, & élaborer le projet de loi qui autorisera la frappe de la nouvelle monnaie. Ce projet sera ensuite sanctionné par une commission technique composée des admi-jiistrateurs de la Monnaie et de hauts fonc- tionnairesdesBnances.

Ce sont les renseignements que nous avons recueillis ce matin à la direction générale _du mouvement des fonds, qui est compétente dans la matière; mais se renferme, dans une discrétion un peu exagérée. En l'absence du directeur, M. Araaunê, indisposé, M. Brion, che! du secrétariat de la Monnaie, a bien voulu nous donner les renseignements suivants; La loi de 1852, regiementsnt le régime des monnaies de bronze, prescrit qu'aucun type nouveau ne pourra être frappe sans une loi. spéciale.

A la 'Monnaie, nous .n'avons pas encore été consultés sur la pièce de deux centimes et demi, dont l'utilité n'a pas besoin d'être démontrée u nouveau. Nous attendons les ordres du ministre, et nos approvisionnements en bronze sont sufSsants pour nous permettre d'établir immédiatement les « coins a indispensables et de conimencer la frappe.

On voit qu'avec un peu, détonne volonté on pourrait, rapidement donner satisfaction au public. I "BOURSE.DES VALEURS Manche ça/me.– Cours fermes

Les affaires ont été des plus calmes aujourd'hui, mais les cours, n'en ont pas moins conserve une excellente fermeté.

Nos rentes sont stationnaires le 30/0 a 10~ 30; le 3 1/20/0 à 10295, en hausse de 10 cent. sur son cours de.ta vei])e..

Parmi les fonds strangers, la rente espagnole M montre très soutenue et en.houvolle haùsse'a 72 45, tandis que la rente itaDenae osci)lë aux environs de son prix do ]a veille, que les fonds' .Brésiliens ~sont stattonnaires, et que Jes valeurss'alourdissent. L'abandon de la proposition d'aug-. mentation du taux do l'intérêt a refroidi l'ardeur des acheteurs. Le TurcD finit à 2~55,.la Banque

~553.

Les sociétés de crédit, qui ne se montrent guère animeosauxjoursordinaires, alors même que ]e courant d'affaires sur les autres compartimënis de la cote est assez intéressant, ne pondaient point modifier aujourd'hui–avec une clientèle clairsemée–JeuraUure. –EHes fontpreuyede fermeté.: ne leur en demandons pas davantage.

Nos chemins de fer n'oBrent pas non p!)is des mouvements appréciables. Désalignés espagnoles sontstatiounsires. J Peu de changement sur les valeurs mdùs-

trieHes.

Le~ SuM vaut 3,714, le Gaz~,02i. Les vateursJ de traction sel'aS'ermissent un peu. Plus calme, beaucoup plus calme, le.jaarchë sud-africain, qui n~en est pas a.sa..pMmiëre surprise ia Chartered :esi, à 84, la Be Beers a ?7t, i'East Rand'alS2, la Ferreira a 109, ta Gol-. d.fioids :t 193, ]a May a 103, la 'Randfojitein ~80, 'IaR!.mdMiuesal;015,IaRobiuspna285..

*v 'Z!E~ *E~ ~2 T~/r T T~ V.

i'B. j.\ ~~a~jE'~sr~.i~L.SS~ ~L.~JLJ~JL

~~S~~Tm~RES

Situation sta.tipnnairè. Ma,rdt;gra.s et meeting. t-e service d'ordre.

Lajournce du Mardt gras étant toujours chômée par de nombreuses couturières, il est'difncile de dire sila grève a pris aujourd'hui'une nouvelle extension. Bien que, comme avant-Mer, l'attrait des coH/'efH ait éloigna do la Bourse du Travail un certain -nombre de manifestantes, l'auditoire était importante meeting'de cet après-midi. Mais s'agit-il d'enthousiasme soudain ou. de curiosité féminine ? On le saura demain. En tous cas, une légère détente semble s'être produite. Beaucoup espèrent que la solution ne se 'fera plus trop attendre. On prête a plusieurs chefs~ d'entreprises-l'intention de s'entendre soit avec le comité, soit avec leur personnel. D'autre pact, des couturieres manifestent le désir de réintégrer les ateliers si on leur accorde au moins la !{-'mitation de la journée de travaiL H serait donc possible, avec des concessions réciproques, de terminer sans grand retard et sans grand dommase un connit qui menaçait de porter marnts'préjudices à l'une des indus- tries parisiennes les plus.Sorissantes. Nous continuons a ~recevoir quantité de lettres sur la grève. La plupart sontintéressantes et le manque de place nous empêche seul de les publier.

Un de nos lecteurs nous écrit pour nous faire remarquer, à propos d'un article publié ce matin par le journal ministériel de la rue Drouot, que.si la proportion d'ouvriers étrangers parmi les tailleurs est considérable,elle n'atteint pas encore la proportien d'actionnaires étrangers que réunirait certain couturier, récemment.:décoré .da la Légion d'honneur et célèbre po~r le nombre invraisemblable de contraventions qui iBi furent

innigées.

Mlle Zéna'fde C. nous assure que cala-serait déjauna grande victoire pour les couturières si elles obtenaient l'abolition des'veil '!ees.. La majorité de nos correspondants; appar.tenani généralement à la corporation, estiment que le din'érend peut se dénouer à la satisfaction dotons, si les partis en présence ne montrent pas une fâcheuse obstination. Bue do h Pais

Les couturières grévistes se sont rendues en assez grand no-mbrc rue-de la Paix, pouf tenter da recruter de nouvelles adhésions. Leur tentative n'a eu que peu de succ.cs, et la persuasion, employée -pour attirer les couturières à-la .réunion qui se tenait à deux heures à la Bourse du Travail a laisse beaucoup d'ouvrières indiSérentes. '1

Les agents, en aussi grand nombte que les 'jours précédents, circulaient deux par deux, avec la consigne d'empêcher toute discussion et de protégerais sortie -des ouvrières non grévistes. La démarche faite par le comité de la gr~ve auprès du préfet de police a eu pour résultat d'obtenir des adoucisaements au service d'ordre. `

midi et demi, la sortie des magasins était terminée et la rue de la Paix reprenait sa tranquillité des dimanches.

A la Boursa&a Travail

-Entre deux et trois heures la salle se remplit. Les. tailleurs da Montmartre obtiennent un succès eh arrivant en groupe et en chantant C'est 8 heures qu' ~OMs /'aM~ A 3 heures un quart la séance est ouverte. M. Rougeron est nommé président, Mme Goujon, ouvrière montmartoise et Mlle Beau, assesseurs. M.Rbugeron donne connaissance du résultat négatif d'une demande tentée par les délésués du comité de la grève auprès de Mlles Boué'aœurs. –Hue faut pas manifester dans la. rue, dit-il, c'est le seul moyen d'empêcher les agents de vous bousculer et de vous arrêter.. L'assemblée applaudit a ces sages paroles.. Mme Michaud vient encourager les grévistes a la résistance. Elle rappelle la situation ~déplorable faite aux couturières par les. grands patrons et demande qu'aucune gréviste ne se laisse entraîner par les promes'sës que font en ce moment les directeurs de certaines maisons de couture. De nombreux secours sont parvenus pour 'les grévistes. Les tailleurs de Londres, entre autres, ont envoyé ce matin 250 francs. M. Rougeron annonce que les costumiers de l'Opéra ont envoyé aux grévistes une '.souscription avec encouragement à persévérer dans la lutte.

Un des avocats-conseils de la Bourse du Travail annonce que les'avocats de la Bourse se tiendront à la disposition des grévistes arrêtés au cours des manifestations. Le président annonce à l'assemblée qu'il vient de recevoir une communication des tailleurs de Londres annoncant-que plusieurs grands couturiers, notamment un ami de M. Millerand, cherchaient à embaucher, des ouvriers anglais, mais qu'ils empêcheraient ces derniers da venir concurrencer leurs camarades de Paris: Mmès BonneviaIIe et Meyer et M. Lourdin prennent successivement-la parole. On propose de concentrer les forces grévistes demain matin, à huit.heures, devant la maison Beer, ~pour empêcher les ouvrières a entrer à l'atelier. Un ordre du jour est adopte dans ce sens.. La réunion est levée à cinq heures et demie.

UN LATUBE VOLONTAIRE Trente ans de ctaustrstion. –At'hôtei de!a:'ueGaH)ëe.

On annonçait ce matin la mort d'un riche originai, BL Collasson, décëdë à l'âge de quatre-vingt-quatre ans, dans un hôtel particulier ~de la rue Galilée, pu il vivait seul, dans une séquestration absolue, depuis trente ans. Nous nous sommes rendu.rue.Galilée, pour.Iaire uue visitera cet étrange ermi-

.'tage: -?-~

A quelques pas 'des .Champs-Elysées, entre deux maisons de.rapport cossues, s'élève, sur un étage, un petit pavilton accoté à uno

cour intérieure fermée d'une grille. Au fond,

des écuries CE ruiees et une sorte ~'atelier'

s'ouvrant largement par .une baie vitrée. L'aspect général est lamentable, maigre la délicatesse: des motifs-d'architecture qui or-

nent l'hôtel.

'Des. ouvriers sont occupes & arracher les paves sous laporta d'entrée qui, n'ayant pas. été ouverte deux fois en trente années, s'est affaissée sur'ses gonds rouilles..

Un chien, enferm~'dans une cabine da berger, assiste indiS'érent a l'opération. Nous tirons un bouton de cuivre, qui grince douloureusement sur sa glissière. Après quelques minutes de silence et d'attente, un personnage, vêtu d'un tablier de jardinier, vient nous ouvrir, mais nous nous heurtoas'à une consigne inflexible. M. Collasson repose, parait-il, dans une chambre du fond, entouré de sa famillo. Lés obsèques auront lieu jeudi. Et cependant, aucun signe'exterieur de deuil,àt'ontréa de cette nécropolo en ruines. Quel est le secret douloureux qui a pesé sur cette existence mystérieuse?

A t'E6aL€ ~S~AH~-MTS

Une décision ministérieUe.–Les êtrangefs exetus des prix en espèces. Sur la proposition du conseil supérieur de l'Ecole des Beaux-Arts, le ministre a ajouté au règlement l'article suivant:

A)'<tc;ej0o. –Des étrangers etëves hommes ou femmes ne peuvent prétendra aux sommes d'argent provenant des fond&tions faites a l'Ecole ou attachées aux médaiHes décernées a. la suite de certains concours d'émulation, D.uis le'cas où le jury-design.era.it un .étranger ponr.ta première récompense consistant en unemédaille,'un prix et une somme .d'argent, cet étranger serait déclaré titulaire de la recompense ,I honoriSque;c'est-H.-dire duprixetde la médaille. la somme d'argent restant réservée.

Leiury décideraitalors par de nouveaux votes-' si des médailles de même catégorie pourraient être attribuées. Dans l'affirmative, l'élève {rançaisciassê le premier a la-suite toucherait la somme d'argent.

Dans la négative, la somme d'argent, si elle provient d'une fondation, serait réservée et pour-. rait être attribuée l'année suivante à deux-élevés. français.

Cette décision ministérielle, qui a été a!& chée ce matin, à rEcole~-a causé une; vive émotion dans les sections de peinture et d'architecture, où les élèves d'origine étrangère sont assez nombreux.

POUR LA M!-CARÉME

Gh sait qu~ 5fl!e Romelotte, qui avait été précédemment élue Reine des reines, a vu son élection annulée sous Je prétexte qu'elle appartient au marché des Carmes. lequel adé~à fourni la Reine des reines l'année précédente

A ce propos-, le marché des Carmes a dé- 'cidé, devant 1'aS'ront _qtii était fait à sa reine, de ne point poi'Mcipër aux fêtes du Car-naval 1

A TT T3 TB f~ 'â~'ir~'KT~T'f~ À TT

A.U i-L< .ES.Q i.i'~i..U La, s~tue d'Ambroise .Thomas

Nous avons, il y a quelque temps, protesté contre -le sans-gêne dont l'administration avait usé à l'égard du monument d'Ambroise Thomas, par Falguière. Un beau jour, troismessieurs 'accompagnant les ouvriers qui portaient la statue avaient fait placer cette' dernière dans un petit coin du Parc Montceau, bien dissimulé, et s'étaient~retiros satisfaits de ce simulacre d'inauguration. L'auteur du monument et l'artiste ~qu'il glorifiait, nous paraissaient mériter un peu plusdecérémome. On'ious annonce aujourd'hui, que le groupe. acte transporté de l'autre côté de la voie principale du Parc-Monceau, conduisant du boulevard Malesherbes l'avenue Hoche, et qu'il a été installé au milieu d'un cadre de joncs de rivière, près de la grotte d'où jaillit le ruisseau/Le monument porte cette inscription a A Ambroise Thomas, les directeurs, les artistes oties.abonnés del'Opéraa. Il semble que l'occasion aurait été bonne pour placer un petit discours officiel. Mais la mémoire d'Amb'roiso Thomas se passera de l'éloquence de M. Leygues.et même de celle de M. Roujon.

P~r ~~Mttreh~p8pu!~i~i La, proposition de MM. Bernard et Fiot. TJne commission extrapa.rlementa,ire. Les encourage-

ments aux nombreu-

ses familles.

La question de la dépopulation est en, ce moment, au Sénat, tout à fait à l'ordre dn jour. La faute en en est, pardon l'honneur en revient à deux de nos honorables, MM. Piot et Bernard, qui, avec un zèle des plus louables, ne laissent échapper aucune des occasions qui s'offrent à.eux de rappeler que la Erance va à sa ruine de par l'infériorité du chiffre des naissances comparativement à la natalité dans les autres pays., –On peut dire avec certitude, dêcIa.reM.Bernard, qu'à brève échéance, la France, au point de vue du chiSre de la population, reculera jusqu'au onzième rang et que la population de l'AUomagne, notamment, sera dans quelques années le double de la nôtre.

Ce n'est pas seulement l'importance matériéUe et morale de la France, c'est son existence mcme, ittaut avoir le courage de te dire, qui est ainsi en péril par l'état stationnaire de sa population; Et M. Bernard ne manque pas de rappeler le mot fameux du maréchal de Moltke .<: Les Français perdent tous les jours une bataille. a Quels moyens propose l'honorable sénateur du Doubs pour combattre la dépopulation ? Ha sMt d'ordres très divers. D'abord, il veut que les plus lourds impôts pèsent sur les célibataires, et sur les ménages sans enfants, au bénéfice des famines nombreuses: ensuite, it demande d qu'au point de de vue 'des obligations militaires des avantages soient accordés aux pères de quatre enfants, aux aînés de familles de 'quatre enfants et aux jeunes gens mariés avant le cousen de révision; de plus,, il considère l'organisation ac~

tuëlle du fonctionnarisme comme'unë prime

à la stérilité, et au célibat; aussi, souhaite-t-il '.voir'nôtre régime administratif modino; ènnn, il voudrait qu'on favorisât avec les familles nombreuses) e la colonisation du peuplement B.' \Mai~ .to_Mt enjnd~uantjMa'remëdea,

Bernard ne demande au Parlement qu'une ¡

chose, a savoir :mviter.le gouvernement & instituer une commission extraparlementairo qui .aurait pour mission .la recherche des moyens les plus propres à combattre la dëpopulatioa.

M. Piot, lu!, veut aUer plus vite. Sans doute/il a signe avec bon nombre de ses eoHëgues la proposition de M. Bernard, mais il se défie des lenteurs des travaux d'une commission extraparlementaire. Aussi veutil-qu'.un premier pas soit fait eans plus attendre

–Le père de famille, dit-il, est à notre ëpoqua soumis à des.charges chaque jour plus lourdes, et.'lorsqu'il veut choisir une carrière .pour ses enfants, rEtat ne fait presque rien pour aplanir les difficultés. Pourquoi alors ne pa.s diminuer'ces charges? Pourquoi no pas .taire intervenir l'Etat?

Certes je n'ai pas la prétention de résoudre d'un seut coup le problème de Ja. dépopulation, maisje veux courir au plus presse, proposer une première reforme urgente et réalisable à. bref. délai.

Et pour. co!a je demande que les célibataires des' deux sexes de trenLe ans révolus et les époux maries depuis cinq ans et sans enfant soient assujettis a une taxe égale au quinzième pour !es premiers.et au'vingtième .pour ~es seconds du principal des quatre contributions directes payées par eux de plus, il sera ouvert au ministère de l'intérieur un crédit de vingt millions qui seraient distribues sous formes de subventions, secours et encouragements, aux familles comptant plus de quatre enfants.

On le voit, le but poursuivi par MM. Piot et Bernard est le mémo, et leurs-deux propositions sont inspirées par la même idée généreuse.'Ils veulent que l'Etat devienne le tuteur oîScieus des familles nombreuses.. Quoi de plus juste, après tout? I~~r~<~lissoM.s

.LES RESTAS DE LA GRANDE KERMESSE Grandeur et déca.dence. Ijss tra.'Fa.nx &r FEapIana.de et an Chsmp-

de-Ma.rs..

L'adjudication des matériaux à provenirdelà démolition~ des palais de l'Exposition du Champ-de-Mars et de l'Esplanade remonte à ouelques jours à peine et déjà l'on peut prédire qua dans six semaines ou deux mois .ces deux parties de la grande kermesse~ auront complètement disparu, ne laissant aucune trace, de leur~gloire.

.La pioche .des démolisseurs a presque partout commencé son œuvre de destruction. Des blancs palais de l'Esplanade les façades seules sont encore'intactes.'Et les façades disparaitrontMour tour.'Où sont les neigeux palais d'antan? 2

Au Champ-de-Mars le déboulonnage des ossatures en fer se fait plus lentement et do longs mois passeront encore avant que les démolitions soient terminées de es côté. Enfin, les travaux de démolition de la porte Monumentale, commencés il y a quelques jours a'peine, sont poussés avec une grande activité déjà, on le sait, la Parisienne, détachée de son piédestal, pend dans l'espace au bout d'un câble, les démolisseurs l'ont d'ailleurs fort malmenée, la pauvre grande ata-~ tue, et il parait douteux qu'elle puisse, être réédifiêe ailleurs. Dans trois semaines au plus tard, toute la partie de l'Exposition comprise entre la place de la Concorde et le pont de l'Alma, c'est-àdireie cours la Reins, sera débarrassée de toutes les constructions qui l'encombrent encore et, au printemps prochain, les deux palais dos Champs-Elysées ne seront entouréar que de verdure.

EnQn, au mois de mai, après la disparition des palais de l'EspIatiade, il sera loisible aux. Parisiens d'admirer, del'avenue des ChampsElysées,' la perspective de l'avenue Nicolas II et du pont Alexandre III dans son imposante beauté-

T ri t ;t~ i~

L'imM~E~

dsnitalinr afe ta ;~a°é d' ?~dve. ~25

&u!oiir cie Sa fMOFS d un eiëve. ~-as

exp:icationsde!ad'ection

Un journal publiait co matin une lettre de Droiestation émanant d'un.pareut d'un élève du collège Stanislas qui, atteint de fièvre scarlatine; n'avait pu être gardé au collège. Son transfert aurait, d'après la lettre a la'quelle noua faisons allusion, causé la mort de l'enfanta

.T_ t":F ,A4,. ~~ll~o-n

i*jOUt5 UvJiitJ L~iL ULlU ~U~UCL-C t~tl U~H~~G ] Stanislas, i'abbePrudham, directeur, noua ¡ afaitia déclaration suivants: Je déplore profon'démont la iNort du jeune ` Pouchard, et je considère comma un devoir de j t rétablir les faits. Cet enfant avait été p'aoé le 14 i. on observation jusqu'à la visite du médecin, qui f' constata un cas de scarlatine. Le lendemain, la mera se présenta au cabinet du directeur du Petit Collège, qui lui dit que son enfant était atteint d'une maladie contagieuse et qu'il serait transporté a l'Infirmerie d'isolement du collège à Bellevue. Le directeur ajouta que, dans :s cas où. les parents voudraient emmener le malade chez eux, ils ne pourraient le faire qu'après avoir pris l'avis du médecin des hôpitaux; M. Boulloche.' h

M. Boulloche déclara he pouvoir prendre surlui de décider le départ'de l'enfant 'pour Lagny sans avoir l'avis soit- du docteur de ta famille, soit d'un autre médecin.

Mmo Pouchard se rendit de nouveau' a.u collège avec M. Pouchard, qui était arrivé, et le directeur du Petit CioUege renouvela devante. Pouchard ce qu'il avait dit à sa femme, à'savoir: que l'enfant serait transporté à BeUevue; à moins que, sur l'avis du médecin, la famil!e se décidât à emmener l'enfant;t. ajouta qu'il pouvait, Ctre sursis, jusqu'au, lendemain, s'il était nécessaire, pour avoir l'avis dos médecins. M. et'Mme PoucharcI retourn&rent chez le docteur Boullochc. a.qui ils déclarèrent qu'ils avaient pris le parti d'emmener l'enfant a Lagny et .ils demanderont quelques renseigneme-nts au directeur sur le.'mode de transport.'

Mme Pouchard revint au Collée avec une voiture d'ambulance, déclara a l'infirmerie que tout était arrangé et qu'eMe emmenait son enfant. L'enfant fut emmené sans que le directeur eut e.ié informé des résultats de la dernière visite au docteur-

Le directeur du Petit CoMege n'a fait aucune sommation aux parents de reprendre l'enfant de suite il !est_bprnê a.dire comment on. procède ~aéraiement en pareiHo circonstance, tout dis~posé a. surseoir, au départ, et s'en l'apportant-~

l'avis des médecins.

Telie est la versio!i qu'on donao au collcge '1

~Stanislas.

c, h L~ASHALON

L'aifluence au tributia! correCiionnet a été

.aussi considérable qu'hier. Les ciaq'~deraiers 'manifestants ont pa~sé en jugement. Qt~atce .ont été condamnés à~ajn~is de prison et le j decnter~ deuxjnois,

lui

ltARDI b

&A. CiRÈVE~BES.MASQUES'

Q<u n'a pas ses « confetti x ?– Unerjou?n6a banale. Beanoënp .da monde,

'peud'attraotîons.

Le froid, cependant rigoaren'Xj-n'a pas

~faitpeur'àux Parisiens,'ni –surtout–

aux Parisiennes. Et jamais mardi-gras na vit sur le b'oulevard foule plus compacta et plus joyeuse. Le CarnaYa.1 es-t exclusivement'de venu le. jour des co~e~t.. On'aYait prêteL'intention' à M: Lapine .d'en .interdire là vente cette année. On en.'vit rare-~ ment vendre autant. Lés serpentins prohibés– ont diminué un peu, sans ce- pendant disparaître complètement. Quant aux déguisés (seraient-ils électeurs {~' 0'nziëme ?) ils .se sont abstenus- pour la. plupart. A peine rencontrait-on, de-ci, dé-là', quelques masques -aux: costumes défraîch's,usés,. sinistres., ,ej:de.loin.en~ loin, greTottants sous t'etôS'e sh ~pËtùre d'oignon, des bana.bins qui.ai'avaie.nt.j)a& l'air d'être à la noce."

S~r las 'bonlevM'Ss

Des dix ou onze heures du matin, les marchands de-circonstance avaient installé leurs évent~ires~ échafaudé leurs montagnes unicoles, rempli leurs <f boisseaux ') à deux sous. -Mais les badauds ne se/décidèrent guùro à la promenade qua vers deux heures de l'aprës-mi~di;

Boulevard iSaiut-M&rtin et toulevàrd a

ijonne-fjouyeue, plusieurs poussées s.s sont produites. Ou n'& heureusement paa eu à déplorer d'accidents gra.ves7

.Les chars-réclamas, .se~e attractioa originale, épient plutôt Taoias nombreux que les années précédentes.

Les seuls'incidents, de. à signaleras sortent pas de l'ordinaire changement d'itinérairedeslignesd'om&ibus qui circulent entre la, Madeleine, et la, place de la République, altercations~ entre assaillants et assaillis de la bataille.~tra.dition* nelle, occupation inîuterrompue des te~ russes de cafés. Un point, c'est tout. La bilan do !a journée

-Nous avons~dëmandé à un modeste négociant de la voie publique ai la recet.tf avait été bonne. H ne paraissait pas autrement enchanté. Moyenne~ monsieur; .aoyoune~tout .;ta plus. Les boutiques nous font ua tort considérable. Les_achoteurs.yvont. do preMrettc.s pour les « kUos N yeudus souveni. &.vil prix. ~Nous n'avons p!us que le nienu frotia de le. clientole. H nous fau!, v.ondre a très bon marche. Si fa continue, le jeu n'ea vaudra plu;} la chandelle 'Hâtons-nous de dire que plusieurs ,d~ ses concurrents se aïontrent.moins p&ssi< mistes et se déclarent satisfaits:

–J'ai gagne plus de vingt francs depuis ça matin, nous dit une' ouvrière dont les'dcu:: eafa.ntsbrailient a côte de nous: aUn sou UR grand-verre! "Si c'était le .Mardi Gras tous les jours c&ndut-cUe .en 39 ~rottanS. îs~ mains.

( Chez .divers loueurs de costumes inter" viewes, onjle se plaint.pastrbp.

–Sans dout.c, uous déclare run d'e'jx, c& n'est plus_comm.e U y a. dis ans. On so !.i6gùisë beaucoup moins.. On ne sait..p!ua a'nmuser.-Et.puis tes co)t~~t'mu3 ompot'tn'.itr coup~terriMe.

Mais nous avons une ûche tic conso~ ily a de nombreux ba!s parés 3~ travc&~s; organisés par dos.sociétés lyriques, ot ;'cui' l'honneur desquels on a recours a nos br.'ts ofûces.

A.u .surplus, le Mardi-Gras est toujonra moins profitable a notre oomu~ërco quo !a Mi' Carême. Et uous avoua conSaace.

A. l'heure nous mettons sous.pre?s. la. foure est encore très dense sur ie~ o~ levards et tout. fait prévoir que nous \'ei-' ron~ une soirée pleine d'animation.

A~U~'HERL~T~

Epiants et LycMUs

Bien quels Mardi-Gras ne soi!, pas i' grand jour carnavalesque pour le Q.uartie; latin, puisque la cavalcade des étudiant: est ~orgaïlisee pour la Mi-Carame. le boulevard Saint-Michel, la. place Médicis; i~ i>. rue Soufïlot~ la rue des Ecoles et la rus Monge n'ont p.a9 échappé à la grole d:~ confetti.' C'est surtout entre la place da la Sorbonne et 1~ place Ssdnt-Miehet qua se sont livrées les batailles les plus'ch,iH< des. Au carrefo.ur du boule.vard Saint< Germain, les petits disques de .papier a~ laiant saupoudrer les arbustes, du. squsn'9 deClunyetmêler sur les thermes gaUo~ romains leur poussière toute moderne la ponssiëre des sieeles.

Cependant, l'animation du Roui' Mich' était due surtout a. l'exode de toute uin partie de la rive g&uche.

L'administration univergita.ireagt'attfla les potachesdeux jours de'congé. La rentrée'des grands, élevés interne.} de.~ lycéesdelarivegaachealiauce soir n dix heures il y aura certainement d'àboudantes ondées de confetti autour de? lycées Saint-Louis, Ilead IV et-Louis"

le-Grand..

D'~TTTr'~tT fT~C* ~'T)F]f<r*t~T!T'

PuLRILEb.. LH~ANLb n

CMc~mpaane contre M. Desshan~

On semble décidément ne pa.s vou!oit laisser M. Descbanel tranquille. On lui reprochait, il y a trois jours, da s'être marié illégalement, on demandait même l'annulation, de son mariage, souale prétexte que la céremonia civile n'avait: pas été publique, au sens légal da mot. La Presse .a établi, par des opinions; autorisées, l'inanité de ces racontarg.~ ri Ce iSâ~&, u.B jourB.~ _aaapBcs deux pr~-


:~y~

Le dége!, qai avait commencé hier apj'ës-jnidi; -a.Hra été de s'-jurtt; durée, car cette naît le freid s'est encore fait vive~BieRt schtit~ remettant t<mt sur le tapis. Dansées, c&nti'ss.d'&Rtra.iRemea.t.l'inquiétude ast\-iye,car il semble maintenant presque impossibla de prédire une date day&nt; mettre En 'a an ~tat de choses ;sipréjadict&ble aax prapn~tairës et &~X€n~fai!ïeQrs ,?1, en samot, à tout le personnel des ecane!

iGomnic.hior~ë tr~Yail a ét-e nul da.ti.S Ta matinée. A Channily, :t sept Reures, le thermomëire marquait encore 3° au-dessous de zéro. Dans l'apros-midi, la température s'est un peu élevée, ce qui s permis à quelques entraîneurs de donner de légers trottings à. leurs penMon&aiFes,: mais les routes dalà.forêt sont si. profon-. ~éme~t -gelées qu'avant plus d'une semaine, même~i' température changeait," le travafl hormalne pourrait certainement -être repris- De fQïteSr pluies seules poarraient précipiter'le-dégela Ala.Morlaye,fr~Hd est encore plua ~fet la neige copYjre Jes routes.'d'QTi ta.pis. assez épais. Las ch&v~us ~sant :suhple-ment prome.Besep main.. ` A.MaisoDS-LafStte~~oQ.a été un peE plus hardi et cet après-midi quelques entraîneurs ont même eszayè'.de~airs sauter les haies. A Auteuil, la sitsâtion a.Hrai'; plutôt empire* Si le temps/ne se modifie pas, ~e redoate fort; pour les reunions de jeudi ~t de dimanche, -(malgré l'ardent désir Qu'ont les commissaires de, la Société 'd'ouvrir l'hippo.drcme), qu'eHes ne subissent le., sort des; denx premières. Néan-.

-w~ '1

.MHuM~M .Mi~J~M Mtji; ~3pêe'a. B R. B/B. Relâche. ~Th. Ffança:s,'8h. 1/L'Ecole des ~Femmes. '1 –Le.Medeoin maigre lui.

Opéra-Comique, S h. ~). .Carmen. ,'1 Cdéon, 8 h.4. Le Passe de Itions~eur:– I Château'historigue. Pa:a<s-Rcya', 8 h; 1/2. Là-Venus au Plumeau.–M'Amoar. Théâtre Antoine,. 8 h..1/2.–Devant !oBo:i-

heur. Les Remplaça.nt.es. L'Article 330.

Opéra Popuiaire, S h..1/'2. La. Travip~a. théâtre Ssfah-Eefnhafdt. ;) h. Relâche. -Rë~a~ssanee'(théS.tre Iyriqùë),8 h. !/4. Deux Qrage?.Miss-.Belyett' Gymnase, 8 h. ï/2. Le Doma.inB. -=' Shâieie~ S h. &/?.Lo Peitt Ghaperon rouge. ~audev!!te, S'h. 3/4. La Eobe Rouge. i Porte~SaiH~-MartiKj S.h.S/.i. Les Ronges' et!esE]ancs. Saitê, ?h. ~2. La Masëotte,. V3s'i6iês; 8 h.i. La KouveUe Boane.– Ninichë. remédie Popu!a=re(Folies-Dramauoues)* 8 h. 1/2.Le Bossu.. Scu~e.s-Pai-:s)ens, B h. Relâche..

~o~~eaHtes,S.h.i/4. –.Le Coup de Fonet.–

Ce cher Docteur. 1j.t

Ccjaset, 8 h. :)/2. Le Sous-Préfet de Château-Buzard.–L'Ane deBuridan.

~mM~H-Csttt!quë, 8 h. !/2. La Chausou

Gu Pays. Athënëe, 8 h. t/.l. Eti Fête.

Ctunf, S h. t/ CMnbrioteurs. La. FamiIIa Pont-Biqaej, SfRndSu:g?!G~29,rueGtiaotat (te!. 228-34),3 h, ))/B. L'Heureux Auteur. tjn Voi. Un Frère. Une Déposition.

&,es Capue:nas, 91], s/B. Afternoon tea. Chapeau. Ia.aecis.ian; 'Solo de violoncsite. En Express, MHe Larna et M. Hetirys Dahan MUe Simoni. Par Politesse.

BoHffes~dH-MorG, 8 h. 1/2. Cyrano de Bergerac. Thëâis-e ~aguês-a, 8 h. :/2. Nicotassa. Di<}a\'o~:sbeaisse~ 1 ,<

eMEE~S ET SPE6TM!.ES B"<EM' '1 'p'ar~sns (teL !a0-7t)).– Spectacle-concert.– L~ Poupée aBierica.ine. t -1

SEy~piS, (ie!:244-68),S h. 1/4. –Faust; grMfï D~)!et.EmiIienne d'AIeccon, Th-~da./ Sea.ie, Ginri, i" danscus3-êtoiLc,'Jua.nHa'deFresi& Dix attractions npuveUos.–Dnn. et:fâtes., mat. f~t~LM~ ~=–t–

~7–Trëcë-TD~ru– ~=~ '5~~?~Ï~~="?~?==~~S~?='=BSE. .<r'nr-

.~S'ER ~SQ~ i VAL~FM~SES P m?JP.S~HSA!5ES VÂL~SF~G~3' VA~SES .S- VALETS ET fO~SEIRA~ERS tT.)!

3: A fr F tV.R ifR1 eM~1.' ,[~1~ iDem. j V ALEUg,S F~M~Ç~S~ ~¡~~cl~~ Dornî,j-VÃLEURS rRA[iG.6.;S~S- cours. \fÚEÙ;RA~Çásis-~ 1~f?c~l~-]'D01~1l: j VÙEURs-'FR¡r¡cÀ¡~ES' .ern. ¡' VALEURS' ET f~ON'OS, ÙRAfiGERS drii"3 ,J)8rn. j

~ott.i.com.. ,i-. MUM, 'cjo!m..<rrs.

'ss~5~~ s5S~s~~°Ms 000 f. °~'1~s~ ~~ss-s~s~ ~~sss&s- 111,

~0.terme. BannueTrsabat!aiiiif'uo5BO.5 !4;() ~hU~d~ in~Rfi. 1). 'qn' °MS' CharKeursi'e.unts~act.dcjea.];i.Rus~e4%~J4.C'.e!mssiou. ;(jq~ 7. -?f)

~compi.. ,t02SO M2'~ Com~oirKatiOB~d~scor.~ie.S~ "1 -°'5fr' 7h- -?;i~< ~S BuYCJ(EtaMis~mcnts). ~00' 'DO RKES:eConsolif]ë.4.% et 2. séries. i~~

~<5 '2.terme. 10:95 ~5, Cr~tFo~er~Fr~ce.no'nin. EUS;: !M:B6ac-Guch~ ~'b ~6.~ 7M" ~OG'f' O¿il,;JD "1 ~loulins do du eil. et' de ,rE,~ 4 1;1,° ,1:O 3%OrlS91' ~M, '8- u P'?R')/!)r~ l, .j 10. ON.communaIesJ379S.GO% ~350!)7. '~hi~3°~e!r!a3mf'" ~7" Le lie, net de ~00 1212 i -217 -b mMneure4%;0~ent).< 33~ g

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,Ih..fj, Uo.-U~U i I~ v, ].- 18,9 7105 ..1 -c-1- i ~D épar ~~liyien z 5,~) 250 f. P.. -40 ouest, actions de ~CO f, » 1 ü.,)g 1:1 oi). Rieher (ADclC~ne Cl~), nct. de "O~ 1. ;O ~l'Q Turouie (Dette coii*erle, ';0 ~;me ,J? 7; I,Q

f~~ ~r ~~M~ r =. !j'~ act. e -,n f 1";0, 735 '\11:1.1.5°1' ::>oe,;agncolad'exploll.t,J,JnluzotetC'" i~

7'i} Ll/¡~ P.! qil 3 'l~')" -1;): -,t..l..b.l obiic. 3 uëst-.MLé"icn,oact -00 f. à 600 f. 'lU! n a iii., t. p 1~ ..['.1: -J, ~fJ, '<

S~- ~?~ ~P- '0725 2~ foBcieTes-oOf; i~) TE~a~ou.dc~°. G 1 OQ-~) arisic.,wc) de ~OO L 20,f. fllit~ 1(~-0 Sccict.rarisie~'elcctrique,.act.250f. ~S:: ~bii-Prryne~ee~.tDoua~s. ~3:: ~1 4~ r ,M" r -°'SMf; .VALETS ET FOHSSET~SEHS l' ~& ~~d: S j8N. '2~OJ; ~M~t~p" .a' f ~f~n Mcssageries~.mes =00.f. ~n:L. Au~chc4%'or~S76-77-78-79-SO~io,g,, ~7, 7,~ C~Mo~~a~:A~ 'i~ ~j- V4 !00f.t.p.~ 68.. 977. 75 commmialesi~2'.8o~ 470 Lyc.n-Icdi~a'~ac~'d?~i/ 50 ~01~0~00~~ '1' ~e5~iS?.C,r,a500h. 3~ .i~ Anda!ous(Ch.defer)°act.de:500r. g

~=j!- lS9~S9S~/2~r.400i.t.p.!3R5. BousdelCOf.18S7~-ec'ots. a" ~75 5Mf" ~î~i~')~ ~~O~ ilù EgypteDcneUninëenouvct:o6%io.sjo~~30.~mmsAutrich.ens-IîongroisacL~ 7.

U-! '1/4, ,,100 t. P.; 9?.. DI 701 commUll"'C~ ,,90 2;l:Oc~ol:¡:>'1 4;2 ..1 ~d --II Lypn>\Iedller!'D.J2ec a~r do ~QOJ.JBb ..11807 Suez gen. de Tra~lwll, aet. 100 f. t.. P,' ;0:, ,1 10 Egyptè Delte' Unir" ée nouvelle G IC,8 iûl 10: 'uo 30" -elle n,1J n' S A~~tnc'1lens~l!ongr01s ac~O~(. 0 71°, 'Th]

iGOf.t.p.! ;)S. de iOO {SSSa'~ra.vto!~ .7-,n A7-n -~U' nh)~ ')' °"sz~aammarH)mejact.(le.aUU.l. g,]t).]705.. PriYilë~iees3]/2% r. ing~o 103 =.n .Lcmbards'Sud-AuirIchiens~,act.500; i 't S Ir g. ~8~-2% M0f.t.p.:4~ 433.. Obl.Bann.hYpo~l':OUûf .? 7 ~?~Àt~n" ~7- ~50 Espagne'~c~er.në~.c.~tiMd-cif.. Merid!on~x'CiaHal:desCh.,act.MO.. ;n.). ~t~ OJOQ f. t. p.l: 427 C.d. r.~ '~OUY!'I! M..a~d. 1,6-1 -,51 4(i8 ~~r~ act, dc. ~ou f.I" ex-co d. ~b en ~a~ ûct. de :,00 JDJ

En- -1¡'1;i:n 1~~f.1' 1,10 HI ~'1-=1 _j~lr.v.;)Ovr. 650; obl:g'.)~9fuswnll'1IiG77j).'JJ18,. 'LcI>rllllGnlps(Jule5JaluzotctC~c).crt G:.t3. lion -rois oi, né-. ch. Lx>e o.. ';ara-o,ze de 500 î. 2.3r).. x78.E

.T~~c~ Lyo~ o~f~ Eau.r.a~.d. ,-c' 0 ~7.7.

FEUILLETON DE LA PRESSE

D~20Fé?rier.90t

PAR 'il MA~TJAL'HËM6~ DEUXIEME PARTIE

H

?EM-AMU3

–m<e– 'l'

W i, de toutes ces cor,tradicliohs, de

Ijui, de toutes ces contradicHocs, de

toutes ces.iRsinu.aticns,ne retenait que la note émue aui parlait-en soii cœur. Il admirait chez Mlle Aubertin ses quaUtés d'âme, sa. noblesse d'esprit, la ¡' rayonuante intelligetice qu; Tenait, cqu~ J ~ronE.er.cette .beauts MUYëraine.il. ava.it; l, senti le charme de celle qui ne s'inouLe- ~'ait jamais d~ çbariBer; exempte de~ou~ apprêt comme d& toute coquetterie; hautaine, soJt simple, toujours. Pour qui avaif; UB peu l'esparience des ruses de la séduction, il'snfSsMt de eau- ~serun instant aveG elle pour être assuré de sa pureté absolue, de son éloignerne~ ~s~ctif pour toH~s ~a.rùpr~éa I.

i" ,?C,'C' T"T" '<

~< ,j.:<>< J'c.~

îa oins, étant :d.t)Baée .l'&po~e 'nous sommes,- -use'Brusque détente- peut- se produire d'un jour à l'autre. Nous le sotihaii:ons bien yiYciaënt. ''ÉCHOS~fNOE~LLES' ..rYoï.ei~dans.sca. entier, le Kxte.des moai.tLcatioilS que ie comité, delibëraut dans !a ïornie prescrite pnr l'article. !) du :'oglR!nc"t de S'ocieis, R int:-pdmtesa.l.'at-HcIe,j7vis:mt, tout particulicreme&t !es courses de gentlemen et dont nous avons déjà entretenu nos lecteurs ART.~T5fOD!F]E'

Sost seuia admM à.monter. dsus .les courses dû gentlemen rcgiesparleprescutreg'smeat,

1" Les membres du Jockey-Club, des -Jockoys-Clubs anglais, belge, autrio'bie'n. Hongrci.s, de Berlin, russe et italien, du Cercle Agricole, du Cercle des.Cho.mi!).s-do fer.-du Cercl'edc la 'rue-'RoyaIe,. du CeFcIe de TU.nion, du Sporticg C~b.'duÇercle.~de l'Union Arti~tique~les.officiers de. rsrmeef):am;.aise. en activité do'sefYice, le.s.otRciërs aes. 'h~raa ëga)emonteRsctMté de-service. Les personnes acceptées .c~milLegenUë-mon par le comité de"ia'Soci.'étë des'StB.epléÇhases'de Frajieo.statuant au scrutin secret. Les' personnes' admis'es'sur' leur 'demande ;apres ballottage p.ar le..Cornue d.e& courses.' '7.' La dcmamis'dëvra utre- adressée' par ocru, aux comanssairos de la Sociotc d'ËBc&'dragemëNt.

S'il s'agir'd~!u.ct''anger, eUe'devra .êtreappuyée par deux commissaires d'une dessociétés dpat les pouvoirs çorrëspondentdans son pays à ceux de la Société d'E.ucourage:nent pour l'amélioration des races de chevaux en France, Tout .étranger résidant en ~France depuis trois années aa moins sera Gispeuse..do la. formaUtë ci-dessus et pourra adresscr:directement sa dema~dc~aux commissaires.

Etdot-a[!o(!.é).2tS-3), 8'h. t/2.Spectacle- i concert.–As-tUYuIaFcrme?-reYuo.Di- i mnnches,.jeudi:,etfct3S,!natics~ I .Sca'a.(te). <Ot-46)~SpectaHle-conceri, .En-' '1 rTn, seuls! revue. Dim. et. fêtes, matinées. Casino de .Paris. Gr-.dei-Roussel.' srand ba])et-pan!omime- MUe Angc.ie liéraud. Mme Pauiine D&gent.. Miio Va'eniine Brouat. t.a Cfgaie (ttH. ~07-6a, .S :!i. !/2. Spectacle '.T _cot!cert.T'y viens-t'y? revue.n~ttaMbHtas-GoRcai' 25, rua FontaiR.e (te). E' 2Si-S6' Spectacle-concert. –(t. Biles eu veutent f revue.' Fauteuils t-fr: 50.. ~~P~- Cabaretart:Etique,53,'&ddeG.:[ehv. fLJ~ tjS.E'jSj 'Visions cImstcs.iHus!onsc6)cs<es.: ~CHJin-Kc'jga. Toutes.soh'su 8 h. )/ ConcerL A JO h., bal. Matmeos'Qimsn- f ches et fêtes :'t 2 heures.

E~usee Q,ë~)n.Bona.pEn-ts à. M~ainiatËon." 1 Saint~-H.ëlôns. Le comm&nd~ntMarch~ud H. Fa.ckoda. –ïbenire iJos Fantoches de John <

HewElt.-

Bu!er.–Concert–spscta.)e. –Bà) tuardis, 'j jeudis, dimanches et fêtes..Samedis, bai mas-: ;qué. Dimanches et.Htes, maUn.Gas à prtxrcduits. TGurS~îe! Ouverte tous les jours de midi ¡ la nuiCjusqu'ai! éta~e. Ascenseurs seu- S

lementdimE.Mtjes.etfc~Es. 1

lement dimG.!lches,etfÕtc3. G

?ard!~d~cc~mai3i!a5*OuvBt't tous les i! « jours.' Concer.t jeudis, dimanches et fstsa. I "T~'?~S~E.8~E~' 1 Eei~e~e, 8 h. 1/2. L& Forgeron da -Cha-

teaudmi. t

.E&~a~QSfes, S h. .La Tom' de Nesles. 'J ¡ -R~an~"nar{fe,~it. Le Régiment, de Gham- 0

'pagne:

~CRSpa!-Hsase:R'h. La DaiBe do chez Maxtin. Ss'ene!!e, Su. Mme Sans-Gène. "r~' g eobaHns.Sh.–LcsBi.ijclotsduDia.ële. Thës.i:'e~as Te"n.'es, 8 h. Froufrou.

FôHes-Se:!eu!t!ej 8 h. La..Femme do ~ar-

cisse. .c' ei~Es ¡;

Cif~ua d'~i~e~ (tô). 288- Tons les soirs

a 8 It. 1/2, Toch et Tard. Liitls aii H?ht..

Eugénie.– Matinêesjeudis,dimanches ctfetes, MeuvesH 0:Fque,'Sh. 1/2 (t.ë!41-3~. « Le'

Pont A~xandrea, revus liautiqua a grand .'=

.spcctacie.Les Nains Colibris.Mercredis, jeudis,dnn.etiates,matineesa2h.2..

0:{;e ~ëds-ans, 8 h. &/B. Exercices énues:

.très. NouveU.°s nttraciiohs. 'F'6Srie~spr3te espèces facccrde E E & MR-'Ë secoure. Eçr.W. i37, horc~a 76, Parfs. P ~f!a"5~~ d'RSS-!a:s e: cï'ner?':3.m! Da" 'm ~c E EJ~iEU prcfe~sstir <Sp!me. EzceH" me&ed9. ë'ns"ïnodeMs. S'aoresserau b~6a~~euj~f[:ai.

charnelles. Répulsion physique ou sélection morale, indéniable était: sa chasteté. Et cet oubli'total de l'amour; de tancée qui s'y rapporte ou y fait penser, n'était pas ta moindre attirance'chez ceMe-là créée pour l'inspirer, sans qu'elle parut -s'en apercevoir, y prêter attention. Etait-ce donc facilo avec un être si différent de ses semblables; compose de côtés très-en saillie et d'autres, absolument obscurs, d'aborder une conversation avec le but forcer les portes d'un temple dont mil jusqu'alors n'avait tente l'entrée

Si Martel de Kerhoët souhaitait cette conversation, oe n'était point certespougEié parune vaine curiosité, il avait le respect de la femme et eût rougi qu'on lui supposât l'intention de violenter les sentiments de celle-ci pour en obtenir un aveu, arraché momentané iuent à sa. velonténéchissante. ~ihU.iË~t .d'essayer; pa? s~paro~e et ses conseils, d'être de quelque secours à cette esseulée; peut-être aux prises avec-une'de ces'difficultés dont profitent les audacieux pour enrayer et. circonvenir jme~ femme dëTrîëre laquelle i!s sont Rssurcs "de ne trouver m pcr&, nifr~e, ni ma.ri pour la défsndre? La. lâcheté des hommes a:,devant elle un s~a'6'të..c.h&mp,; est si/ bien a. m~me de s'exercet alors daas ~u~ sa'beUè 3,mDie~~

O

Ensuite do cette s.dmis~ic.&~ar ballottage,J

'on pourra m.pnter~dàns-tô'u~éa les cour&ss~~

gen'Hcmop.~ëg'tes par le prés.ent règlement, a moins qu~rïs comité n'on' décide autrement. Catia aamjssio~ji'ëst valable qu.3 pour l'atlu6ë-en;coui's. Dana les courses pour lesquelles Is'sot'nme &rmo!-tCée commo oS'er!,e eu anx dépasse 'OCO i'rr.HCS, si uns personne monte un cbe-val eu q~aUte de geattémaN saNs'rëmpKfIe's conditions exigées par le pr6seatarticlo,ce cheval sera distancé.

Toute personue -qualiGée cou~M'm.emeat aux dispositions du :presepT artic!o ei qui~ scr;. couva~acuo d~ avoir,: a'quelque époque et sous quoique forme quo'c.o soit, reçu une t'ë-~ tribution Gti';ar~e~t pour sa mojLte, sera du-' rIaEce lacapable da'mouter-â..I'ave[iir,-a.{icun' cheysl daus~~cs courses do gstitiomcti. Lo cheval qu! aura e~e l'itistrument de cette iufra.cUon-~çradistaRce. Toute réclamation tendant à faire distancer un cheval en raison d'infractions aux dispositions ci-dessus énoncées doit _etre faite, peine do nullité; dans un.délai, de dis~ jours.' Dujôc/;e: .11. paraît que lady Meux n'a.pas l'intBn'UqN. de retire].' :VoIqdy&vski de. l'écurie Hug~ins; .mais il. est p'ou .probable, que le chovalDorte ses ccuicurs'. ladv Src'jx'désira'')t s'abstenir de-f.aiEe.com'iF.ËUQ avait presque vcnda le t cheval rece.mmeBt, mais les [legociatfoDS ont été jûmp.ues .pour une.cause imp.j'&vue. Tout "ports a crou'.ooue.siVoIôdyoyskI noii'ouve'! .pas d'acqucrcur, .il sera loué "pour sa carrière de courses.

Oa'dit que Manifesto s une jambe q~i' -chaufTo'a l'oEtrainement, ce qui pourrait l'empêcher de l'emplir son engagement dans le Grand Natiosai. En attendant des renseignements certains, le vétéran, vainque'ur eo. i89? et 'IH39, a disparu do la cote. Lord Oioa'noII a i'intent'ou.do l'an'a courir, le:pouisis' inédit Fraukfort, propre frère de l'étaloa HaSiburg, dans lo.Berby Chicaa-o,

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E8sr3e~ .&? ~reatis -du j~r~ f~ du e~MË~t, -PsHg. L

Peut-être MHe Aubertin n'osn.it-elle faire appel à son .intervention;, il n'était: guère communicatif, peu porté'do lai- même aux provocations oratoires,- ton- jours entrave par cette retenue taxée, par. certains, deraideuretoui était seulement la. réserve d'un cœur délicat. Il fallait, cette, fcis, la. mettre de cùtc.MHe Aubertinne-l'yencoHrageait-npasau'restepai' ses'temLoignages de rrancho.amitië, Is cas particulier qu.'GUe faisait de sa personne?' .P.ourquoi;prendrait-ei!e'en mauvaise part '1

uns teUe démarche? S'jl. pouva.it.gagner

saconSance, apporter un peu de détente~ et d'apaisement en son-cœur, .reconnaî-'f tre ainsi ce qu'elle faisait pour sa sœur'! 0 niensdugedes .iBots'! Pauvr& cœur humais; qui se défend du rêTe'ët vole impatiemment vers lui, porté par les denx

a.iles du désir et de l'espoir'

III .!L. FDITE.EN M&YBTE

~de JM/o~ À M~e. C..j4?:ch~m&a~

!O, at{ Caï-re." '¡';

K:Madeni.oiseHe,

'f ~obels au désir, quêtons m'a.Yex'é-' l,

moigne~lors de votre, départ pour ce

voyage, dont.L'idée, sitôt venu-e~a étë~si' subitement mis.e:a exécutie.n par Mlle Au- bej'tiQ. cf– Je na puis ries y c'oinprendfe, m'avez-Yous dit, en'me .serrant la main à 'I'h8~§ adieux, Q~Uie iabie '?ieat de.

courge dans'La~Milte FraBkt'ort avait été en- ~ga'gea~antla'~ëBte-MarGusDaly. .<TodSIoau vient; d~acheter, eu Amurique,Thc'Lady 37,500 tE.Cpeao {?,500ir.etY~ les emmener on Aag~e~erre' GovertHack. qui fartas préparation pour !e Grand Nations), eu Iriaade, a pris samedi, au Currsgh, -u~ BxTtaHot~t.-gatop.sur' 5,.ë~ mètres, acootnpagnô d'AmbLiSh II, le stceplechijser du !'oi Edouard, et. gagHant de !a Grande Course de ,iverpoQl, en t'JOO. Lschevà!.du.capitaine .Hus~ehe Loder est euH'a.~ OL'a{e'EEaa!. dans lu Grand StcopIe-Chase d'A~tëu'ii'. '='

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!Së:Xcn~~j~LM~.

A~~M~' ~J

Alltime ~'s~S~-i!' .B~ps~s

tous le. ji~ÿ; M~ ? -li ~,L.O ~~t! j~&~j ;jj! :ConibustiHes ,is v `!~ ~.T-

¡ia\'eG '~i ~~A ~~F 1 h<ilmM'; &1

une simnie. ~ss~~=~ i~6,.

.n~e. r:~l' =`~Î~li.~ c·fFfSnt~ ~-=-===~=-=.~=-~===~.=~===.

traverser le cerveau de cette pauvre Claude?.

<' .Si vous pouvez-savon' la, raison d'un pareil.coùp de tête et si l'entretien que ysus deviez- avoir avec ma cousine en a été la coQSéquence'je vocs~'en prie, faites-le-moi connaître..Car ce. n'est pas m~'voyage.c'est une fuite en Egypte. '< Héias! Mademoiselle~, je ne suis pas plasavancé'qnG vous, et au point d'hit'err.oga~iph que- vous: me; posiez il .me laut en ajouter un'autre. e Je puis seulement-vous racontei. ce qui s'est p~ssé entre moi et Mlle Au-:bërtm dans cette journée qui devaitprécéder de si peu celle de son départ ce départ, vous lèveriez, ne peut; en rien être attribus aux quelques paroles échangées entre nous, mai's a dû être déterminé par un motif qui m'échappe comme à v.ous. s 'Vous vous rappelez, que séduits par' ce bea.u jour d'octobre, nous ayons décide derf&ira visitera, ma sœur, moins' souffrante depuis plusieurs s.emam.es,l'oi'pheIjn~t de ~petites nHeSj. fondé par~yo.'iire 6.o_u.s:B~J~.éz:6iCes. C <' C était une fête pour la pauvre reclasse, toutë'souriantej'a~sisë'dans la. voiture à côté de sa-grande a.mie; vous,et moi, en face d'elle, chacun de nous heureux de, son. plaisir. EHe avait voulu~iout co'nn'ai.trej s'intéressait à tous les dëtaHs:, interrogeait les enfants; leur parlait de ~a douce voix faible.

e'–Mot anssi je sms orpheUse comme

J.S!T'Mhfe]d.5LeSuperbe.69 '1 J.HtrschfeM. f;'l!i[Mt. ~8 p.~ed~t.4 Monjaret. 6B'4. ,'1 B. NMMin.4.S.ju\-ei!irlmpcrm) Bfi', C.Gt'os,Sc.-t.4HaatHrL.:n.6% 'MarquI'&e-<!e'-V!t)~nt3jor a. Fn.dri. 6S ~âu~uct-ijo&a'tre. a Mgsfe.Gitiks. 8G î'n)r;ct-Lnma:rë.<Fet;itc' ()5 Ch.Li6na.rt.4 Kiii:irney. SS Ch.r.ién~rt.5 Tendre Amour.64 Cte..Cl&rmont-Tonnafj~-5 V:M';ahoHd~6t J ]L!tu'ô!id.Vard.tet.5Tri'b.~et~n4 R.Tfiiébaux.5 Brumaire. G! D.DoriiU).5 C~unes. 6~ I. Wysocki. 4 Jupiter Gj~ .Comte B. de BoisgeMn. 4 -C''inchU)n. C2 t!b.~Lieh~rt. 4 :'ortunat.o. 6~" .jH.I'is6h!iof.4~)hi. 62 i -Vicomte (tf. Fontnrce. 4 Àmblie 60

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1

f.~SS~S,~LEH~S8E~~S.~S!JQS~S!aSë.

~t~~

COMPTOIR, des BERVICEB FINANCIEREg~C~~§E~~T~B~§ eO~,O~S échus de toutes Valeurs,-moyennant m centre pSj'-Cc~pCB.

''ËSÊEE§~Ëâ~Ë~MEâ~'

LaPRiNTKMPS se charge de rAclia!, et de la Vente a<teomp;'arM;d~).oatea'Va~tCF8 negociabIessIaBoursecoPEris. 0 ~f~Y§~9~ e~T~g eo~Ts. Le PRINTEMPS accepi.e des dëpôLs de fonds en comptes cotuants à 'vue'SU tStfX de 1 "/oran. –.Zi' es~~ëf'tprë f'M C/:ë~ues aHs r~N!atres de Comptes <e;~ ~:t: CR' ~bn~i'efdcmŒ~e. ~@~.ë Bg~eAf~ê~ Le PP~MTEMPS accepte sûssi des députa de fonds aux taux et durées j1xc9 c~i'~ 'après. En garantioLd<cesdepôLs,-)e'PRIKTEMPS délivre desBcmsdeCaisssspcso'its à I'M'd:'e fies Bnposants. CesJBons.sont munis de Coupons trimestriels au portent*. Hs.ne sont etnbUs que par cent francs et 'multiples, de cent'francs, ;et partent des 1~ ''lOctSûdechaa'uemois. DE1~0TS'Alsn. '.S~ran.I DÉPOTS: A3 ans. :rs'n.

AS ans. 3!/=°/ AS'ans. 4'/<p~~

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Le Rayon d'Epargne Popu~rè ~du JPMNTEMPS a em crée dans un hti! philan- l, t.hro)'rique,'pourf'aeiliterpépar:j'0. Le plus petit-versement est da 1 franc. le p!us for~de'1,500 franes; et ~Ms a~EB cas, l'ensemble du livret ne.peutctrc supérieur à 1.500'û'ancs. · .Interêtpayé:3~2~î'&3.

,ëS'S?,<'P~E'K~tiËS]fS.~i~~

~~ai5e1

PROTENAKT DES USINES g BE DA CO:'JfAGX[E PAR!SIE!E. DU GA.X gGOB;Ea.<'G.ëfr.@S~ L'hecto!ttr3 )S

g. 'B°'t. 3 fr. 55 ~eadu a domic~a s

n<'3.'Sfr.~g,~ (.'ahsPar's SRCS règles ~UE'u.sses mêmes â3 la G~ § 0)) .no ~'fre pas mo~s û'e ~fj'tt'e sacs a /a fo;'s 1

pgr cha~e ~ar:t~ se ssss Soks Bu d'Mthrac~ sera ~aiMeEM PB~

L ~~Si !!3 10 a.lI~.B~.e=.F~-uLs:' ~'U'EIQCHS

i l,

-Atoutachetear enune ou plasieurs fois,, comme il cst.dit ci-dessus, d~.

I: M:ËOTCLSTREg DE.COKE on 25 SACS a'~THRÂC!TE

II.'s'e~a. servi E~-P~~ME P'.s~l~ I~'o~t'~

r' ~M/?emM~ra.i.b .G"M f27<3/s 2- I~E~.E~~ES 'I! sufRt. Se dôtaohër rua de ces s@KS et de l'adressor avaria'ecmmaEde~ ~Aësums.~rateur de La P;'s.e, i2, i-ue du Crôissa~i;Le service, du jour~at:aeraf&i~Ë~f -'teproduction de {ucturës constatant l'achat' doa'qa&fititss ind:q~'ees c.i.de9aug~ `~

.I~=-<n<

vous. maïs'vous êtes plus heureuses que

moi, vous ayez-la santé. Oh! qaej~e

voudrais pouvoir courir avec vous

«ChëJ'e petite Blanche!

'.< Redoutant trop de fatigue pour élis; nous avions dû abréger la visite, eteILe était retournée avec vous à Vert-Asile, pendant que MIleAubertin et et mof'nous .aUi&na jusqu'à la Déserterie, je desi~ rais examiner le modèle de la nouvelle serre, pour en faire construire une seinblaLlë chezmoL. a Je conduisais le duc dans lequel j'avais amené ma s.œur a.u château, etjsre-garda:s à la dérobée MUe Claude. e Son visage était calme et gardait l'expression de la joie qu'elle venait de donner à tout ce petit monde qui vit et ~prospère, grâce à elle. EUe est tranquille et reposée, pen;'sais-je, est-ce l'ins.tant à choisir pour lui parler, ou dois-je attendre une secousse -nouvelle dont 'In surexcitation delierai.t 'mieux l'obstination de son silence? K Grand.embarras pour moi, complique :par la crainte de la blesser et de paraître indiscret. En arrivant à la Doserterio nous som~mes entras "tout', de. suite dans !&' petit salon a gauche et,pendant que,devant la 'glace, &m'e Aube'tin.dénouait sa. voHat~, 'j'avisai 'deux cartas, déposées sur !iae

LtaMe.

–AM dis-je, .en voire abseacc lenoaTe&u 'NédectR de MézieMs s'est Drose&te

.I.MC. R.Ma.ETMn.5 M~riHca. D.M~uraLm.5 Lysisti'nia. Ctt.Lién~t.4 Bed~t. A. \P;cMd.ùLRPIa.ntis. E.Fischhof. 4 Albi. Mme RicotH. 6 Empresa Gf îridia

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chez vous. II commence ses visites ob~" gatoires avant son installation.

'Hein ?. que dites-veus? Et Mlle As~'bsrtm en se-" tournant brusquement c~ .mon/cotë.

ïT~enez' voici pou? vous et vo~re -cousine, les. deux cartes du docteur Har<' Y,aux,de la faculté., de i''a.ris. N'aviez vous pas ëntendu'dire qu'un nouyeau mcdecm allait s'étaMiraMeziëres? J'en suis bieR heureux pour. ma sœur, et vous vo~sfelîciterez .avec moi du remplacemen; d'un. vieux médecin 'devsnu msuffisant par-un autre auquel je -pourrai reco~ris' avec plus de conGance/

–:<(Vousêtes:sûr?;

Mais oui. son père m'a con~rm&IaE nouvene de la, venua de son Sis dans, Is pays, nn de ces derniers jours ou j'etai? aKe solliciter ses Ismieres au sujet d'une. revision de cadastre concernant ma' prc' pricté.. Ah! dit Mlle Aubertic, en s'asseyant d'uhmouvement Mide.et àutomai-ique. EUe passa son mouchoir sur son vis;Tg$ 'et l'y tint quelque temps appuyo'. Qua.n(S elle'l~ retira, je vis qu'elle'était toute pâla e~ remarquai sur ses traits uao contrae-r tiondouloureus~.

~~M~~


~chaînes .intcrpeUattons aorJie cas du .jtré'sîdeatdela tjhambire. Voici les propres fermes de cette.information:

A* InterpëUation sar-I'tnsuffisance des mesures 'Ûëjjoiiceiors de )& manifestation clëricaJo 'du 16 Ïcvricr à Saint-Cen~ain-des-Prës ~laterpcHa''tion sur r'Mertie du parqueta poursuivra !a. nul'lité de certains marin.ges'eeléb'rés eh dehors des i'orjue~iegalëS et, spëctalomeat.'sans la publicité ~.prescrite par la loi. 1.

On avouera que'ce sont p.uériles chicanes et le public serait le 'premier à se réjouir de v-oir les politiciens accorder à l'adversaire victorieux de M. Brissonla trêve de la lune de miel. ~e c9!?:~an€~ant C~eg~et

Apres les~rrets. Shaz M" 'Menard

j Le<:omman.d..tnt Cuighet a termine hier soir 'Yadëténtion que lui a~ fait subir succsssivec:ent au Mo~Valérien et à Ivry le général

.JAndrë~

AÏ'expirntion de cette peiua, le commandant est'aHs rendre v~sito.a M" Joseph MëFBard, J'avoc.at qu'ila spëcialament chargé de'

.;défandre ses intérêts.

Voici d'ailieurs ce q~e nous a dit.sur son ~çlieut le sympathiqae'avocat

–Je.n'aivu.Ie.commandantCuignetquëque!'ques instants hier soir à. son; retour'~i'Ivrv; il tparaissait'en'excellente/santé et les longs Jours-. ~a détention'qù'il~tent.de subir.ne semblent pas: ia.yqi~a~érê son .énergie. "D'ailleurs, la dernière. Lpenbde.'de.laL détention a'Ivry lui a paràmoilis* ipëhi.Ne.qua &eMé'qu'il passa au'Mont-Va!érien, 'où l'on s'eSorça d'abreuver mon ciient de~vexa-'

.'tiens de toutes nàtarës. 'Si''cot~ état de choses

avait se cbntiSuer Jusqu'au, soixantième jou; ï) est bien probable, que.la saute du.comman~ dant~'enseTatt fortement ressentie. i J'ignore, quels sont ias'pr.ojets d'avenir de mon jelient; pour le moment, il va se reposer et partira ce soit' pour Qourseu!)es il rejoindra sa 'Somme et ses enfants, qu'il a hâte d'embrasser. Ajoutons que M* Ménard a cet après-midi ~&êiae .une longue .conférence, avec le commandant Cùignet.

m. DOU MER EN FRANCE

~e gonvernement fait démentir que M. ~longeot-soi~ candidat'à la succession de

M. Doumer en Indo-Chine.

Le cabinet paraM; craindre fortement Tine choses c'est que M. Doumer ne retienne en France pour faire de lapoli~iqse militante. Aussi le fait-on prévenir ~poliment que ce qu'il aura de mieux à faire ce serade retourner~à-bas.. ) M. Dpumèr, étant un esprit indépendant; ne peut plaire eh effet à l'aimable ~gouvernement qm nous opprime. Et si ~M.Decrais laisse son poste au gouverineur actuel de l'Indo-Chine, c'est qu'il .jauraitpeuFd~leYOtraiUenrs. A MOKtGEAU-LES-M!NES OnniandedaMoaiceau-Jes-Mines; MM. Lafargueét~&uosde, venant de CIialon,i~ont arrives a quatre heures; Mille personnea /environ lee attendaient à !a gare. Aucundraipoau rouge n'a ~te arbore, mais senlement ,!deux drapeaux-tricolores portés parlesgré-

;Yistes.

Ils ont sté reçus .parles, principaux chefs ~soeialistes. Aussitôt apr.ea leur.arrivée, une réunion a été teNue salie Pézprat.

MeUKt.F~!GNE TÊtÉPMM~E :y On mande de Cherbourg:

Aujourd'hui, de deux heures à cinq heures, ;Ies autorités locales ont été invitées par M. ~.urnier, receveur des postes, à inaugurer~la nouvelle ligne téléphonique de Cherbourg a Valognes, Caen, Paria, le Havre, Amiens, ;Versailles,.Melu.n, etc., etc. Le prix de la communication avec Paria sera de 1 fr. pour "~ois minutes de conversation. Cette nouvelle ~gnc téléphonique présente un grand iu'~)Érêt au triple point de vue commercial maritime et militaire.

Journaux du Soir La Lsgion d'honnenr

y~a Pa~te, sous la signature de M. Alfred Duquel, consacre un article à l'ordre ~te la Légion d'honneur, que le gouvernement actual prostitue à plaisir, dit en substance notre confrère. Après avoir fait yemarquer que la Légion d'honneur ne devait à son origine recompenser queles~ actions d'éclat,' M~Buquot s'exprime ainsi Et je ne crains pas de donner une conclusion à mon réquisitoire. De même qu'après. la guerre de'tSTO il y eut une revision des. ~r&dës quoique un .grand nombre eût été régulièrement et justement acquis de.même, â/b)'tt0}'t, quand-la-coterie criminelle qui viole toutes les lois et.prépare l'asservissemënt.ds notre pays, qùaud les ministres. -de la baude, instrument de la Haute-Banque et des cubinets de Berlin et de Londres, au~'ont été .mis a bas par le peuple, redevenu ~ibre, quand de vrais républicains, c'est-àdire d'honnetea gens, reprendront. le pou*/oir, alors la révision de ces nominations févoltàntos, da ces croix indignes, s'imposera d'cile-meme.

.La. grève obliaaioira

Du même journal; cette opinion sur la grève obligatoire

Le « citoyen ministre e MiUerand est l'au'teur d'un-projet de K grève obligatoire n. M.' '\Va!deck a accepté d'en faire le projet du gouvernement afiu de continuer a se concilier les bonnes grâces des socialistes. En attendant, trente" grévistes~ arrêtés samedi dernier a Ohalon, viennent d'être condamBés, après un réquisitoire -fulminant du ministère .'public, à des peines variant de un mois à sis mois. de prison. Il y a gfos a parier que les ouvriers verront longtemps encore lacorrec;tionae]!e et la cellule obligatoires ayant la grevé t'c~)u.

Le T~mps- attaque vigoureusement ,c.eux qui déci'et.ent tes .grèves hors des

'corporations intéressées:

Au groupe-parlementaire, au comité ge~nét'al socialiste, ce he~ont pas les ouvriers. ',qursouff!ent l'inspiration. Us sont là, comme. disait un jour.avec esprit M. Clovis Hugues. .(l'un d'entre eux),, quelques proîess&urs, jourHatisios ou avocats (; jnatiuels )) qui ~se 'piquent d'être plus royaiistes que le roi, pius ouvriers.que .l'ouvrier. Ils disent au travaii'leur ft T,u souSriras ceci, tu te plaindras :de cola. A tel jour. tu quitteras l'outil, etc. a Le travai!:eur obéit, jusqu'à-ce qu'il se ré'-T/ox.o-contre ses nouveaux tyrans.

1~ grève de Sha.lon

La L~o'~s suppose cette communication teléphoMque de M. Miliorandàun agitatenrdo Chalon: v

–Allô! allô! C'est vous, citoyen X.? Oui? Vous m'entendez? Sacrobleu! mon cher vous partez trop tôt! Dites aux cama.rades que le chambardement général n'est .pas encore tout a fait au point. EnS'embal:!ant comme'.ils.le font, i)s vont tout simple;iNeni. chambarder le ministère, ce qui serait ,un désasiropourla sociale, Waideck en est Tnatade. r'aitos comprendre aux'grévistes ~que leur tour viendra des "spooms et des ~ballottines. Mais, pour l'instant, qu'ils se conjtentent dea soupca popuIaiEes. Qu'Us changent quelques Carmagnoles' de plus. Ça les ;,&paisera.Qu'cst-ce.;qu'!ls ont a êtré"de la ~sefteimMtieats? Ne <mis-je pas miaistfe?.,

C~O~~D~Z)-5'~A~ j f

Un ~s

Dès le lendemain de !a Fête natio- 1 nale, Suzanne Destamg avait dit à son ami –Un de mes sept maris est" mort la semaine passée. Voulez-vous prendre sa place? 2

.Et il avait accepta.

Le mariage se célébra, quelques jours'. après, sans aucun apparat, car on jugeait ridicule, an 1980, 'et même inconvenant, d'entourer d'un cérémonial démodé les préliminaires, peu intéressants pour le.public, d'une opération-nnancière ou d'une combinaison amoureuse.

Suzanne avait pris .pour témoins deux employés de ministère~Jacques Lesparre, qui ne connaissait personne à Paris; s'était contente du patron de son hôtel et. d'un tailleur à qui il veTiait de-cômmân'd~r.uncompIst.en&heYiote. .Deux ballons dirigeables, qu'on s'était bien gardé de draper de blanc,transpor-

tèrent la noce à la.mairie.

..Précédés par un huissier et suivis par leurs quatre témoins, .Jacques, et 'Suzanne, aussi peu émus :l'un que l'autre, pénétrèrent dans la salle, des mariages et- s'assirent sur des fauteuils assez-pséa,'en face'd'un grand tableau"qui représentai! 'formant un groupe très décoratif, tous'les I hommes de génie, depuis Ménélas jusqu'à Napoléon, qui avaient; été trompés parleurs femmes.

Une .immense table, recouverte de drap vert, occupait presque toute la largeur de la salle.\A une des extrémités se tenait un vieux commis, coi&'é d'un bonnetgrec, affubla de manches de lustrine et qui ne paraissait pas êtt'e là pour son.plaisir. La cérémonie commença.'

D'un phonographe, posé au milieu de la table .et qui faisait fonctions de maire, jaillit une voix aiguë et chevrotante, une. voix de vieille femme qu'on étrangle Levez-vous.. Les deuxépoux se levèrent. Jacques' étaitunpeusHrpris.

Le commis St'signe à Suzanne de s'ap-,procherdelatable.

( La voix reprit 1 Pënsez-ïous, madame, avoir le cou- rage da supporter pendant nn an l'homme le ici présent, que vous avez choisi comme époux hebdomadaire ? –Je le pense.

Jacques s'avança à son tour pour écou-~ter la question qu'allait lui poser le phonographe administratif.

Vous sentez-vous capable de faire 1ebonheur; de respecter, pendant un an, toutes les fantaisies et tous .les caprices de la femme ici présente qui a bien vouluvous prendre comme mari ?

Jàcquè: s'inclina et, très modestement,

répondit.

J'essayerai.

.:Lo phonographe continua:

Article 1228.Un mari doit.à safem~me obéissance et fidélité. La .'femme ne. '1 ~oit rien à son mari. 'Le vieux commis prit à son tour la parole pour. la lecture du procès-verbal ~.Gejourd'hui, 20 juillet Î980, à dix heures trente-trois du matin, en présence de Nous, Pierre-A.ngustinTrocnot,. commis de quatrième classe à la mairie du. vingt-huitième arrondissement, .officier du Mérita Bureaucratique et de plusieurs .ordres étrangers, ont comparu la dame MaMe-Suzanne Destaing, sous-secrétaire d'Etat, au ministère das relations amou- 17 reuses, âgée de vingt-huit ans, et le sieur Jacques Lesparre, sans profession, âgé de vingt-sept'ans, qui ont pris l'en'gagemeut ferme de rester mariés pendant un an, c'est-à-dire jusqu~au 20 juillet 1981, à dix heures trente-trois du matin, et de, respecter, autant qu;e faire se pourra; les lois et règlements matrimoniaux actuellement en rigueur.. Le'sieur Jacques Lesparre s'engage spécialement à se contenter du joar qui lui est réservé dans le ménage collectif et la dame Marie-Suzanne Destaing nous s a déclaré que ce jour serait le mercredi et qu'elle entendait consacrer à ses six autres maris le Teste de la semaine.' En foi de quoi, les époux eUes témoins ont signé le présent procës-verbal qui sera' 'l' inscrit, atin que nul n'en ignore, "sûr les registres de l'état civil. '1 La mariée signa la première, puis Jac- ques, le maître d'hôtaî, .le tàiileur et les.) employés de ministëre. Un de ces cm- r ployés il avait le titre de rédacteur de première classe déclara ne pas savoir écrire et se contenta, de faire una croix. Et c'est ainsi, sans autre fdrma.Hté, que les deux amants régularisèrentleùi' sitsa.-

tion.

Les dépenses de ce mariage moderne, (_ enfin dégagé d'une.inutile mise en scène, ne dépassëreutp~s, y compris les frais de voiture et les trente sous de pourboire i donnés au commis, sept francs cinquante. par tête. "J'

Bem'i eE'.MsECE'aa.

LES GREVES, EN, ~ti~i~

Légers détente

La situation ne s'est guère modiRôe dans la journée d'hier et la matjnëe d'aujourd'hui, en ce qui concerneles différentes grèves qui'agitent plusieurs villes de province.

..AChalon, cependant, nous avons à enregistrer une reprise du travail dans plusieurs usines importantes.

_A:-MDnfceau-Ies-MiHCS. le .calme semble revenu, mais' nous ns saurions dire si de-! nouveaux troubles ne se préparent point. Voici les dépêches que nous avons reçues dans la journée y

'Chalon-sur-Saône, <9 février. .Le tribunal correctionuel.qui a Gbndamné.hië.r trente manifestants des peines variant do quinze jours a deux mois de 'prison et acquitte deux jeunes gens de quinze ans comme ayant agi sans. discernement, va temr une audience spéciale à uns heure de l'après-midi pour juger quelques inculpés dont le cas était discutable.

Les abords du palais de.justice sont gardes s miUtairomcnt. La direction de l'usine du Petit-Cjeusot vient de faire afScher un avis disant que les ouvriers ont rompu leur contrat de travail et que ceux qui vet.tlent rentrer dans lés ateliers' devront faii'e par ~cnt uuo nouvelle demande de rêembauchag'e. Les rues sont toujours occupées militaire-. ment par la troupe.

Chalon-sur-Saône,M février. Dans la ré.union.d'hiersou-, M. Guesde.adéve)oppé!a théorie du. parti socialiste st a engagé lespnjvriers à l'union pour. arriver à la possession des usines.-d Nous ne sommes séparés delà révolution, a-t-i! dit, que par "un eSort. Cet enort, il faut le faire

H a termine-en disant: eLarévoIu~i&aM

fera, non contre l'armée, mais avec l'armée .véritablement nationale et Iibertair&, dont .Bien des .soldats sont déjà conseienta de leur devoir de classa').

Chalcn-aur-Saône, 19 fovrtcr.–M. Sclimidt, directeur du Petit-Creusot, est parti, pour .Paris .pour conférer avec M..Schneider. .Le travail a repris ala Yen'erie. Les tui!cries Herschtin et Brill ont repris également. Des factionnaires se tiennent en permanence ~aux abords des.usines.

Les usines Galland et Pinette restent fer-' mcea elles rouvriront demain seulement ~p6ur la paie'. L'usine GaMan_d, snivant l'exempte do celle du Petit-Creusot, reembauchera après des; demandes écrites. Une sélection sera faite daiM le personnel. L'usine Pinettë'n'a pas encore pris-de de-~ cisionacesujet.

~es oatuers 'du-port'de Brest.

Brest, ~9fev.ier~ Un grand mécontentement règne en ce moment parmi les ouvriers du -port, .a la suite du refus oppose par le conseil municipal à une demande de subvention pouf les co.ura du soir organises par le syndicat ouvrier avec le concours 'do quelques professeurs du lycée. Les ouvriers ont décide d'ouvrir une sous-.

~criptipn.; Y

Les Biinanra "de Sauti-Eloy CIermont-Ferrànd, {9 février.– La Com-, pagnie n'ayant pas apnne de réponse aux mineurs de Saitit~-EIoyd&ns la réunion d'hier. .soir, et-malgrélaprotnesse du juge de-paix'. qu'il ne serait pas fait.dé victimes,des mineurs~ ont voté la continuation de la grovo par 657voix.cpntrc '16~ Le'1'ésultat du vote -a été accueilli par les crisde:c Vive la grève !i)

Las ferblantiers-de Lorleni

Lorient,. '19 fëvriBr. La\g'rèvë des on-. Yriers ferblantiers, qu'on croyait terminée, reprend aveçune npuveHointensitë~Lë'sousprefët a porte les .propositions des ouvriers nu directeur de l'usine, qui les a rejetcea~ comme inacceptables.

ASsint-EUchna Saint-Etiennej~9 février; –Les ~ouvriers. de'l'usine Palip.~BertrRnd et Oie,.au Chambon-FeugoroIles, vionnënt-do se mettre on' grève, au nombre d'une centaine. Ils denian-. datent le renvoi du contremaître et le direct leur n'a pas accédé a leur demande. Saint-Etienne, '19 février; Le 'secrétaire de la Fédération, des mineurs de là Loire a

iaroriiô.par lettre le préfet .que )a Fédération.

acceptait la proposition faite par le. Comité .des 'houiller&s de 'discuter contradictpiroment le.s Réclamations soulevées par les' miueurs relativement a l'inobserYatiou de_ la sentence arbitrale par les Compagnies. Le secrétaire de la Fédcrai.ion dss.mineurs demande qu'une commiasion d'enquêté soit composée de cinq membres ouvriers et patrons et que cette commission se réunisse le .plus.tôt possible~

~Jne Hfson~ag~e:-qus.g!!sse On mande'deNeufchâtel qu'un terrible danger menace la val d& Travers. On a remarqué depuis pLusieurs jours, à Noiraigue, qu'un pan'dc:la montag'ne.'se fendillait. On constate maintecant qua~Ies grottea voisines se sont onbadrées en partie, et l'oa perçoit mémo, par intervalles,des bruits formidables. Dos ingénieurs geolôg-ues, appelés en tôuta hâte.'ont déclare que la montagne entière eat en mouvement et qtie, dès le 'dégel, un miliion do -mètres cubes de terre et de rochers seront précipites, dans la vallée. La route, le chemin do fer et plusieurs villages seront ensevelis sous cette formidable avalanche; la rn'iëre Avrëuse. sera détournée ds son cours,

Ce qu'il y a de terrible, c'est qu'aucune force humaine ne saurait prévenir cette catasErophe..

« Au-dessus

des ForGës humides s Ij'Œuvre f renaît. Use gra.nde prermère. Le chef d'œuvre.de Bjœrnstierne-BjœrnsoTi.

J'ai eu l'avantage de faire la connaissance deLugné-Pos dans un de ses moments–oh! qu'i! n'en ait pas hente! de découragement, de dépression morale pour avoir vécu quinze ans hors d'Europe, j'ignorais encore lap!us grosse partie de son passe; mais, en voyant la grande énergie de ces yeux, la particu!i('ra bonté du bas de ce visage, ot l'ensemble. quotient du Coite rêveur,, comme du. Romain conquérant, je no pus m'empêcher de formuler une prophétie~ qui n'était pas qu'une consolation banato oui f'.i'arène s'ouvrirait nouveau, pour. ça lutteur! il aurait sa revanche dos heures mauvaises! et, plus tard .bientôt, peut-être –sonnerait le~ triomphe df.Gu.itif.

Ce n'est pasencoi-ele triomphe prédit; m&is c'est la revanche, la bonne .et belle et vaillante lutte, et, devant'ceu~ qui se 'com-: .piaisaient a dire que i'(Euu?'a était morte, l'Œ'in're surgit ds nouveau, toute-ivivantë et vibrante dans sa jeunesse restée_intacte. Certes, si la célèbre piëce~ du grand auteur

.tiorvégieii\A(t-t!ess.tts :des -Fo'fcea humâmes,

que nous verrons ou'revert'ons mercredi au Nouveau-Théâtre, est comme ie poème de. la ioi religieuse, cette représentation, elle-même me semble, à moi, comme une victoire de la îoi artistique. Il faut avoir assisté à ces répétitions a bâtons rompus pour se rendre compte dos dii:'6cu]tés énormes qui attendaient unetclio entreprise. JRemat'quez qu'il ne s'agit pas ici d'une de ces pièces de genre qu'une dizaine d'amateurs ou de professionnels vous enlèvent en un court et facile effort non! Si littéraire et de haute pâture intellectuelle que soit l'œuvre do 'Hjœrnson, c'est une pièce essentiëitement tnéâtralo et scénique, la nguratioa prcad une place tresimportante

Remarquez en outre que la plupart des interprètes volontaires do l'Œuvre ont leurs occupations, fjue bon nombre, d'entre eux appartiennent aux thë~trea parisiens, e!; vous aurez déjà une idée, bien qu'encore incomplète, des difficultés qu'avaieNt a surmonter notre directeur-acteur et sa vaiUante troupe. Tel soir, c'était Rameau, retenu a-1'Odeon par une répétition impré'tTjo; tel autre soir, c'était Mme'Suza&ne'Besprëa, ou Dëssonnes, ou Baaer, que le Théâtre Antoine, les Français ou'ie Gymnase, arVaisnt accaparés. 'Ou encore cette mésaventure, .qui tient du Roman'Comique': au beaumi!ien;d'uner.épëtitio! le régisseur du Casino.«.priant e le'direc.teur del'Œuvre de lui cède'' la scène un moment,oh'juste une petite heure le temps de faire répéter ces demoiselles du corps de batlet de l'établissement limitrophe! D'autres auraient jets le manche, après la cognée; mais ces autres-Ià n'auraient pas eu, chevillée au cœur, la foi qu'on a parmi«ceux de TŒuvre)). Quand les répétitions d'ensemble devenaient impossibles, on s'isolait par petits groupes, on répétait entre soi une acëce, un bput'de scène, et,l'occasion se faisant propice, on raccordait, on reprenait. pour arriver en6h à un magnifique ensemble qui, mercredi, fera la j.oie des critiques. lesplus pointilleux.

Comme on le ,sait, Au-dessus des Fo)'CM hM;nànMù se compose de deux parties,qu'on joue d'ordinairea quelques jours d'intervalle.La première comprend deux actes la se-.conde, quatre.'L'une et l'autre contiennent~ .dos scènes de toute beauté et.du plus saisis-" sant eSet.. La: traduction, là-seule autorisée par le poète, est du comte .Prozor pour la .première partie de Lugné-Poë pour la se-' conde.

n est intéressant de constater que p~u-

sieuradescomédioni! quinrent partie de l'in-

tcrprétation !o i8 février .1894, date do la' i" re"pfésentation, rempliront lés mêmes rôles mercredi soir. Lugné-Poo garde ce rôle si coiiipletdu Pasteur Sang, où il s'était taiUé un véritable triomphe M. Rameau, de.l'0déo,n, a gardé lui aussi son rôle du Pasteur Brait Mile More (Agathe)' est dans le ~êmeoas. Mme Suxanue Duprès, qui remplit'ie rôle de Rachehioradela reprise de 1897, l'a cédé' cette fois àMlle Deraisy, pour prendre celui de !a veuve du Pasteur, dans la partie. Quand j'aurai' ajoute que M. de Max dira mercredi un magnifique poème d'ouverture, dû au vibrant écrivain qu'est M. Maurice de Faramond, j'aurai commis toutes les indiscrétions licites.ah! sauf ceile-ci, que j'ajoute aux autres c'est que les représentations du- chef-d'ceuvré de Bjcernson pourraient bien avoir un lendemain, la dë&nitivo résurrection du T~ëdtrë do.t'Œu.ure.'Et cela, souha~tons~lé ardemment 'aux jeunes–aux. vrais

~c~ord&F&ist.

j-

L.~ s" ~FjT'i'b un a,x Tue par sa femme ('

La cour d'assises de~la Seine a 'condamné, .ee.t après-midi~ a~huit mois do prison, lanom~mëe 'Rosalie 'Lamb'eaux,' accusée de coups ~yànt~occ~sibnhé la'mort sans intention da: la? donner..C'est son ;mari que la femme Lambeàux-a tué à coups de-tranchet. Une affaifë franco-persane

Lo 'premiero chambre du tribunal civil vient de se. déclarer' incompétente dans le procès :o.n 200,000 fr.'de dommages et intérêts intenté par M, le boron KoliScher, .chef de section.' au ministsfe des unancea 'de Perse; à M. Souhart, ministre do France à Téhéran. Le baron Kolischer base: sa demande sur certains agissements auxquels se serait livré M. Souhart,' agissements qui 'auraient eu pour conséquence de le mettre.en défaveur .auprès du gouvernement persan et de lui faire refuser des concessions qu'il sollicitait.. Une pension a!iment3ire

Le tribunal civil a condamné aujourd'hui nn poindre, un élève de Ftameng, M. L. à-verser une' pension de 300 francs par-mois destinée ~subvenir aux besoins de deux enfants qu'il avait eus do Mlle Caroline D. avec Ia.quello il avait vécu douxè ans.Co jugement a pu être rendu parce que~ M. L. avait promis .par lettre n son ancienne 'maîtresse avec. laquelle il rompait en t896, d'élever ses onfaûtsn ses frais.

~a ~v

Ce que ron voit chez nos voisins.–Les sa.va.m.s restent sceptiques.

Voul&y.-vous des nouvelles de la.pianote. 'Mars?Envoici;de toutes récentes; fourniespar M. Lowel, astronome anglais

M. Lowell, c'est un astronome très observateur.il-étud:e, depuis da nombreuses an-/ noes, la physionomie de la; planète Mars ti n'est point parvenu encore'a voir, àtraYers les verres grossissants.de son, télescope; les' habitants, de Mars, mais toutmôme croitil pouvoir &n afarme.TL l'existence. M, LoweU, en effet,-a observé autour, do Mars des chaugement3:tela qu'ils prouveat, selon lui, l'existence d'une atmosphère. Il pense que les régions da Mars appeléoa~ mers ne soii.tpas des étendues d'eau: i"' parce que la lumière réiléchie par elles n'est pas polariséë~tandis:quo la mer. Polaire l'est; parce qu'elles s'effacent à mesure quo~a saison -s'avance; parce, qu'à certaines époques, on'aperçoit sur e!Ies des tâches claires ou sombres..

Ces phénomènes prouvant, solou M.Loweli, quece qu'on appollo les mers polaires ne sont Que des espaces planes.~sur lesquels apparaissent périodiquement des végétations. IFy a do~c dans Mars une vie végétale. M. Lowoll pense encore qu'il n'y a point dëmortagnesdans Mars; les projections et les dépressions vues surletorminatenr montrent que le globe martien.est probablement -uni, et que les points lumineux qui ont fait croire à l'existence de hauteurs sont dus a dès. nuagea se formant après le coucher du soleil ou avah~son lever.

M. Lowell incHne à croire qu'il y a peu d~eau sur la planète; or, il faut do l'eau pour ~perpétuer là vie végétale.

Dans Mars, on aperçoit Un réseau de lignes nues couvrant la surface de la planète. Ces lignes sont géométriquement tracées.Ce système do lignes vient du Cap polaire, c'est~a- .dire du point de Mars où- s'accumulent les neiges éternelles, et où l'OQ trouve la mer. ~Polaire', la seule mer'qui soit sur la plan'ète. Cela prouverait.que ces lignes ne sont que des canaux; canaux qui répandent'dans Mars l'eau du pôle.; il-s'agit donc d'un système' merveiHeux'd'irrigation, indispensable en un' pays ou l'eau est rare. Tout cela ne prouvo-t-il. pas que Mars est 'habitée?

M. Loweltest convaincu de l'existence d'habitants dans Mars, et. d'habitants supérieure- ment intelligents. M.CamiI]o.Fiammarion,.sui' ce point/est d'accord ELVëo l'astronome anglais; dès long-. temps, le célëbro astronome .français a affirmé l'habitabiUté' géoér'ale de la planète' Mars- M. Lowell ne croit pas que les habitants de Mars. soient constitués comme nous, mais dn moins doivent-ils nous ressembler sur certains points, puisqu'ils ont créé un système de canaux dont nous pouvons comprendre la nécessité et la beauté.

.Cela est un peu spécieux; cela est un peu hypothétique, un peu du domaine du rêve. 'Maisie~ astronomes ne sont-ils pas, si calculateurs qu'ils soient, un peu poètes'? A.force de jongler avec les étoiles et avec les comètes, à force de voyager, par la pensée, dans les immensités hieues, its unissent par rêver de temps en temps. ù moins qu'ils ne tombent, comme l'autre, dans un -puits.. Au sujet des fameux signaux que .nous firent, selon les journaux 'américains, des habitants, de Mars, M. Lowell est sceptique, irost même absolument incrédule.

M.CamiUo Flammarion, luiaussi~a déclaré nettement qu'il s'agissait là d'une fumisterie d'un journaliste américain.

.Ge n'est pas de.main que nous. pourrons,' selon M. CamiDe Flammar.ion et selon'M. LôweH,- correspondre avec les habitants de Mars, s'ils existent.. Femant! MaBtseF.

nj~ .~Fij ~~iRTf~jT

~<~ s~Ea%~ Hf%E& 6 B

Dépêches !!e nos Sorrespondants sat'tiojtisrsOn mande de Toulon: Deux enfants, laissés aeuls, ce matin, au faubourg Valbourdin, près Toulon, ont été entièrement brûlés. Les voisins ont enfoncé les portes trop tard pour sauver les pauvres petits, qui se nomment Yvonne Nègre et Jules'Croze.

Cherbourg. Le navire anglais .Leu't'smaK. échoué sous le casino lors de la dernière tempête', a été renSone marée haute ce matin et remorqué au port du Commerce.

Le dundee Jeune-Denise, de Boulogne, pourra après un aveuglement des'voies d'eau, ctrë ren-~ fioue a la. marée de ce soir.

Evreux.M. Pierre NoHhan/avocat Ma cour d'appel de Paris, délégué général de la Patrie frangaise, vient de faire, devant un très nombreux auditoire, une conférence dans iaquelte ila spiritueUement fait le procès du ministère et exposé le programme de.)a Patrie française. 'Ee conférencier .tête très applaudi. ViUefr&nche.– Le pa.quebot aUemand AM~M~a VtcÏM'ts, venant de Gênes, & mouitlë à ViUefràncho, ayant a bord 3ÏO excurs}ennist93~a~;

~:D~I1 DE M~SS~F

I/a'~bme'dej-ti-HMg-ChMS. Je.fais tctegraphiër.en F.rance'~ue.ie suis à toute extrémité. et c'est vr~Lpuisque je suis.

en Extrême.Oriont.

~AGRÈVË DES PETtTËS OU~RfÊRES

Vouiez-vous bien vous sauver, je na veux pM quitter un Paquin pour prendre Titi paquet. ÉCHOS DUTRAMSVAAL

A. partir d'aujotu'd'hai, nous Edouard VII, vous nommons comte Roberts Mac Ha.ir et vous concédons 10 0/0 sur les b'éneuces que nous ont rapportes à ce jour vos conquêtes auTransYaa]. t,E§ HO!S S'EM VONT

C'est dur, docteur, de s'appeler Milan et de m.aurirn quarante-sept.. Oui, mais vous aurëx la consolation d'avoir fait. quoique chose d'utile ponr votre pays. L'ÈTE~Mg'-BS-ACKBCU~É

Suisses. Voitâ cucoi'a qae!que chos~f[u'i) m'entëve. car dans Brisson il y a Brice. U ne me restera plus que du son.

~OS ~E<~H<~S

LB~O.VDE

Jeudi prochain, soirée chox ta comtesse de Pont-deGoùIt-Saussme,'dans son hôtel delà rue Saint-GuiDaunio. On. y donnera'des îragments de'Feruaa!, de Vincent d'Indy, exccutëaparJaScho~acaHforuTt). exe-_

Ls lieuteDant de Prémesnil, fils de l'amiral. est Eancë à Mlle de Lestapis, ûlledu généra!.

Lundi prochain, on-bénira, Saint-Pierre de Chaillot, le mariage du comte d'Heurse!, lieutenatit au 29° dragons, avec Mile Odette deLapeyEOUse.

F~;Yr~DEf;0/

On écritdc Stuttgard qu~. sur !a demande du Roi. et de la Reine de~Vurtëmberg, une représentaijion prh'ee.a été donnée pour eux auHo.fntea~ le principal théâtre de leur ;capitàIe,,Le roi GuiHaume désirait assister, non de sa loge' royale, mais bien. des coulisses, à la représentation du drame classique de la Puce~e d'OrMa~'s, qu'on vient de reprendre à StuttgardavecU~déploiëment de. mise en scène d'une richesse extraordinaire. Le couple royal n'était accompagné que de.. quelques personnes de la cour.

Les.acteurs, bien que jouaat «devant des banquettea t, ont,'paraît-il, fait de leur mieux.. A~res ta sccne'du eou.ronaement dans la

c~thëdrale de Reims, ta Ro! & voulu pénétrer sur la scène et se mêler à la troupe du théâtre, afin de féliciter ceux des artistes dont lo'jeu lui avait plu,particulièrement. Et il pajcait que c'etaiL un singulier "spectacle que de voir ce vrai monarque en habits d& ville devant ce roi de' théâtre, ses chevaliers et ses gêna de cour, tous en costumer du quinzième siècle.

A PIED SEC.'

IIost plaisant de constater combien Dame Nature se joue des eS'orts humains, et avec quelle 6ne ironie Tandis que les ingénieurs se mettent partout on quête de nouveaux isthmes a percer, l'ëcorce terrestre, lentement mais. méthodiquement soulevée, tond et la à unir entre elles des terres ..jusqu'ici séparées: 1 re elles des C~est ainsi'qu'une commission do savants américains vient do constate: après plusieurs années de sondages et d'expëriencea spéciales, que la mer de Behring sa comble peu a peu en partie;, de fait, c'est comme, un mur qui s~édiSe d'année en.année entre la pointe du .Kamtchatka et les ilet Jes plus occidentales du. groupe, et, géologiquement, le jour M'est pas éloigné l'on pourra: se rendre pied sec d'Amérique en~ Asie..

C/A~Ë:COA'E'RE7VCB

Soùg. ce titre a ~n.u~e de JusHce !ee idées, les'jugements et le féminisme du pré- sident Magnaud a, notre collaborateur J. Joseph-Renaud appréciera demain mercredi, à 'quatre:heures et demie, a la -Bodiniëre, le rôle du célèbre magistrat humanitaire..Ce sera une-séance: sensationnelle, grâce: à'I. Intérêt qu'elleom'ira, d'abord, et par les maîtres de la.Iittératuro.et des arts qui y assisteront.

CHOSES ET A~RES.

JOURNAUX POLITIQUES ET ÏLLUSTRÉS DE Tous PAYS.– Vente au numéro; abonnements à la quinzaine, au mois, etc. (Conditions spéciales pour'rédactions de journaux.) Gautier, rue Graillon, Paria, arrondi

7NFO~MAT70.S 1

La. t'eôuvorturo nnnueUe des conférences da M. L~on de Rosny, à la Sorboine, aur?. lieu de7nnih mercredi, trois h.eurcs'uri quart, dans )fi ~nlis des Hautes-Etudes religieuses. Le profem seur traitera, dan.! :sa premiÈre leçon, de )'<'t.m uc.tuet des reiigionsijans: l'empire chinois et ('ams les pays quront subi i'tnnuencc de la Chine. Le duc do Cambridge a.tra.YSi'sé Paris hier. soir, se dirigeant sur Cannes.

Est arrh'6 d'AHemagne J\î. Henri Schrenfer, attaché.a )a légation d'Allemagne au Bi-ësi). Est'parti pour Bruxelles'le prince da Ligna. Cesou', Ï'Eco)e de guerre, an grand complet, o~re un banquet au gênerai Langlois dans les saionsdu Paiais d'Orsay. Le général Bonnal, appelé à prendre sa succession, assistera & M repas d'adieu.' ,~OS~1~STRE§"~ S&ss M. 'WaHeck. Les affaires de Chine. Deax'dêerets.

Les.ministres se sont réunis ça matin en conseil à l'Elysée, sous la présidence da M.'Ëmile.Loubot.

M. Waldeck-Rousseau, toujours indisposé, et M. CaiMaux excusé, n'assistaient pas a la délibération.

Le conseil a,.procédé à l'expédition des aHatre's courantes.

Le ministre deaan'airca étrangëres a donné connaissance de plusieurs télégrammes'rolatifs aux a0'aires de Chine.

Il a annoncé que, d'aprea ses instructions,. M. Pichon a averti le gouvernement chinois du prochain retour de nos agents à MongTsé et a Yunnan-Sen.

En même temps..M.Pichon a demandé que le vice-roi du Yunnan envoie un haut mandarin pour recevoir à Mong-Tsê les agents français et leur exprimer ses regrets 'des faits qui se sont passés aux mois de mai et juin derniers.

Le gouvernement chinois vient défaire savoir à notre ministre à Pékin qu'un mandarin de 1~ classe est désigné pour aller au-devant de nos agents et leur.'donner'Ies sat.isfac~ fions demandées.

Le gouvernement chinois a, .eu outre, informé M. Ptchbn.quo des mesures sont prises pour assurer la protection de nos nationaux.

Le ministre de la guerre a fait signer un décret aux termes duquel le colonel GuiHain, commandant le 11~ régiment do chasseurs, est nommé directeur de la cavalerie au ministère de la guerre, en remplacement du général Branche, -appels a d'autres fonc-

tions..

~EnSn.le ministre de la marine a fait signer un décret concernant la participation' de la marine à !a fabrication des poudres. .UNE CRISE OUVRIERE

Nous avons annoncé, hier, qu'un comité syndical de résistance avait été constitue par les ouvriers do'la nafËnerie Parisienne., qui doit fermer ses portes dans un avenir très rapproché..

Nous apprenons aujourd'hui que ce comité, après avoir, élu son bureau, va adresser un appel a toutes leaarganisations corporatives pour leur demander de venir en aide aux onze cents familles que cette crise industrielle plongera dans la misère..

Les fonds doivent être adressés au trésorier, M. Stokloit (Charles), 15, rue d'Alsace, àClichy-Ia-GarermcfSoiae).

.LA.GUERREAUTRANSVAAL,

DEWET ,INSAiSISSABLE

De~vet échappe aux coJonBes anglaises Sa. ma.rclie vers le Nord. Les opérations au Transvaa.l

Un télégramme de lord Kitchener, corn' muniqué ce matin par le War Of&ce; nous rassure quant; à la situation actuella du. général Dewet. Pour échapper aus troupes anglaises lancées à sa poursuite,. le général boer a brusquement change la direction qu'il avait prise vers l'Ouest, dans le but probable d'opérer sa jonction avec les commandos d'Herzog et de Pré<;0i'ius. Il se dirige maintenant: vers Nord, étant ainsi .parvenu à dépistf?la colonne Plummer qui le serrait: de ~rës. Voici le texte du. télégramme ~e lord. Kitchener, daté de Pretoria, 18 février~ 7 h. 15 du soir:

On m'annonce que Dewot continue a so (E~ rigervers le Nord. Il est maintenantr a l'Oued de Hopetown.Il va probablement eSectuer une conversion vers le sud-ouest. Des troupes sont prêtes pour cette éventualité.

Les Boers ont fait dcraiIlGr un train entM Veereuiging et Johannesburg ce matin, lia ont été repoussés avant d'avoir pu cnicvs? grand'choso du train.

Nous avons eu un tué et un blessé. Qcou?~!an da Vosburg

Britstown, i9 février. Les Bof'rs ont occupé Vosburg. Les communications avec cette ville sont interrompues.

Mille Boers occupent Strydcnburg./D'au*très sont a Hou~vater, à 21 milles d'ici. Les raerMS afrikaners On mande de Londres':

Au centre do la colonie du Cap, dans le ~gf triet de Cr~ddock, on signai toujours la pree


A: I O ` ':T'" ,'7 ,d' 'EJ"

MHiS M& ~M!~Mô De!'nMremeut,Qn. nous signala l'ouver- 1 lure, & Bordeaux, d'une ccole de coureurs .cyclistes. L& même institution est en voie de.creatm.n.àAlger.où M.MaHeb.ây,di- '0 .fecteur du vélodrome de cett~ ville, va on j pré n~rp ta direction.. Nous ci'oyons'pea au succès d'une telle entreprise. "Néanmoins, pour la curiosité ] duJaH, nous allons reproduire les statuts ] de cet étrange collège:

I] est fonde a Atgcr une 6co!s de'coureurs tyo~stes., Eiîe .compMnd les pupilles, les j 1 Éle'e-s coureurs et les vétérans~ .'] ~'Pcu\'6&t en' faire partis 'tous les ~jeuties t 'Sens f~ncais-ou naturalises,âges d'aumoms -q.uiiixe aus etjou.tssant d'une mGMiité rëcon- hue. Ils devrohtpossederunemacMne et uuo tenue cyciistë, maiHot noir, culotte noire, bas noirs, ëcharpe-'de couleur..Aucune coliEation ou droit d'eHtrÉe.n'est exigé. Les îhs- 'sripttons sont remues au vélodrome.'siège de j l'école, p'ar~es. soins du .secrétaire de l'éta- ( Missemant. /Les;'elëyes coureurs sbuttehus de se eoniormer au.reglemeut d'ëntraîDemeut qui leur' I 3or~. communique. Les.séances d'entraîné- ( ment.auront ~:eu: deux-fois par semaine et iousiesjoursdurantia séntaine qui préeè-.dera uMrëuMonspdrtLve. Les élevés devront obeissauce et'respect au cheî instructeur'qui réglera l'allure et te mode d'outramemout. Une attitude correcte. ùuo tenue doceate, et des rapports courtois ~eroat -exiges, iajit. eB .public qu'en séance < privée. Les coureurs qui coutreyiendront au~re- .glement. pourron~ncourir .les. peines sui- yantes La réprimande, ratnende.l'interdictioE de ':a piste pendant un temps, l'expulsion déani- tive. Le produit d&s amendes sera Terso dans 1~ caiss&'des-élèves coureurs. ~Los.ël6yes coureurs jouissent,des avants- ges ci-après: gratuite permanonts delà piste, 1 Bscopte aux heures pûBdant lesquelles'le vé- ~odrome .ne sera pasJibre. ] Jouissance d'u!')e_csbiN.e commune._

Concours, frcquents avec récompenses ar-. ]

U.sUque&<

Coïii'sos.spcciales avec mÉdailles à toutes ~es reunions spartiv~s. Droit, pour chaque

sensé de groupes boers, qursont occupés à réunir dos rëoruGS ct'des chevaux et à envoyé. des ëclaireurs /plus loin au Sud. Ces groupes sont commandés par unÀfrikander. NoavellM opérations. On mande.'de Pretoria auDat!t/Mai!,Ie '!?- fév.rier, .que des. opérations importantes aont.sur le point d'être engagées contre les Bjcrs.dansie Nord du'Transvaal, où les co.I.OQRCs anglaises n'ont pas encore pénétre. Eië~ rêf~g~s portugais

On. télégraphie, de Lourenço-Marqucs, -!8 fé't'!cr, que doux transports portugais sont arrjvés, ayant à bord 40Û soldats portugais. Un de ces navires repartira avec des réfugies boora déportés..

~seurol$m§B.ts&~S&uâSa

Ottawa, '19 février. La nouvelle que !e gouvernement de la Noùvo!la-GaI!os-du-Sud s'opposait a renvoi dans Ja colonie d'un ofn- i e;or chargé de faire des eurôlcmentspourla j i poUcé montée du Cap~ a été l'objet d'un ~éb~tau'Parlement.

Le premier minatre a été oblige d'avouer que des ofaciers canadiens étaient" payés par .l'Angleterre- peur faire dss enrôjomests su Canada.~

Les Ganadiënsfraneais se sontmontTês 'très irrites et se sont déclarés opposés a ï'envoi da tout nouveau contingent canadien. ïlssontaSËe&hifhicnts pour empcohertout ;iouvol appel de volostatrea.' JI Du reste, les membres anglais du Parlement s-aut eux-mêmes d'avis que le Canada l aa[)oi:ph]s envoyer us seul homme dans le l

ëud-Aîricain.'

~.£ft~ ~lp:~I~

E.SX~Ean~EO~ t~A~SEE6!ëEE 1 Scnti'e la. conr impériale?– Ijes prépa- i'1[ ratifs. Ij*aMi<,tide des puissances. La. BOQveUe d'une grande expédition ;n:Iuau'e bFgaaisee pa~ le feld-maréchal \a.lderEeëét&it: assez mattendue. Nous ~10 pouvioRs juger de son opportunité., les e'cTicmsats' qui 'ont pu la. motiver étant assez iDaI connus. Nous~ne sommes d'ail~eu.rs gufre niieux éclairés a.njom'd'hui q'j'hier.Ce sont;en sommejdepuis le début des t r-Gubles de Chiae, les mêmes informations Gontradic.toires et. of6ciel!es nui nocs sont transmises. Et ch&que jour apporte un dément'aux affirmations de la ?e_uJe.

tablions donc, saHS commentair&, les dépêches qui nous parv'ëurLent sur l'ex- ~ëdition projetée et l'accueil qu'elle trouve auprès des gouvernemeQts Washington, 18 février. Le gouvsr.ne- I Hipnt est très ému'de la décision prise par /cs /Jlemands -do reprendre les opérations ZNihtau'es. On considère que les concessions fa::os par les Ccinois, au sujet des 'châtiments, sont aussi satisfaisantes qu'on pouvaiLl'espéjer.. 1 IJn& dépêche du générsi Chance donne un -brc~ résumé du contenu do ia note rédigée Ic par le comte de ~Valdersee~ Cotte dépêche 1 ses'a cxmninëe demain par le cabuie~ qui êtu-

diL'ra la réponse à y iaire et préparera les

objections 1res énergiques qui seront on- voyé&s, direc~iae~i; au gouvernement aUç- t B' L'!i fouct~CuEa.ii'e du .gouvernement a ca. Tacterisé la proposition, du c(;j,.g de'\y~ deM'?c en diB!i!ii q~ciie étaU monstrueuse et !DJÙS~f'3Î'!§.

LciHt!ë3,j3fé'er. Oh télégraphie de rcMn; 18 fc'ricr, "au ~ûi'Kt.~g Pcst" que Io_

comte de 'Walderséc a arrete~es plans pour.

~a nouvelle expédition çelIo-Gi quittera P6j;m samedi. Toutes les puissances, a l'exception de la Russie et des Etats-Unis, ont consenti à ce que leurs troupes y prennent part.'

'Les journaux de Shangna'f a.nnoueeL!t que !e3 'autorités navales aUëma.ndes engagent des pilotes en vue d'une expédition sur le

Yang-Tsé:'

I\e\v-YorK, i9 {évricr. ON télégraphie de PoMn~8 février: 'Toutes les banques et maisons Je sôihrûërce .ut suspendue Ie,).satî<iires~a l'occasion du TfiouYsl a~i chinois. EMes resteront fermées jusqu'à la an de la-semaine.

Los ministres, réunis ce matin, sont tous tombés d'accorc pour pr&test.ercoMt.rele dg.r'Bicr édit de~lacour; le doyen du c'orpsdi~{G'natique îmorm.era les plénipoteatiaires ~hino;s que les ministres étranger!; ~usiat.ent'. hurleurs demaadcs.primitives. Les troupes se prépara s'c~elleme.nt a expédition projet~on ae'corde un. soin. .~art!CuI'.er,&la.~)'.estiGn des transports. Les seules tr~pQg .ïnesure d'aHrontèr, âne longue ~amnagne s~nt les troupes an~taises, a!~eri~;i&'&&apORsi3es; les au-

coureur, à trois cartea gratuites pour chaque journeedecourses.

Cartes d'entrée à .prix réduit pour toutes les fêtes bals, matinées, concerts organises: 'par la direction.

Indépendamment dea ~couraes réservées exclusivement aux olëves~ do'l'Ecole et qui. seront Notées de médailles artistiques, ils. pourront prendre part sans payer de droit-i d'inscription* à toutes les autres épreuves~ dotées de prix en espèces. Un banquet amical réunira chaque année leporaonnël de l'Ecole pour resserrer les liens~de solidarité. Deux îétes\.une réunion sportive et un ba! ~uron~Iieu chaque annce~au pront'do la caisse dos coureurs..La moitié du produit sera attribuée aux coureurs, l'autre ~moitié servait à ~nt.r~etien' du matériel,' outiHage de.ropara- tions,.de pharmacie et de.pansEmoat aBectés aux.eleves. L'école ae coureurs aéra &dm~istr6e par un directeur~ ua,chef'.de l'~ntra~nemeht, uu. dtilëgue'et. trois membrea.~ Ce-cômito se réunira uao fois par mais ot plus souvent s'il y a lieu, pour l'organisation de courses;et pour le règlement de toutes lèse' questions intéressant l'école. M. Desgrange sera-t-il tent~ de fonder,. lui aussi, uuë'ëeole de ~coureurs aR parc des'Pî'mces?Nonse~ doutons fort. G- rE c

~Ë~~T~P ~!6t.SESE

fË~MHNM .UB!LE

Un des sp.prts.qui seront le plus a la mode cette année! Le ca;Mt.à pétrole permettra, en oSet,' a beaucoup, de gens dq pratiquer à bon compte J& tcurismo Ûuvjal et même maritime, qui à tant.dû charmes.

De nombreuses épreuves sont (Tores et' déjà annoncées; en mars la Coupe de l'Auto" Ve~o; en avril les L'épates de-~Nice; ea mai le Championnat dss 100 kil. do ISL .Ft'an.ce-4u-tomo.e-

Cotte dernioro cpreuvoso'disputera critre l'écluse de Bougival et l'écluse d'Andrësy. (deux fois l'ailer et le retour'). Lejdopartet l'arrivée acforont au pant du Pèc~. I On annonce commo également' probable l'organisation d'une course de. canots-automobiles de Paris au Havre. C'est encore !a Franco qui tient le record j dans la construction do ce senre do bateau, j y

très, ét.principaioment les allemandes, sont loin depossédortout le matériel et les appro- visionnemonts de campagne, mais le mare.. chai de Waldersse va se procnrer tout ce. qui lu! est nécessaire d'ici quelques jours. Le matéchal.csiime qu'il est préférable do i vivre sur le pays, mais la majorité des généraux sont d'un avis contraire; ils pensent qu'agir ainsi sër<ut courir un grand risque. Les Anglais se serviront principalement do mulets pour. leurstransports.~Lcs autres méthodes de transport a travers les déniés seraient probablement impossibles, ~car il ré- suite d'infprma'.ions reçues à Pékin que les. Chinois sepfépàrent'.à cotte éventualité on 1 bloquant tous ies déSIe8 au moyen de gros. rochers. On croit a Pëkm queTëspédition du comte, de Waldersee n'est qu'un o~tf/et qu'en coo- péL'ationaA'eclea ministres le maréchal es- c sais de forcer les Ohinôja & accepter les pro- i positions dos pui.s.saNcos. Ii'Mga.ssuiat'd~capi~îM Pëtii~aa Avignon', 't9 février. Le bruit do l'assas- i sinRtenChin.o"du capitaine Petitjcan n'est { pasconSrmô. Un rapatrié de sa. compagnie a âf~rmë' 'avou'ûtépresent quand un sdidafatirëun' i coup'dc feu sûr M. Petit.jean/qui aurait éto plus ou. moins grièvement blesse.- Lo coupable a été. fusillé par un peloton d'exécution commandé parTadjudant Prat.

"-=-' 1

Les .Evénements d'Espagne, t ~a'-erisg Enmster~lle Madrid, 19 février. La-plupart, des jour- c naut préconisent l'avënement d'un ministère-libérât,, avec M.'Sagasta, pour dénouer la B crise ot ramener le calme. :Le retour au pou- I voir du parti conservateur serait coasidéré comme funeste.. Lss tro~Mes de SeTiUe Madrid, 13'février. –.LesfÈtesduCsr- r navs! seront peu brilia.ctes cette-année il règne Tin froid intense. Les rues sont près- I; que désertes. Les marchands de confetti p 'et ssrpentins ne- feront pas de belles af- t faires. .s Le troubles do'Sévillë viennent d'être confirmés par le ministre de l'intérieur, mais il j. s'est abstenu do donner des détails. Une r lettre re&ue -de cette ville annonce <?ue les 1 manifestants ont lapidé les édincos religieux et le cercle aristocratique «Circule de La- c bradoresN, aux cris de :'« Vive !a. liberté! A bas Iar.éaciion!));A Valence, les auto- rites militaires osercont une'censure très vigoureuse. Le général Weyier a renouvelé 1 aujourd'hui aux directeurs de'journaux l'or-. 1 dro d'avoir à présenter les épreuves complètes a la censure avant la publication. Tous les grévistes-de Madrid, Gijon et Valence reçoivent des subsides de toutes les provinces d'Espagne.

H3TEL PJ~S- ~m~~Tr l 3S, Ea-a~ostr~ -îo~'t!m&rire (TcJéph. U7-6S) v Dëjeuns!'s3{'rt–C!ner.s4<'r.:vincompris r MEMU '"i.

Soupe a l'oignon–Pota.gomila.naig

-Eperians en buisson– Mu!et sauce câpres Poulet Marengo Epaule d'agne&u bretonne l pintade à lu broche Hm'e a. ]a. pistache Ci'osnes'du Japon– Earicots p~nachsa c

Mac.edo!nodefrnit~j-Dessc''ts

Gs.fo de GuaH?'iain"(Graad Prix Exposition) l

E~ ~i. ] I

LësT~pIssiars f' La Société.de secours mutuels des tap,is~ f siers donnait hier, rue de Rivoli, s.eji 5~bal f paré et travesti. Presque tous les grands ta- pissiors de Paris étaient présents bu repré- t sentés.. ~.L'ÂllhricoT'rajica~sa. L'«AIIianGefrançaison pourla propaga-' t tion de notre langue aux colonies et à l'étrah- i gor a donné hier son banquet annuo], sous la présidence .dé M. Gaston Boissior, de ( l'AcRdémio. française. f I;Q président de cette société, M. Foncin, inspecteur gênerai de l'enseignement; s'était J J fait excuser. Parmi les convives, remarque

?.1M~ DufourmenteIIe, secrétaire général:

tSuuT?,' më're~de l'In~itut M'.itcau," de-. L-

pute; Salone, sô~rÉ~aire gënéra.1 adjoint; [

Rougon, ministro plénipotentiaire Mainët,

conseiller a'la Cour'-ae c~SaUcH; Gaston Paris, do l'Académie fraucaise; Cousine re- présentant le ministre tiu,'commerco; Rqi~ i 1 Taillandier, reprêsent.nt'lo ministre des af- jau'es étrahgùrea; P~obin, trésorier général

aeT4~a~s'/ra'tcat.se,etc.

A';L~e~3er~ Mu.eap;{iéputc, a'porte la

~santé du président de !a République; puis. 11

plusieurs discours ont cto prononces.Ils ont

.fait. r.essortir.la grandeur de l'œùyre.déjà ,t accomplie et; attiré l'at.t.Bntion sur ce qui res-.

tait encore a; faire'poui' rendre a ;la langue-:

française la suprématie'que temeht; d'oMenir 1 d'autres paya.

G'est ainsi qu'une maison ffM&aiM vient da recevoir Ja. commande d'ujt .pri'nGe égyptien j y qui :vcut un canot automobile .poui':Bavtguer ,.] sur le.NiL Maia ce.dernier~.devraetre trcs ) confortable et comprendra'une cabine à cou-' chettes, une.cuisine, un poste d'équipage,etc.. Un vcritable-yacht miniature i: ..G..DEL.. j ~EËT9.MGE;E:PAU"(t"ouE-,nëe).. LA VOITURET.TE' ,t <~ L I;'A. TF- est arrivce 't" et hou pas 3°'cGTnme']'o]]t ] Écrit certains journa.ux qui ont confondu voi~urèt~esavec voitures fëgères. US7A'E ALr PRÉ-St-GËRVA/S fSc:~) < !j .:J .DANS:- IjES~ AIRS < B~c &RHoM dts ceBttc 4te B&SB. Voici c quelques renseignements techmques aa sujet du ballon imagina par le comte de Dion, dans !e bu~ d'un long séjour acrien dont/nous avons ëtë tes.premiers a parler. ._Cct aérostat, comportera, en p~ùa de son' greom&nt ordinaire, ua ballon aùxitiaire.sprto de.montgolfière, sous'1'ouYerturë~ duquel~ se-J roat disposés six becs Bunsen, alimentés par le gaz de l'aérostat supérieur. t 'Un'IongtuT)e. puise ce gaz à l'aide~ d'une pompe et, passant extérieurement à la mont- I goIËere: le conduit au brûleur. Là pompe est 1 actiounco par,.la chute d'un poids remonté en '< temps utile.par l'aêronaute. .( L'aHumage des bec au fur et & mesure des- .1 besoins s'opère par'une étincelle électrique. 'La simplicité et la légèreté du 'dispositf étaient d'avance un garant de succès mais t ( le comte de Dion'a tenu l'essayer à terre t avant de rexpérimenter là-haut., II l'a fait < avecpleiue réussite sur une.montgolûère do 1 40 mètres cubes dans son usine de Puteaus. Prochainement un&montgçIËcre de 50 me- J très. cubes suspendue:;sons la TiaceHo du' ballon l'ei'o-C~M&ionctip.nncra dans.~Ie.s' condittons'.exposées. ~( Le-cômte de Dion prendra la direction du voyage'aérien et comma'ndera~lui-mome'la montée, la descente et l'équilibre du système par l'aHumage oui'extinction dos brûleurs.. ] En cas d'incendie, improbable d'ailleu.fs, il' n'y aurait qu'à.couper..la 'cord'o qi.Ti relie la :i montgolfière au ballon porteur. <

:E~ -T~

Cesoir:

Al'Opéra.–Relâche. r A la Gomédie-Fran.çaiso.–L'BcoJe.des~'eitti'~es;/e;U(;~ecmNia~(/]'ë~{i.. Al'Opéra-Gomique.–Ca?'nteit. Al'Odéon.–C~a<<aM/t:s<of!~Me. Au Théâtre-Antoins.~ Deua~~ te' &o:i~eM)'; TLes ~)'emp!açan<eg';i':4.7'~c~3.~0. ArOpëra-Populaire.–La.rra.ctafa, Al'Opera-Comfque: M.Victor Maurel fera sarentree dans Fa.fsfa~ que ~a direction se propose de reprendre prochainoment, pour honorer la mémoire de J'illustre Verdi. Au môaie théâtre;.on~ pousse.acti-' vëment depuis quelques'jours les-'etudos de.Jjf;ye:e. Au-prochain samedi littéraire et dramatique do t'Odéon, cinq heures: Poésie et musique, causerie de 'M. T3rêmbnt. Interprètes Mlles Laparcerie, Sorel; ~ranquet, Rabutean, MM. Goste, Va.rgas et BMmont.Pour Ja partie musicale :j'.î. Francis Thome et MUe Schaetzië (c!iant), MUes.LavaI et Cossarius (YioIouistes'),MMe Liuder (harpis.te~, M.'RieIict(YM- !o'HceUiste). Pour précéder !a ~c<tic ~a)'(jU~se,.dont tes répétitions ~.sont poussées. avecaetiviié~parM. Porel, lo 'Vaudevit!e donnsra~une comédie inë,t!ite en.deTixaeteB de M. Abraham. Dreyfus. Titro.:J~Fe!roM~o. Aa Théâtre Sarah-BertiHai'dt) '!a procliaine pièce sera signée Charies Satmson et aura pour utr-e:Gtn~au?Ko.~eCo)t~t:ë!'aiT.t.

C'est irrôvocablement jeudi ~1 février, ~huitheures, et demie, quo sera donnoe au ~NouTeauTheâtre ]a première partie d'~M-dpMttS .des /b)'ceshttinaules. Une ca.nserie.de M. Henri de Jouvenel. avocat E ta cour, précédera cette rcprësentation', et un poëms~de M. Maurice de Faramond (f A Bjœrnsti&rnoBjœrnsonHsera dit"pai'M. de Max. (La' veiUo, répétition gsnêraio à. trois heures e't~ domie)~ Par dêfërenee pour Iacritique,JM.O. de Lugoa- j nere, directenr du théâtre; de ~a Renaissance., ann.dane pas se rencontrer avec les Variétés; et bien que son nouveau spectacle soit entièrement' prêt, remet-irrovocabieinent a, jeudi soir la répétition generaie, et a vendredi-]a premiëre Teprë' sentationduLtMj'on.. Si l'on' ,you!ait~avoir la preuve/que 'Carnava! n'est pas mort, i! suffirait, de faire un tour a' notre Palais de Glace, aux Champs-Elysées. Nulle pari, la fête. n'est plus gaie, plus atumoe; petits et grands 'rivalisent de grâce et de hardiesse, sur cette co.uche limpide ou .nu! accident n'ostacraindre.

;A. l'occasion du ma~di-gras, le MoulinRouge donnera ce soir une grande, fête de nuit. Bal par.é et masqué auquel particioeroni toutes les étoiles delà danse..

° ~as~omSestîéB'. CON-VOCATIONS E~a Eo~sBe tSc MaS~e

Les quatre sections du septiënve arrondissement appartenant à la Boule de Neige sont convoquées demain mercredi 20 février, à huitheuresi d.usoir, au cafs du Recrutement, 3G, boulevard de Latour-jJaubourg, pour l'orga.uisaiion~ d'ungrandbal. ~a&a~-c~-SaB'oEBaisc' Exceptionnellement, la. réunion mensuelle de la Société. La Lot-et-Garonnaiso aura. lieu ven- dredi prochain 2'~ février, au nouveau siège so- cial, taverne Henri n~, 21; rue du Pont-Neuf, à huit heures et demie précises.

"Rcs sesesces E'e~agseases~

L'ouYertùre des conférences'de st.'ijeoti'-do Rosny sur les l'eligions des Chinois, dos Annamites et des Japonais aura lieu demain mercred! a trois heures un quart, u. la Sorbonne,salle ~s Sciences religieuses de l'Ecole des hautes études. ttss CB~as~s~~ïîeB'c~e~x L'assembiëe générale de l'OEuvre des enfants tuberculeux d'Ormesson se tiendra jeudi pro-'chain 2i février, à..deux heures tres'pré'cises/ dans le grand amphithéâtre de la Sorbonnc, en présence du Président de la Republique. t~m n-s'assé E'épsM~scai'me ~ëFmsBi~Mtt Le banquet du syndicat de la Presse~épubii'caine périodique aura lieu demain mercredi 20 février, sous la prcsideHee~de M. LëonMougeot, sous-secrÉiaire d'Etat des postes et des ielég:'apËes.

~m~Ei~

A~a~s~ Lo froid très vH qui vient sévir a uou~veau dans. toute la région paristenue a cause de uom.breux accidents et augmenté la misëre dans les milieux ouvriers., Les doma:ides de.secours arnvent.c'haque jour plus nombreuses aux bureaux de 'l'Assistance publique; et uc haut fonctiONnaire de cette administratîon nous a fait les déclarations suivantes:< –Des.:ma.intenant.v.ous pouvez affirmer que1e nom.bre.des'solliciteurs, de secpurs a certainemeutdôuMê. Gci-tes, nous .tâchons de soulager, les tmsëre.s.ur.gé~tes.en 'donnant; quelquë~rgent a ceux'qui, apTes enquête, sont 'reconnus ~'écesEtteux. Mais je suis bi6a ~orc~ dejeconnalire que

La-consommation des becs ouverts en grand n'cxcedo~pas'.un mètre de gaz de houiiïe ,par heure. Il y,aura donc poasibilit.6 de faire uniongyoysgo.àériea. Le Beg~s tsc tCO,~S<t~f)t'at6cs. Le cas de la Société française de navigatioE aé~'iohneëstvraimeHtcuFieu~ c Cette société possède un legs de 100,000 francs, )o legs Farcot, avoc'lequoi elle doit 'construire-un batioa dirigeable et acquérir uno gare d'aérostats; mais ce iega, elle ne peut en distraire un centime, parce qu'elle n'a. pas la personnalité civiles

Elle a doLO demandé au conseil d'Etat de lui accorder cette personnalité civi.Ic, mais le conseil d'Etat répond qu'une des conditions requises est/pour cette Société, de disposer d'une certaine somme d'argent. Ç'ëstleplus beau cercle Yieioa~ qu'on' ait jamais vu dans le monda des:sphores! Pour en sortir, la Société s'est décidée & demander ~a l'Etat.les l,200-frane3.de ren~a provenant du legs-GiS'ard, qui aYaie-ni été ac-_cordés à Mmo-Godard et qui sont aujourd'hui disponibles .par suite du décès de cette per-

soDne~ =

~Tr;ii~

lie gratK! comca'n~'s- am:CFEeaSm. Voie!nouveaux renseignements aui\ le grand coucburs do Hf-qu'organise la «.National; Rifle Association Dde New-Yorh.' ee concours aura" Heu a' Sea <?irt, un emplacement militaire situé sur !o bord de la mer, ëDtre'New-Y.ork-et Philadeiphie, à 'égale distance d.e chacune des deux villes (environ uca heure et demie d.o .trajet par .train express).

.Voici les lignes principales du programms: :1° C~ampton~îaf.dn monde. Vaieur 'du pris: T,500'francs; epEditions: groupes. de tireurs.15'bancsà800 yards (731 më-tres) 15 balles 'à 900 yards (822 mètres), et 15 balles à),000 yards f014'metres)-

2°' P)'tX ~~ott. Vatcur du prix 15,000

francs; conditions: groupes de -12 tireurs; 7 baHea a''200 yards (18~ mètres) 7 DaHes à' 500 yards (.l:j7mct.ros/, et 7'balles à 600 yards

(5~8 mèifes)..

Tous les groupes devront tire:' avec l'arme.. nationale militaire du pays qu'iJa- représenteront, et sans y apporter aucun change-

ment.

'Les munitions devront être colles que les gouvernements, fournissent aux troupes en

campagne.

!es sommes dont nous disposons sont trop restreintes. r.

En ça moment.!e nombre des indigents inscrits est de 5ù,S22, auxquels i) convient d'ajouter les -1;OS8-indigents que nous faisons figurer sur nos contrôles sous ]a. rubrique « Secours de représentation.do séjour J'hospicë )). Entin, nous avons recueilli auprès de M. 'Escudier, vice-prcsident du conseil municipal, la déclaration suivante:

–Nous faisons tout ce qu'il est possible da faire pour soulager les misères. Notre subvention munieipaie a.'ote'ma.jprëe cette année. Des seconra.sup_ptementaires seront voies s.'ils devionnëhtnocessaires; des.braseros seront installes. sur tes bouie'vards extérieurs -et les avenues aboutissant aus lortiRcations.

Si le'froid persiste.nous férons.ëgalementdis–tribuertios.soupes aux malheureux.

Ett ~ï'OT:sca

Saint-D~ë.–La noigû tombe sa.us discoitiuuèr et 3'a.inoncelle dans les rues, la circulation est devenue difGçilc, morne en traîneau. Quanta la montagne, elle esttotalameut inabordable.

Les traiBS n'amôneat"'sucuu voyageur. Jamais pareil fait ue a~otait vu.

Rennes. Le froid, toujours ires vif dans la région~viotit de faire deux nouvelles victimes un inconnu, dont le cadavre, couvert de neige, a été _trpuvé dans les champs de Rpusis'nos, et un mendiant, Jean Rousse], qui a succombe a. une congestion dans une auberge d'Epignac.

Grenoble. Les traîhs venant de Gap su-Mssent des retards considérables par suite de l'accumulation de la neige sur la voie. ~ux environs de Saint-Julien-eh-Beauchône, la couche a atteint plus d'un mètre, une équipe d'ouvriers iravaiHo au déblaiement.'

8

O~iOE~SO~CH&SSELiRSÂPiED Lundi a eu lieu au -Cercle militaire le 2S<= r' dîner de.Ia:rcunion amicale des o[8ciers de r chasseurs à-piod (réserve et terntorialo).. Le commandant Rouyer, président d'hon- t; neur, a'proMonco une allocution au cours de laquelle il a.rappe!é la nécessité do se grou- r per dans l'intérêt de la camaraderie et de e rinaltérable esprit de corps des chasseurs a r pied. Il a protitô de cette circonstance pour jj dire que .c'est grâce à cette réunion que s'est créée la' « Sidi-BrnI'im o, société mixte do tir des chasseurs a pied. ''la cunn prié ceux (j de Sua camarades qui'ne sont pas encore g inscrits à cette société d'adresser.Ieuradhé- sionaM.le lieutenant Bruchon, secrétaire, 5, avenue La Motte-Picquet, Paris.- g s .LE COm~NnAHT MAHSiH q Le chef de hataillon Ll'eveto d'infanterie p coloniale Mangin, de !a mission Marchand,. qui était détaché comme stagiaire à l'ét.at,- C major du 18° corps d'armée, est désigné pour I servir, également comme stagiaire, a l'état- major des troupes de l'Indo-Chiiie. Il s'em- f barquera à Marseille le 1'='' avril, prochain pourallerrejoindresonpostë.

A L'ÉCOLE DE Et!ERM J Le J<)Hi'!Ta!o/tCte< publie, ce matin, le dé- cret par lequel le général Bonnàl, comman_dant la 6<= brigade .d~infanterie (2° corps d'ar- t mée) et. les subdivisions de Beanvais et ° d'Amiens, est.nommé au commandement de l'Ecole supérieure de guerre, en remplace-~ ment du général Langipis,. qui vient d'être nommé au commandaient du S0= corps; d'ar-- méo.' c

On affirme'que Io~ lieutenant-colonel Lan- zezaoa a été nommé directeur des Etudes :.à I l'Ecole degu.orre..Loli.eutenant-colonol'Lah- c zézac était adjoint a~ cours do tactique lorsque le général Boniisl on était le proies- r seurtitulaire. 1

Sj~g LEÊ BEP~RTE~T~' BORDEAUX.– Un propriétaire de SainiMacara, qui se disposait a partir à ta chasse,..chargeait uu fasil a piston, lorsqu.'en frappant ia crosse du fusil contre le sol pour faire descendre la poudre, un coup de feu partit et les plombs faisant balle atteignirent le jeune Chevalier au crane,!ui faisant une terrible blessure. Son état est des plus graves. S.

DINAN. Le préfet des Gô{es-du-Nordv:ent de suspendre de ses fonctions M. Grout de Beauvais, maire de PlÉvenon. Cette mesure aussi injustinee qu'inattendue estsëverement commentée parmi !a. population. T.T- .g LA ROCÎÎELLË. Près ae station do M~rans, Mme Eugénie Bourgoin, âgée do quarnteneut' ans, en iraversant, nuit, un passage à niveau, a été écrasée par un train..La. victime était mariée et.mÈre de ~quatre enfants. R. BENNES. II vient de se fonder a. Rennes une Société de pécheurs à la ligne <'[Ui a pris ]e tiom de-« Chevaliers, de Ja Gau!e )). 'Procurer:. tous les pêcheurs n la ligne d'IIIe-et-yilaine le moyen de pêcher gratuitement à quatre lignes <tans les.divers cours..d'emi du département, tel est le.but de ce nt)UYëaugronperaen.t,,qui a,j'intontiond'organiser un concours entre ses membres, tors de l'ouver~urs de !a psçha.–

Los positions seront les suivantes A MOyards, tir debout.

A300yards,tiràgenououasaig.. A 500 otGÛOvards, tir couché. A 800, 900 et 1,000 yardg, toutes positions admises. II sera ajouté des épreuves des concours de délégations de régiments, de bataillous et de compagnies, avec leurs fusils, et da dolé. gâtions do cavalerie avec la carabine et le revolver.

Ajoutons'oncore qu'il sera attribue des prix spéciaux aux meilleures sariea du Championnatdu monde.

G G L 1 S JM. E Comme ou a pu le voir -aineurs, le vélodrome de la Seine vient d'être cambriole par. une bande de malfaiteurs, (vuttontaient tout simplement d'enlever les toitures, des tribunes après avoir dëi'bbé. déjà. pour plus de trente milte francs de matériaux..

Voilà près de quatreans que ce vélodrome a fermé ses aortes. Les cambrioleurà se sont chargeadeIeSrouvrir. ~Les courses de Buenos-AyrescoNtinuemt a obtenir un grand succ&a. Ce sont-Ies coureurs, italiens qui remportent tous les. Frix importante. Singrossiviejt~degagiicr (le ~février) la ûnale.d'.une emportante épr.euvé. intornatio- nale suivi d'Eros et de Vanoni..Au' dernier, tour, les. trois hommes embailent ea éven-' tail et une bonne hitte. s'eDgage entre 'eux. A rarrivéo, ils Ënissent tous trois dans une demi-longueur do machine.' j Voici le. programme .de la. BaisoN cycliste daBerlin:'

Tet~avriL– Course d'ouverture avec la participation de Major Tayiôr.

Si avril. CQursos de vitesse et de 50 kilomètres.

)2mai. –.Cyo'e d'Or de Friednau (iOO kilomètres). J 2 juin.–Prix de l'Empereur. i~/t7 Juin. Grande course de, 24 heures. Voici quniqucs .détails, surla course au clochoi' du Cycle rouHor qui se disputera dimanche prochain 24-févrisr.

Le dépassera donne a~unelieuro.trente de~ la Porte Mai!!o). Chaque coursur recevra au départ une photographie du clocher jjortant .le uom de cinq localités parmi lesquelles le but a atteindra. A l'intérieur de l'envelopp3. sera meEtionné un~ppint .de ralliement où;

CHMN~N; fX

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tous les coureurs devront se rassemMer.peut,

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..Apr.cs la course, distribution des rëcom- penses. ~Gougoitzet Le Vêler, qui continuent leur tournée dans le Midi, ont participé avea Bonuevio, le vainqueur de repreuve de Pau, &Ja rouniou de couraea du vetodrome de Cannes. L

GMS§;'COU~TRY

Voici, dans lea difTôraDta clubs parisioHS' qui doivent participer au Cr&ss National d~ 10 mars, les noms des coureurs que l'on vus dimanche dernier a l'entraiaement: Racms-Cht& de F)'a?T.cs.Déloge, Chas~tanié, Desquand, G.-E. FilHatre, Genêt, Le-r monnier, Marchais, Salomon, Roux, Girault, Meiers;Vi)iain,etc.' Soctëtë-A{hMHQuec~e'Mo!t(TOU~e. Ra" gueneau, Champoudry, :Lëcrccq, Castanet,

Pons, BreuiMô,etc.

U?~OK ~ithM~nc dit arrott~tssenMnft Jeanjean, Manaud; Piard.-Voituner, W&tremen, Régnier, Grignon, Formé, Keller. Stade Francats.: Bailly, Dolivrs, 1~9 Tixier, Legoùx, Favaron; DayroHea..

Rc< Sfà?'; .C~ub. Daniel, Julliëu, Gcryai~

.Dumas; LecomtQ,: Régnie!, Moriu,Gliappe-

jon. .i:

STÂHSTi~UE"

Le.Vë~o tait, mois par'mols/ls récapitulation dea accidents causés par. les'divers modes do locomotion. Voici le demier relevô .qu'iipubtie: Le cheval 69 morts, 656 Messes. Total

725,

Le chemin do fer:i2 morts, 80 Nessëef~ Total 92. La. bicylette; 3 morts, 35 Messes. To- ¡ tal 38.

L'autpmobilo: ï mort, H.blesses. Total 1~ ( 'Prôportionciesaccidents: °

Morts par le cueval, 81,18 0/0; par le chemin de ier,.14,12''t)/0;~ par'automobile, .1,170/C; par la bicyclette, ~,53 Q/'O.-J Blesses:, par le cheval., 83.&9 0/0; parla chemin de fer, ~10,23 0/0~ par la bicyclette, 4,48 p/C; par l'automobile, t,~0 0.0, e&KSTOUS'HS KMS~QES- ~fHSURE3aUSOïa.

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sonnes po~sMan~ des valeurs Bourse no- minutives, sans ia remise des titres et avec faculto pour l'emprunteur de continuer toucher lui-même ses coupons'comme H'ii n'a-; vait paa emprunt. R~NTB VIAGERE Ounous demande S achètera Pari~et dans.' la Banlieue plusieurs màtsông'en rente viagère de n'importe queUëiinportsuoo. .Pour tous renseignements,,ecrijë àM-l'ad~ mtnistrateur généra!, 13, rue du Croissait; eu'' ~e prësohter'aë 4'à R heures. '(11 ne sera pasrépondu aux iaiarmédiaircs.j Timbra pour réponse.

FATr5D!îWRS~ !Le Mët.'opo~tafn. Par suite d'une avana de machine survenue à la station du Chatcls~! les trains du Métropolitain n'ont gas circulecëmatia do cinq heures cinquante a huii,: heures. ~.e fetf. –~Un incendic.s'est. doclaré co rmtin, à huit heures, et demie, .rue Villejust, n" 37.. Le fou. a pu être .éteint par.]oa pom- i piers après, une demi-heure dst.i'avail.Pss. i d'accident à signaler..

/i~ressyc. nochtt'ne. Deux ouvriers bculangcrs, MM. Henri Lafont et Charles Mesmer ont ct6 attaqués, cette nui,t, aH mçmnut,Us passaient avenus do Clic'by, par una bande d'individus qui leur lancèrent des pierres et les trappël'ent a coups do bou-~ teiHës. A leurs cris, des agents accoui-ureM6 à leur secours et purent arrêter deux des. agresseurs, les nommes Henri BIanchai'a, ;~6 de dix-huit ans, egouttor, et Aitcriao Dav'd, âge de 'vingt ans, maçon. Tous deux ont cts. envoyés''au Dépôt. Trois de leurs c'ompHne~qùi ont roussi a-prendre la f:jite/ sont active-ment recherchés.

'L~s deux ouvriers Loulangers victimos do. cotte agression ont été assez grievomoa~ blesses. Une voiture, .des ambuiauccs-ics a; transportes à l'hôpital .Biehs.t..

Les rafïcs. Cent quaire-vihgi-sciM arrestations ont étc duêrées 'catte nuit au cours des.raaos.faitos~'travers .Paris.

Stock considérabis .de tapis, ridaaux, tentures, carpettes, descentes de lit; oouvrs- pieds, soldes, M, Fg:St-Ma?'<m,' au l'ond Je Is cour. Les plus jolis dessins, les dorjjn'rea nouveautés tout est presque donne. ~fa)iMcide. Des gardien~ de la paix on6 trouve ce matin, dans un terrain 'servant de dépôt a la Ville do Paris, boulevard Lar.ncs, le cadavre d'un enisnt onvoloppé dans un vieux jupon noir.

Le commissaire de police db :a por'c Dau"phine a envoyé le corps a laJMorguc et a ouvert une' enquête pour découvrir'L'auteur de.' cet infanticide.

/!ccM3~â /xpos~'o<?.– Un ouvrier ci rentier, M. Gédéon Marcheguet, ûgo de dix-ne':r ans, qui démolissait ce matin, dans la classa GO, au Champ-do-.Mars, la cloison d'une cava r'n ciment; a été enseveli par suite do chute de la cloison. II a pu ctre retiré psr ses camarades, après dix minutes de travail dans ua ctat lamentable. Ce :ïialheu:'oux ouvrier a ëët transporté a l'ilôpital NeckMi'. f.n <'af;x pof;c7e/ Très correct, ayant. toute l'allure d'un magistrat, un mcssicur so promenait hier de long ea large dans Is hsIS de la gare Saint-LazarOi accostait !es lulcs, et los mesncait, .se dissnt agent de la Sûreté, do !es arrêter. EN'rayee, la .fomHie suppliait et ocrait do, l'argent. Deux agents intrigués du manège s'aF-: proohèi'ent/ ma.is l'hommo ies insulta, icu~ disant

<t Vous êtes des abrutis et on ma qualité d'inspecteur, je vous forai casser par M. Lépmo, auquel je l'omettrai un Eapppft sn~ cial.' i) Conduit maigre ses menacesi par 'dcva~6 M. Escourrou, commissaire spéos! a la g~.3 Saint-LaKaro; il déclara se Bomme;' Paui richard, âgé de soixante-deux aES, aucieu procureur de la République.

Il a été envoyé au Dépôt.

t~B~=~a!=FC~!i~n~-E~'=-!C*a.EF!i!~S=~ i~ISF S~~LI:I~TLJJS Bagnoîe~. Ett'jouant, ça matin, ta. pei.!{Q

Du.jardinmitlefeu n uu voile de g'e HM:

couvrait. L'état de !a pauvre onf&nt est dcsns-. père. Auber\'S!Ct's. Des .ca.mbnolcurx s'cts.r.t mtroduits dans ]c magnsin de ~f. 'io)irne!lc, épi' c:er, rue de !a Goutte-d'Or, Je chien du co!B:c"-<cant se jeta s&r run d'eux et le mordit err.eHc-. ment; Maigre cela, les msiandrins purcrit nretT.dre )a. fuite. Ils sont activement recherches. Ss.!ut-Ctout!. –Ce matin, a l'arrivé dtt' trum do 5 h. 33, on a vole la voiture du commis des oostes PIessis pendant qu'U était occupe nmdechargemeQt des sacs de lettres. Oi: est sur 1.6. trace dos coupaLbIas.

~es.mss.– Ua nommé. A!bcrt Lebrun,; fi-âppe de congestion, o<;casionhce par ]c froid, ? été re!eva ce maim rue de Paris' et tMBSpcrt~ l'hôpita] Tenon.