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domestique les accompagnait à une juste distance, portant un fallot et un petit éppgncul. La plus âgée s'appuyait d'une main sur une haute canne noire, et de l'autre sur le bras de sa compagne, qui, en même temps, tenait une ombrette déployée, pour les garantir du serein. Ces dames, arrivées avec beaucoup d'empressement, s'étaient placées en avant de la foule. A chaque mot qu'elles enler.daient, elles se parlaient bas avec chaleur, considéraient de nouveau l'inconnue, el se parlaient encore. Mais lorsque celle-ci eut prononcé : Un supplice affreux nous attend; tout est sourd