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Titre : Église Saint-Merry de Paris : histoire de la paroisse et de la collégiale, 700-1910. Tome 1 / par M. l'abbé Baloche,...

Auteur : Baloche, Constant (1856-1918). Auteur du texte

Éditeur : C. Baloche (Paris)

Date d'édition : 1912

Sujet : Paris (France) -- Église Saint-Merry

Sujet : Paroisse Saint-Merry (Paris) -- Histoire

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34219523p

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. (VII-620 p.-[8] f. de pl.-[2] f. de dépl., 836 p.-[8] f. de pl.) : portraits, ill., plans, cartes, tabl. ; 25 cm

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Description : Collection numérique : Fonds régional : Ville de Paris

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5489765q

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LK7-37617 (1)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 25/05/2009

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ÉGLISE SAINT-MERRY DE PARIS. 519

Laverdy, celui do lo fabriquo, et M. Maillard, procureur en la cour, ancien marguillier, procureur do la fabriquo. L'arrêt fut rendu le 26 août 1745.

ARRÊT DE LA COUR l)V PARLKMKNT

Sur plusieurs points importants concernant la célébration de l'office divin, dans l'église Saint-Merry, à Paris, du 26 août 1745.

Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre

Après que Gillet, avocat des curés et marguilliers de Saint-Merry, Gueau de Itéverseaux, avocat des chanoines de Saint-Merry, Simon, avocat du Chapitre de Paris, et Lanverdy, avocat du curé de SaintMerry, ont été ouïs, pendant quatre audiences, ensemble Lefebvre d'Ormesson, pour notre Procureur général :

Notre dite Cour a mis et met l'appellation, et ce dont est appel au néant; émendant du consentement des parties,de Gueau de Réverseaux et de Simon, ordonne que les vicaires et autres prêtres habitués et ecclésiastiques de la d. paroisse de Saint-Merry pourront assister dans le choeur, avec les chanoines et bénéficiera, pour la célébration de l'office canonial, surtout aux vêpres des dimanches et fêtes, et à tout l'office des jours solennels; en sorte néanmoins, quo les d. vicaires, prêtres habitués et ecclésiastiques ne puissent prendre rang et séance qu'après les chefeier, chanoines et bénéficiers qui occuperont les premières places, en entrant dans le choeur par la grande grille, selon l'usage, les vicaires dans les hautes stalles, du côté du sanctuaire, les prêtres de la paroisse et les ecclésiastiques, l'entre-deux et les basses stalles, tous en habits de choeur, ainsi que les chanoines; qu'aux processions, après la croix, marcheront les clercs de la paroisse, lesenfants de choeur dans le milieu, ayant le maître à côté d'eux, puis les chantres, ensuite les prêtres de la d. paroisse, les vicaires et bénéficiers, les chanoines et le chevecier; que la messe de paroisse de 7 heures des fêtes et dimanches, mémo les jours où elle se dit avec exposition du SaintSacrement, sera célébrée dans le choeur, ainsi que celle de 8 heures, par les curé et vicaires, prêtres et ecclésiastiques de la paroisse, lesquels ne pourront se placer dans les stalles que suivant l'ordre pre?crit cidessus pour l'assistance à l'office canonial; que tous les saluts, qui se célébraient ci-devant à l'autel de la paroisse, avec exposition du SaintSacrement, les fêles et dimanches, môme ceux des jeudis qui tombent un jour de fête, el ceux du dernier jour de l'année, le jour de l'octave do saint Pierre, et de la fête de saint Pierre aux Liens, seront célébrés, pour plus grande solennité, dans le choeur, par les chevecier et chanoines, conjointement avec les ecclésiastiques de la paroisse, qui obser-