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Titre : Église Saint-Merry de Paris : histoire de la paroisse et de la collégiale, 700-1910. Tome 1 / par M. l'abbé Baloche,...

Auteur : Baloche, Constant (1856-1918). Auteur du texte

Éditeur : C. Baloche (Paris)

Date d'édition : 1912

Sujet : Paris (France) -- Église Saint-Merry

Sujet : Paroisse Saint-Merry (Paris) -- Histoire

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34219523p

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 2 vol. (VII-620 p.-[8] f. de pl.-[2] f. de dépl., 836 p.-[8] f. de pl.) : portraits, ill., plans, cartes, tabl. ; 25 cm

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Description : Collection numérique : Fonds régional : Ville de Paris

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5489765q

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LK7-37617 (1)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 25/05/2009

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ÉGLISE SAINT-MEHHY DE PARIS. 369

Au contraire, elle no fait partie d'aucune messe, ou plutôtde la messe qui précède, puisque l'on y consacre l'hostie.

Les arrêts do provision, antérieurs, les règlements do Notrc-Damo, tout est cilé à nouveau.

Lo s. Roslin fit tous les saluts de l'octave. Chacun prit parti, suivant son inclination, pour l'un ou pour l'autre.

Après tout, lo s. Cocquelin avait porté lui-mémo lo SaintSacrement, comme le fait le pape à Rome, l'archcvèquo à Paris. Il avait fait preuvo en cela de toute la liberté d'esprit et do toute la prudence nécessaire pour prévenir le scundale qui aurait suivi, si les deux curés avaient voulu faire les fonctions. Et ceux qui favorisaient le moins le s. Cocquelin ne lui reprochaient rien à cet égard.

Lo s. Roslin fut vivement blâmé d'être venu, en habit, pour fairo violence. Il devait protester et se retirer.

Richelieu, vicaire de Roslin, fut aussi blâmé, il avait tiré lo diacre pour lo faire lâcher le s. Cocquelin et essayé d'émouvoir le peuple.

Toute la compagnie répondit que Richelieu était connu, et que son tour viendrait.

Roslin se laissait trop entraîner aux extrémités par des conseillers de la paroisse.

L'ensemble des paroissiens désiraitlapaix. L'un de cesMcssieurs dit que le s. Cocquelin, s'il voulait faire, a coup de poing, lo salut du soir et des derniers jours, n'avait qu'à se présenter.

La plus grande partie se parlèrent à l'oreille et on se sépara en disant que l'église Sainl-Médéricétait bien à plaindre ùene pas oser dire tout ce qu'elle sait.

Qu'au plus tôt les deux curés mettent leurs affaires devant les arbitres dont ils sont convenus. Et s'ils évitent de subir le jugement des arbitres, elle les tiendra coupables devant Dieu cl devant les hommes de tous les maux et de tous les scandales qui suivront cette division. Elle somme le s. Roslin d'user de bonne foi, et le s. Cocquelin de ne pas perdre de temps dans une affaire si urgente.

Les signataires qui ont rédigé ce mémoire sont bons paroissiens et n'ont en vue que la gloire de.Dieu et le repos de leur église. TOME i. 24