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Titre : La Presse

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1898-05-27

Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication

Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 124274

Description : 27 mai 1898

Description : 1898/05/27 (Numéro 2190).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k548817n

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 10/06/2008

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~e~ac~on: ï2, rue cft/Cro/'ssanr, 72 ) AdreMe !é)ëgraphique NALPRESSE, PAR)S

La ~uerre Nos dép~ches. ~es ~lec~ior~s ~~c~iq~

n e

NOUVEL IMMORTEL

M. Eugène Guillaume, nommé aujourd'hui membre 'de l'Académie. française, ainsi que nous l'annonçons d'autre part, est né à Montbard jCôte-d'Or), le 4 juillet 1822. Elève de PradieT, il'remporta Je premier grand-prix <le sculpture à l'âge de vingt-trois ans. Ses-ccuvres :I'~l!iacrëon, les Hôtes d'Anacreon, les Gracies, les bas-reliefs exécutés pour l'église Sainte-Clotilde, les frontons et les cariatides du pavillon Turgot, au Louvre, le classèrent bientôtparmi les maitref.. Membre de l'Académie des beaux-arts en 1862, il fut nommé, en 1864,. directeur de l'Ecole des bea.ux.arts, dont il était professeur-depuis deux ans. Il obtint une médaille d'honneur à l'Exposition de 1867.

En 1878, il fut nommé président de la section'de sculpture dans le jury des beaux-arts. JI eut cette année-là un rappel de médaille u'houneur.

Le 27 mai 1878, M. Guillaume, fut nomm& .directeur des beaux-arts, en remplacement de M. de Ghennevièros. Il démissionna l'année suivante, au moment de la création du poste de sous-secrétaire d''Etf!,t des beaux- arts.

En cette même année 1879, il fit le Salon aIa.~e!;uedes..Deux-Mor!.des.M. Guillaume a été appelé à la mort de Charles Blanc a la chaire d'esthétique du Collège de France. II est actuellement directeur de l'Ecole française de Rome et grand-ofâcier de la Légion -d'honneur.- LA CHAMBRE

jusqu'à pr.ésent, la questure de la Chambre n'a reçu qu'une quinzaine de protestations sur les élections.

Il est donc à prévoir que les validations se feront au plus vite, et que dès le troisième jour .la. ~moitié plus-un des.députés .exigés 'par la loi pour la nomination du bureau serajttteinte.

LA GUERRE

A<M)3.–AusThilippiaes.

On mande de Madrid

Interrogé hier pour savoir si l'escadre es' pagnole est bloquée à Santiago, le ministre de la marine a répondu qu'il estprobable que les Américains ont essayé d'empêcher la sortie des navires espagnols.

Ce que j'ignore, a-t-il ajouté, c'est s'ils sont arrivés temps pour. l'empêcher. La dernière dépêche de l'amiral Cervera, de mardi, annonce que tous ses bâtiments chargent du charbon. L'impression maintenant est que Cervera aura quitté Santiago, s'i! a pu le faire sans trop de risques. Le mouvement de troupes vers le littoral du midi de la péninsule continue,

Les dépêches espagnoles de Manille par Hong-Kong signalent des soulèvements aux ~esCarolinës et à Bornéo. Dans la province dePangansinanfilede Luçon), les'troupes espagnoles se sont emparées des armes 'débarquées par l'amiral américain Dewey pour les indigènes.

AU COLLEGE DE FRANCE M. G. Izoulét, professeur de philosophie sociale au Collège de France, a fait aujourd'hui son dernier cours du jeudi pour l'année scolaire 1897-1898. Ce cours, sur les idées de Rousseau, commencé d'abord au milieu d'un tumulte créé par un& minorité de petits jeuBcs geùp, s'est achevé au milieu d'un tonnerre d'applaudissements. Le savant profes-' seur s'est_montrë très touché de- ces marques d'estime et de sympathie prodiguées par 1s foule de ses Ëdèles.auditeurs.

Pour un Fauteuil Encore huit jours avant ia rentrée des Chambres! Pourtant, si vous faites un tour aux couloirs du Palais-Bourbon, vous les trouverez remplis d'une animation qui présage là bataille prochaine. Et, dès l'ouverture, la question se posera de la présidence de la Chambre. L'ordre du jour de la première séance porte un scrutin pour la nomination du président provisoire. Suivant l'usage, ce « provisoire )) devient quelques jours après définitif.

Or, tout est là M. Brisson sera-til réélu ? Nous n'ignorons pas que les journaux conservateurs et modérés font contre cette réélection-une campagne ~suivie;. mais pensent-ils sincèrement que .leurs efforts puissent être couronnés de succès? Certes, le personnage de M. Brisson n'a rien quicommande 'une bien vive sympathie. Austère doctrinaire et sectaire, il se voit traité de «vieille barbes par les politiciens 'du dernier bateau, même par ceux qui partagent ses idées.. Et il a le tort grave de n'oublier pas assez qu'il est radical. En certaines occasions, on l'a vu'intervenir en faveur de ses amis avec'une partialité .vraiment trop ma! dissimulée.

Aussi, les modérés lui enlèveraientils volontiers la sonnette présidentielle s'ils avaient un rival à lui opposer. Me/~ ~'o~ ~yoM~. M. Ribot, flegmatique et décoratif, eûtfaitun bon président; mais il. se garde pour la succession de M. Hanotaux, et il l'espère prochaine. M. Dupuy montra un sang-froid qui ne fut pas oublié. Mais lui aussi a son rêve, oriente vers la maison de la place Beauvau. AI. Poincaré se réserve pour de plus hautes desr tinées. Seul, M. Beschane-1 pourrait.

"r

accepter Ïa candidature. Mais, le voudrait-il, il. n'a pas, avouons-le, de chances sérieuses, parce qu'il est encore un peu jeune d'âge, de carrière et de tempérament, et que le fauteuil auquel on voudrait le pousser appelle un personnage d'une autre envergure. Il est bon d'envisager cette situation au moment où_!a campagne .qui s'engage menace, d'un échec le parti modéré, qui n'y prend pas garde. LÉON BAILBY.

LA K!!SS!OM GENTIL

Nons avons annoncé, dans notre numéro d'hier, l'heureuse exploration du lac Tchad par la miss.ion Gentil et son prochain retour en France.

Nous donnons aujourd'hui les principaux passages de la lettre reçue par un des amis de l'explorateur ·.

Mon cher ami, Gribingui, 5 décembre 1897.

Mon cher ami,

Vous devez trouver que je vous néglige singulièrement et que je ne vous inonde pas des flots do ma prose moins cependant que je ne trouve moi-même que vousoubliez que j'existe.

EnEn, je ne vous en veux p~s trop et je vous apprends que je suis de retour ici après avoir accompli ma mission complètement.

.Le i" novembre. en effet, )e Leon-B~ot faisait son entrée dans les eaux franches du Tchad. Je .vous assure qae c'était un- spectacle merveilleux une vraie mer d'autant plus que, pour compléter l'illusion, une jolie brise soufflait, qui formait un clapotis assez sérieux.

Grâce au faiMe tirant d'eau du Leon-Btot, j'avais pu sans trop de peine remonter le Ban Erguieg ou Ba M'Bassou (Ba Hm des cartes), et venir mouiller à 15 kilomètres environ de Massima, où je fus très bien accueilli par le sultan..

Les résultats géographiques de l'expédition sont sérieux. Un itinéraire complet de Ouadda au Tchad comprenant le cours presque complet du Gribmgui et du Chari; la découverte de l'embouchure duBa N'Gorou, du Bahari et d'une rivière qui communique avec le Bahr Salamat la reconoaissance du Bahr Erguieg jusqu'à Maggi; ta délimitation des tranches principales du Chari et la quasi-certitude qne le L.ogone n'est qu'un branche du Chari.

Le Gribingui n'est qu'un affluent du Chari et non pas une deses branches. Al'endroitH se jette dans le Chari, le Gribingui a à peine soixante-dLx mètres, tandis que le Chari est trois fois plus large et beaucoup plus profond.

Nous rappellerons que la mission Gentil était composée, tout d'abord, de M.Gent:I, administrateur des colonies Fredon, chef d~exploration Huntzbutler. un des compagnons de Mizon, etVival, fils du député républicain du Lot. Elle emportait avec elle un petit vapeur démontable en sept tranches, le Lëo!T.-B~t, construit dans les ateliers de Saint-Denis.

LEB AFFAIRES

BOURSE DES VALEURS Marche ac</f. /!mëy/oraf/o/! des cours. La Banque d'Angleterre a abaissé le'taux de son escompte de 4 0)0 à 3 ij2 0)0. Cette nouvelle a produit un effet salutaire sur notre place, qui n'a cesse, pendant tonte la séance, de témoigner d'une grande

fermeté.

'La'hausse est générale le 3 0)0'cote i02 95, le 3 -i)2 0)0 106 30. Les fonds étrangers suivent le mouvement de reprise, à commencer par le rente espagnole qui c)oture à'34 13[16. Les valeurs ottomanes sont très soutenues. Seul, l'Italien reste hésitant.

'L'Emprunt roumain 4 0)0 amortissable de 1898 se négocie à la Cote officielle aux environs de 93, soit à son prix d'émission. Il est a remarquer que ce fonds j n'a pas été atteint par Ic's fluctuations et les dépres- sions qu'ont subies la plupart des valeurs sur notre marche, en raison des derniers'événements. C'est que le publie s'est bien rendu compte que.la Roumanie Échappait complètement, par sa situation et par sa politique, aux .complications diverses que peuvent entraîner le conflit hispano-américain et les démêles entre les grandes puissances.

Les établissements de crédit, nos chemins de fer, les valeurs industrieHes restent très fermes et obtiennent d'intéressantes plus-values.

Les mines sont hésitantes.

Le Rio cote 657, la De Beers 685.

La seconde assemblée constitutive de la Compagnie du Chemin de fer métropolitain de Paris s'est réunie le 20 courant, sous la présidence de M. Henrotte; 98,800 actions y étaient représentées.

Elle a adopte définitivement les statuts sociaux tels qu'ils ont été dressés par M" Lavoignat et 'Dufour, notaires,le 26 avril dernier, 0

MM. Benard,. Genevois, JarHows!:y, Ku)p, Lichtenberger. Maréchal, Ernest May, OIry, Raimbeaux, de Tavernier et de Wandres ont été nommes administrateurs.

MM. Georges Graux, Joseph Henrotte, 'Auguste Renaut et Henri Rouen ont été choisis comme commissaires des comptes.

Le siège social est nxë à Paris, avenue de l'Opéra, n° 31.

BOURSE DE COMMERCE

_5 H:EUt~S_

Fane. Blés Colza Lin Alcoo'' Suer.

I~

Courant 6S25 2935 H.. 42.. <850 MM Juin. MM 2920 5475 41'75 ~SsO 3250 JuilAoût C2!0 ~75 552) 4~25 48 M S275 4dern.. 54S5 '!430 5525 M.. 44 ?5 Sd'Octo.3137 4d'0cto. 31 M 4prem.t. 4325

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Farines Blés

JuiHet-Aoùt. 2~ à. lia à- 4.derniers. 2 50 à. d25à.

Sucres. Le marché a été complètement dé- pourvu d'intérêt aujourd'hui, quoique Tëtranger se signale.encoreparunebonnetenue.

Les acheteurs intluenccs par !o temps qui s'amëliore ont été des plus réservés et il n'yaaucunchaagemeBtàconsiaterdMsiesphx.

R!ës et fartMea.– La tendaQce a été plus faibte dès le début, par suite du retour du beau temps. Les offres on~-dômine pendant toute _!a. réunion et, sauf sur; Je courant.en farine qui était encore recherchô parledëcouvcr't, tous !escom's ont subi de'IabMsse.

T 'A t)T)IPQ

JLj J-jL JL JUL JDk3

a L'MMEMtEFMMMtSE E -Les alecticns d'aujourd'hui Les élections d'aujourd'hui à l'Académie française, où nos Immortels avaient à nommer les successeurs du'duc d'AumaIe et d'Henri Meilhac, ont été particulièrement intéressantes. Ce n'est qu'au troisième tour que le titulaire du fauteuil laissé vacant par le donateur de Chantilly a été désigné. Quant à la succession d'Henri Meilhac, elle a été très disputée et six tours de scrutin n'ont donne aucun résultat. Chacun des académiciens semblant vouloir garder ses préférences pour tel ou tel candidat, l'assemblée a remis l'élection.a une date ultérieure. Jamais les votants n'avaient été si nom-.breux. Seuls étaient absents, MM. PaulBourget, en voyage (naturellement), et Edouard Hervé, malade. On, a commencé par la nomination du successeur du duc d'Aumale. .Trente-cinq votants, M. Hanotaux, ayant, parait-il, oublié l'élection, est arrivé trop tard ont pris part.au premie!' tour de scrutin. M. Guillaume a'été élu au 3° tour.

Pour le faute.uU~d'Henri Meilhac,. il est intéressant de citer les .chiures, des six tours de scrutin;: MM. Paul Hérvieu.7. 8 8 Hll 12 i2 Henri Lavedan. 9 12 13 il 10 H HenriBecque. 3 1 000 0 D Imbertde.St-Amand. 5-3 :i 0 00 0 Emile Faguet. 9 H 11 ~3 11 10 Le sixième tour n'àyantpas donné de résultat, l'élection est remise à une date ultérieure.

L'Académie, ayant terminé l'attribution de ses prix, décide eBsuite..qu'el!e ne se réunira, plus le mardi.

MM. Emile Zola, Sevestre de Jarrige et Noirit n'ont obtenu aucune voix dans l'un et l'autre scrutin.

LES MEDAILLES D'HOMMEUR

Cet après-midi, a eu lieu/a à la Société des artistes français, au Champ de Mars, le vote des médailles d'honneur pour les sections de peinture, sculpture et gravure. La médaille d'honneur de l'architecture ne sera votée que le 3 juin. Les peintres se sontréunis à deux heures. Le nombre des votants était de 377; la majorité absolue était donc de 189. Ont obtenu au premier tour de scrutin MM. Hènner, ~50; FIameng, 46; Henri Martin, 34; Guillemet, 18; Humbert, 16. Au deuxième tour de scrutin, M. Hènner obtientia majorité.

Des applaudissements éclatent.

AU QUAFTHER LATtN

La.fëtsdesFousetdal'Ana.. Des ouvriers ont commencé, ce matin, sur la place de la Sorbonné, à.construire l'estrade et les gradins qui serviront, dimanche et lundi prochains, aux représentations du comité de la fête des Fous et de l'Ane. Nous avons donné, il y a deux semaines, le programme de cette fête et l'itinéraire du cortège. Voici les derniers détails, qui ont été arrêtés ces jours derniers et: hier par le comité:

Samedi, à deux heures, aura lieu au théâtre Cluny, gracieusement mis à la disposition des organisateurs, la répétition générale de la farce et du mystère qui seront joués le lendemain. Il ne sera pas envoyé d'invitations spéciales.

La distribution de ces pièces est ainsi rê-, glée: la Farce c!uCut!tër, adaptée par MM. Adenis frères; Jacquinot, M. Marquy; Jaoquinette, Mlle Biangel; mère Jacquinëtté, Mlle Batyle. Le Mystère d'Adam, adapté par M. Pascal de Lannoy, musique d'Alfred Radoux: Eve, Mlle Eugénie Naud; Satan, M. de Max; Dieu, M. Perval; Adam, M. Mon. teux;Iemeneur,M.Ma!aize.

Dimanche, les Sgurants du cortège se réuniront à midi avenue de l'Observatoire.

LE PALAtS

Application d'rna nouvelle Ici

La huitième chambre du tribunal correctionnel de la. Seine, présidée par M. Bernard, a fait aujourd'hui, pour la première fois, application de la loi sur la protection de l'enfance votée dans la dernière législaturelei9 avril.

Le jeune Claudius P. âgé de onze ans., avait été arrête, en compagnie de son père, et agissant à l'instigation de ce dernier, au moment où ils volaient tous deux des objets dans un magasin de commerce de la rive gauche.

Le père, qui a des antécédents judiciaires déplorables, a été condamné à un an de prison.

Le petit Claudius P. a été acquitte comme ayant agi sans discernement et confié jusqu'à sa majorité à M. Rollet, qui le reclamait par application des articles 4 et 5 de la nouvelle loi.

Les dispositions de cet article ont, en eSet, modifié l'article 66 du Code pénaL Autrefois les tribunaux correctionnels, après avoir acquitté un enfant jugé comme ayant agi sans discernement, se trouvaient dans l'obligation soit de le remettre à ses parents, souvent indignes, soit de l'envoyer jusqu'à sa majorité dans une maison de correction.

Sous l'empire de la dernière loi, les tribunaux peuvent actuellement donner le droit de garde sur l'enfant à un parent ou à une personne, ou à une institution charitable, ou à l'Assistance publique, à l'exclusion des maisons de correction.

Dans les départements, les articles 4 et 5 de la loi du 19 avril -1898 ont déjà donné -lieu à plusieurs applications.

'C'est ainsi que' les tribunaux de Moulins, le 27 avril; de Saint-Lô, le 7 mai; du Havre, le 17 mai, ont acquitté de jeunes enfanta comme ayant agi sans discernement et en ontconné la garde à la « Ligue fraternelle des Enfants de France f.

Voleuse volée

Mlle Vuillaume, chanteuse de l'QpérA-

MTT)T

JJ~JLJU~ -i.

Comique, prenmt derniëremeat une femme de chambre,, charmante brunette de vingt ans, Alice Lambert.

Un beau matin Mlle Vùillàume s'aperce- vait de la disparition do" dix'BilIets de ban~ que de 100 francs et maigre toutes les re- t cherches on ne puttrouv~r les 1,000 francs. t La soubrette jurait sûr' sa vertu no point < ~les avoir touches ni même vus.

Quelques jours après,'Alice Lambert se -rendait au commissariat 'police pour dëposer plainte contre un'inconnu qui, disaitelle, lui avait vole 1,000 francs dans les con- J éditions suivantes: A "Je secouais ma robe par'là'fenêtre, dit- elle, lorsque des billets de Banque qui se ( trouvaient dans la pocuë s'envolèrent et un } individu,' dans la rue, les'à pris'et est parti c. Le commissaire s'ëtohna de savoir qu'une forte somme fût en possession d'une dômes- tique, la questionna et ~nit par lui faire avouer qu'elle s'était ainsj. fait voler l'argent dérobé à sa maîtresse.

Elleacomparu devant lep juges delà ueu- vième chambre correcti'onneUe, prësidée par ` M. Puget.. `

~D'après l'enquête, la domestique, qui avait servi chez princesse LobanoB, n'aurait pas t toujours été d'une parfaite'delicatesse. j Grâce à l'habile -plaidoirie: de Paul Comby, Alice Lambert n'ûst.condamnée qu'à sixmois;de;.pr:son.

MEMUS F~!TS

Pot/ /es co/onres'sco/a/res

La treizième fête annjuelle. donnée au pro. fit de l'œuvre des colonies .de.vacances a eu lieu cet après-midi, 19, ~ue.de. la Pépinière. Une assistance.des.plus. c-ombreuses et des plus élégantes avait répondu à l'appel des organisatrices de cette Œuvre si intéressante.

Des spectacles enfa-ntins-~nt égavé les jeunes garçons et jeunes &lles; vendeurs et vendeuses de bonne volonté; qui ont fait une recette fructueuse-pour ~eurs petits ça.marades moins aisés. Lar-vente de charité d'aujourd'hui permettra, -à-boa.nombre d'enfants pauvres de nos.écoles-d'aller passer leurs vacances dans des .villégiatures éloi-

gnées.

Le succès de la fête d'aujourd'hui, qui ne s'est terminée qu'à sept heures, récomnense Mlle Picault, la dévouée présidante, de tous les efforts et des soins qu'elle apporte à l'œuvre qu'elle a fondée.

/a Sorëonne

A deux heures précises a commencé, dans le grand amphithéâtre de la nouvelle Sorbonne, le deuxième concert annuel du Jycée Louis-le-Grand. Dès une heure et demie, le vaste amphithéâtre était entièrement rempli d'une foule élégante.

Les élèves des lycées Louis-le-Grand et Montaigne avaient été placés immédiatement devant la scène.

.Beaucoup de personnalités universitaires proviseurs, inspecteurs .généraux, inspecteurs d'académie, professeurs de l'enseignement supérieur et de l'enseignement secondaire parmi les auditeurs.

Les plus grands artistes des théâtres parisiens se sont fait entendre. Citons: Mmés' Sarah Bernhardt, Hëglon, Lara, Bréval, J. ,Granier,. Spoon MM. Mounet-SuDy. Pa.ul Mounet, Delmas, Affre, Melchissédec, Coquelin cadet, Remy.

L'orchestre était dirigé par M. Debruille, de. l'Opéra. M. E. Reyer, membre de l'Institut, a présidé à l'exécution de ses œuvres, Btgurd, Salammbô, Erostrat.e, etc. En effet, le programme était presque exclusive-. ment consacré à M. Reyer et à M. Rostand. Cette magnifique matinée-concert s'est terminée à cinq heures et demie.

/Vécro/ogye

On nous annonce la mort de M. Tamizey de Larr.oque, membre correspondant de l'Institut, chevalier de la Légion d'honneur, décédé, ce matin, à Gontaud (Lot-et-Garonne), dans sa soixante-dixième année.

Tamizey de Larroque n'avait jamais quitté sa ville natale de Gontaud, où il remplit de 1860à~8701es fonctions, de maire. Adonné de bonne heure à l'étude des questions historiques, il s'est fait connaître, dès sa trentième année, par des publications très documentées et d'un esprit critique très fin, sur la langue, les antiquités et la biographie des grands hommes de sa province natale. /)cc/den~ de vo~ure

Cet après-midi, vers.trois heures, le cheval attelé à la voiture 3253 de la Compa.gnie Générale s'est emporté et est venu s'abattre en face' de la maison portant le n"3S du boulevard des Italiens. La voiture a été brisée, et le cocher préci-. pité sur le sol a été grièvement blessé. Les premiers soins lui ont été donnés dans une pharmacie voisine du lieu de l'accident. Repêcha

Cet après-midi, à trois heures, on a retiré de la Seine, au pont d'Auteuil, le cadavre d'une femme âgée de trente ans environ. R/e san~/anfe

On mande de Chà]oBS-sur-Marne; 26 ma! Cette nuit, vers onze heures et demie, à la suite de quelques paroles échangées, trois canonniers du 25° régiment d'artillerie, légèrement pris de boisson, ont mis sabre au clair et frappé violemment quatre ouvriers cimentiers.

Deux ouvriers ont été blessés grièvement à la tête. L'un d'eux.surtout a été transporté évanoui au bureau de police, où il a reçu les premiers soins de M. Tollin, médecin internede l'asile public d'aliénés,

/tcc/cfenfâ/a~3~ec/t/M/d/

On mande de Bordeaux, 26 mai

Un pénible accident est arrivé hier soir, engaredoBordeâux-Sàint-Jean. Vers cinq heures et demie deux manœuvres, nommés Jean Lacouture et Joseph Desqueyroux, poussaient un wagon sur une des voies conduisant à la gare de marchandises.. Ils n'entendirent pas arriver derrière eux, sur la même voie qu'ils suivaient, un convoi refoule par une locomotive. Le convoi les

rejoignit~ nmproviste et'îesë.cras~ en quelque sorte .entre les tampons. de sonwagoa' d'avant. et. les tampons que. p.oussaient les deux manœuvres.

Par suite .du choc, Jean Lacouture, qui est âge de. trente-cinq ans, eut .l'omop-Iate fracturée, jet Joseph Desqueyr.oux,.âgé de quarante ans, un bras littéralement broyé. L'un. et l'autre furent places en voiture et transportés l'Ecole de saBté;navàIe,ila reçurent un premier pansement, et dirigés' ensuite sur l'hôpital Saint-André: Leur état n'inspire pas de sérieuses inquiétudes, mais les deux pauvres manœuvres.endurent de cruelles souffrances..

Une ~'o/a~o~ de sëpu/fure On mande de Chotet, 26 mai

Il n'est bruit, dans tous les environs de Jallais (Maine-et-Loire) que d'une violation de sépulture commise en cette localité dans une 'chapelle dépendant du château, do; .la Grande-Bouère, et qui a été découverte dans les circonstances suivantes Une veuve Gauthier, demeurant à laPoidevinière, étant allée visiter 'cbM6 chapelle avec ses enfants, ne fut pas peu surprise quand elle vft que lebriquetage renfermant les cercueils avait été .démoli et que quatre sur cinq dés doubles bièro'~ en chêne, et en zinc avaient été saccagées.

Le fermier 'du 'châtëa:u, M.' Boùtin, 'fut aussitôt prévenu, et në'put. qûe'constater cette' violation. 'Les restes profanes sont 'ceux d'Armand de Cazon, comte'de la Bouëre de. la comtesse douairière doBo'uère.de Gertrude de'Cbriolis, comtes'së'de la Bouère; et d'Elisabeth de la Bouëre.

Le seul cercueil qui ait'ëtë épargné est celui d'une jeûne 811e de 'quinze ans, Mlle Marie-Thérèse de la Bouëre~' Le château de. la Grahde-Bouëre est actuellement'la propriété de Mme la comtesse Bathildë'de'Caze, qui habite'Paris, II est'bîen' évident que cette violation est l'œuvre'de'malfaiteurs qui ont eu le vol pour mobile'/mais' on ignore encore si les cercueils contenaient des bijoux.

journaux Du so!~

LA PRÉSIDENCE DE LA CHAMBRE

B~aK~BtM'Sé: c

a Contrairement aux espérances et aux excitations perfides de ses ennemis, le cabinet a pris la seule résolution que lui dictaient la situation, la sauvegarde des principes-qu'il représente et, disons-le, le souci .de sa pEDpre.dignité; II 'ira..provoquer luimême.. davant la nouvelle Cambre, un débat décisif-pour savoir s'il~a .l'entière confiance .de. la majorité issue des dernières élections~ comme il a eu, pendant deux ans, celle de. Ja..majorité dan&.Ia précédente Chamlu'e.

a Malgré.toutes les statistiques de fantaisie que multiplient les feuilles radicales et socialistes, le gouvernement est.certain que le pays a.enynyé au Palais-Bourbon une majorité sufSsa.nte pour lui donner, toute la force nécessaire à la défense des intérêts fondamentaux de la chose publique.

a Le seul moyen de dégager cette majorité, c'est de la mettre à même d'exprimer, par un vote formel, ses véritables sentiments de façon à fixer, au début môme de la legisia-. ture, l'orientation de la politique intérieure et extérieure. Le gouvernement ne pouvait pas prendre une attitude plus honorable et plus constitutionnelle. II l'a prise sans hésiter, Tous les esprits sérieux ne peuvent que l'applaudir.* r

NOS SYMPATHIES

~a Patrie, sous la signature de M.. Lu-. cien'MUÏevoye:

«Un grand nombre d'organes américains se plaignent.de ce qu'ils appellent a rhosti~ lité de .la. France contre l'Amëriqua )). Que nos confrèrcs.américains se donnent la peine de lii'e les articles des !eadeysde .la. presse française) Ils n'ytrouveront'aucunetracede cette prétendue animosité.

« Nous .avons manifesté a. la. nère et vaillante Espagne des sympathies, -des admirations qu'aucun observateur, impartial ne pouvait Im.r.efuser. Nous avons fait des vœux sincères.pour le règlement, équitable de la question'cubaine. Nous n'avons rien dit, nous n'avons rien fait pour..j.eter la République américaine dans les~brasd~Ia monarchieanglaise-~

LA SITUATION

!je e~eaf, sous la signature de M. André. Vervoort'

a La.'législature ne s'achèvera pas avant ~que les'droits du suSrage' universel soient observés'et'qu'un peu de j'u'stice se soit introduit dans la perception des impôts, e -1 --LES CANDIDATS DE M--MÉLINE J

~a Sns:c4te fBc FFa~cc, sous la signature de M. Charles Dupuy

a On conçoit que M. Meline ait manifesté l'intention de se retirer. A la sollicitation des groupes qui évoluent autour de lui, il a consenti à livrer une suprême'bataille.

a La retraite eut été non seulement l'aveu de la défaite électorale mais encore le signal de la débandade parlementaire. Il a eu pitié de sa clientèle électorale et parlementaire, et, quoiquelaquantitéensoitfortamoindrie et la qualité fort mélangée, il s'est résigné à demeurer mais ce qui prouve aquel.point.il considère lui-même-comme provisoire son maintien au pouvoir, c'est qu'il conserve avec lui les éclopés du scrutin, les ministres battus par le suË'rage universel. D

-LA MORT DE M; -BRIN

tje ~TeitMps consacre un article aux conséquen'c~s pour l'Italie de la mort de M. Brin, ministre de la marine, qni était un homme de haute-valeur, justement-estime de tous et aussi un des plus sMeux soutiens du

cabinet.

'LES'ÏNTRI&UES PARLEMENTAIRES

La~Fauces <

«Là-nouvelle Chambre-n'est pas encore réunie-at, déjà, lespoliticiensintriguent. a. Il-s'agit-dc déloger M. -Henri Brisson de la présidence et de maintenir M. Méline au ministère. Les renégats du centre gauche cherchent à le remplacer par M. Deschanel ouM.Poincaré. a Lequel de ces deux candidats de la réaction l'emportera? Ce sera très .probablement M.Poincaré. ff Après l'avoir désigné,, il faudra le fair& éliro.par laChambfe. La difuculté sera piu~

grande.

DoIHngen et Ç°, 16, rue Gra.uge-Bateliere /id/n~/s~a~on; ?2, ~t/e dL/ Cro/ss~n~ ?2 Të)ëphonQ,3~!s:f)"101.69–102.SO–130.ST

A C~B~ E7' AL~_PH/L/PP~ÈS .La.sitnatio'i à..Manille. Le cas de l'ai* tache Sabrai. Les escadres ennemies. Les rebelles et les Espagnols.

Voict les dépêches que nous recevnns cet après*.midi sur la guerre hispajio-americame:

Madrid,"26 mai.–Une dépêche de Mani!~ le, -f:â Hong-Kong, dit qu'une centaine da soldats espagnols,qui occupaient l'itedtï Çqrrégidor.J'ont'éYacuée le 16 mai, car ils manquaient de munitions.

L'insurrection prend-dés proportions dans la province du Panagasinan; 3ës rebelles pillent les maisons et assassinent les Espa* gnols.

L'amirà)Dewey a ordonné une nouvella tentative de débarquement pour introduira. des armes dans la province de Zambale. Le-vapeur espagnol Saturas, parti il y a.quelques jours de Yap (Carolines), estarrivé à Albay, d'où-Ié'capita~e à avjséle gouver-~ceur général que les îles Carolines se sont~~ soulevées,, que les indigènes commettent toutes sortes d'actes de violence.

Le chef rëT)e!Ie Macabulo, qui n'avait pa~ fait sa'soumission avec les autres chefs oa décembre dernier, vieht'de se.rendre au çaJpitaihegénéralavec toute" sa bande. 'La nouvelle que l'attaché naval espagnol Sobral a été arrêté comme espion et qu'i! serafusillë, est de pure'fantaisie, car Sobral est a Madrid depuis longtemps. Une dépêche de là Martinique annonce aus destroyer espagnol Tsrror est parti après avoir réparé ses avaries.

-La.direction dela.poste as.Ti~orisé la cor* respondanco pour Cuba :et les Philippines. par les paquebots français.

:Madrid, 26 mai.–On télégraphie de Manille que )e croiseur américain Ba'tunorë reste inutilisé à cause dë-ses avaries, Les Américains ont tenté de faire uce descente a Binacayah avec des armes et des mu-. nitions.

Les troupes, espagnoles,'en bonne posi-~ 'tion, les ont laissés débarquer, puis elles ss' sont jetées sur eux et se sont emparées de la totalité des armes et des munitions. Londres, 26 mai, -midi. –,Le commodor&' 'Dewey câb!e à Washington qu'il est dépourvu de tout et que .39, situation est Inte- nabIe.Les navires étrangers qui stationnent. dans la. baiesont hostiles.

~Le~genéralAùgusti, gouverneur espagnol, a obtenu la soumission des insurgés. Le ministre:de la marine. Long, démeut quel'amiral Cervera soit bloqué à Santiago. On télégraphie de ManiHe. (via Hong-Koag) att New-Yorh Heraid ~0. mai)

L'escadre américaine est toujours ancrés à Cavite. Les. navires patrouillent dans la baie à tour de rôle.

Le croiseur anglais cuirassé Tmmofta~ë, le.croiseur français BruM:, les croiseurs allemands ZréTte et Cormoran, les croiseurs japonais ~Vamwa et-4.~ttsuMnta sont arrivés' en vue de Manille. Le A'an.twa est entré pendant la nuit dernière.et dans l'après-midi a saiuë'Ie port avec, ses 21 canons. Une batterie du rivage a ré-' pondu.

C'est le premier salut que le pavillon espa*gno! ait reçu d'un navire de guerre depuis l'e* tablissement du blocus.

L~ htt3

Londres, 26 mai. Les dépêches arrivées ce matin de New-York asnoncent que l'ami- ral.Sampsonet le commodore Schley, aveo; les cuirassés de l''°i classe et jes croiseurs cuirassés, ont reçu l'ordre de bombarder a tout prix l'entrée du port efde détruire ou do capturer, coûte que coûte, l'escadre espa- gnole.

Cette opération est passionnément discu- tée dans les cercles maritimes anglais. Bien que le chenarde Santiago soit puis- samment défendu et garni de torpilles, on estime généralement que les Espagnols ne. pourront résister a l'attaque énergique des' 19 vaisseaux, y compris las .torpilleurs, dont dispose l'amiral Sampson.

Certains experts -a'-étonBent même qua: l'amiral Ceryera se soit ainsi'laissé-bloquef. et attribuent cette décision aux avaries que devaient avoir ses navires-après'la longu3 3 traversée qu'ils ont effectuée.

En tous cas il estcertam.'que'IesAmëri~. cains vont mener rondement les opérations d'attaque contre les défenses du port. -Madrid, 26 mai.Une dépêche de La Havsne' dit que les navires américains se -con-centrent en face de Guantaaamo et de divers autres ports situés près de Santiago de Cuba, ainst qu'en facemêm'ede Santiago. Cela semble indiquer que les escadres àméricainesse préparent à attaquer l'amiral Cervera. On attend des nouvelles 'avec anxiété. 'L'esprit public s'exalter e't'se prononce de plus en plus pour la lutte à outrance. New-York, 26 mai.– Les pêcheurs.arr!' vés cet après-midi disëht_àvoir aperçu, dirigeant y.ers le nord,CQls--rLaY)!'es. espa< gnols en vue des côtes nord-ouest de 1$; Martinique.

Les renforts

Londres, 26 mai. Oa mande de Washington au Standard n

(t Le bruit court que ce serait pour permettre d'envoyer 20,0.00 hommes.à. PortoRico et de doubler le contingent de 20,000 hommes demandé par le général Merritt pour les Philippines, que le président Mac. Kinley aurait signe-le décret d'enrôlement. de 75,000 nouveaux volontaires. M

On mande, .de .WasMn~toji.auMo'nm~

Pos~

c Le.nou.veau plan de campagne qui a été approuvé par. M. MacKin,Iey..compot'e, outre l'jnvasion de Cuba, .le. débarquement. de 20,000 hommes aSan Juande-Porto-Rico.~ Dépêches diverse''

Londres, 26 mai.–On télégraphie de New. YorkauMorTtt~g~ost:

(f Un'o' dépêche de Philadelphie annonça que l'embargo a été mis sur le' steamer allemand'Amrun.

Madrid/26 mai. Une crise ministérieHs est considérée comme imminente.

On croit que le ministre dos nuances la provoQuera dans le prochain conseil. Madrid,'26'mai. –Les journaux engagent le gouvernement a couper les câbles trans'atiantiqu'es qui atterrissent aux Etats-Unis, ai le cabié 'de Cuba est coupe


LONG-CHAMF

PABMSEOKS

Les.part~nts n'ont pas ëtê nombreux pour ia rëbuTerture de Longchamp, néanmoins 1 jos courses ontprêsenté un bo'n intérêt sportif; Ie,publio habituel du jeudi était au com!plet.

Prix de MoKtge?-ou:t.–Surunbondé. part, ~Goguette prend -la tête devant Ma. Chère, Hardi, Casimir, Cloîtrée et Vibraye. 'A la porte de Boulogne, Ma Chère, Goguette 'et Cloîtrée sont devant Casimir et Vibrayo.. A l'entrée de la ligne droite, Cloîtrée prend ~l'avantage, qu'elle co~servedevant Goguette 'et Casimir. Une demi-longueur et deuxion-~'gueurs séparent les trois premiers.

P)-M: de.~ënail[t/ Imlian'Chief, premier sur ses jambes, prend le, départ devant L'Orangerie, Valparaiso, Ardenay, Le Satrape et ~Eilénroc. L'ordre se modiGe peu après et 'L'Orangerie, Eilenroc, Ardenay et Le Satrape sont en tête. A la distance. Le Satrape 'i vient très fort et passe le~oteau devant L'Os'angerieenndian Chi&f. Uned'emi-loDgueuret trois-, guarts de IcngueTir.

Prt'x de .Lo~ra~. Au~aiss'er'du drapeau, MossTroQper pren<i la. tête .devant Som-. meil. Le Flambeau' et Général -Albert. A la porte Boulogne, Moss'-Trooper est toTi;<R!rs en tête devant Le Flambeau, Sommeil et Général Albert. Dans la ligne droite, Ge. Boral Albert prend le commandement suivi. de Le Flambeau et Sommeil. A la distance. Sommeil .revient sur Gênerai Albert et, prend une demi-longueur d'avance sur le poteau.'Le Flambeau' troisième à troislon- gueurs. Prtx<MMa!!eret.–Washington et Railleur emmènent-:le peloton très vite. Fend -TAir, Moloch et Nevers viennent ensuite. A la porte de Boulogns l'ordre est le même. ~Railleur entre le premier dans la ligne droite devant Nevers et Moloch les autres sont battus. A la. distance.JMoch, après une hésitation, jnais très soutenu par son jockey, prend une demi.Iongueur à Ncvers après une belle lutte. Railleur troisième à quatre longueurs.~

PWx VtCtof. Au départ, Saint Leu em'mène vivement le p&Ioton devant Mlle de' Chantilly, Calembour, Valseur et Léandre. L'ordre reste le même jusque l'entrée dé la ligne" droite, où Saint Leu, battu, rétrce grade. Mlle de Chantilly prend la tête et passe le poteau devant Lëandre,revenu très fort. Saint Leu troisième. Calembour s'est croisé les jambes devant le pavillon. Son cavalier: tombé, a. été'relevë~sans m~l. Prtx de RoyatHeu. Giaq partants dans~ cette épreuve qui est.revenue Confédéré: Djohava. deuxième à trois quarts de Ion-.gueurs.-Ermerie troisième loia~

EEg~RTATS

· PRIXDEMONTGEROTJLT

4,000 francs. 2,400 mètres'environ (S. I'.) 1. Cloîtrée, 5/1 (Tom Lane). 2. Goguette, 6/4 (E. Watkins). 3. Casimir, 5.'1 (Dodge). Non places H&rdi, Ma..Chëre, Vibraye. PRIX DE SENAILLY

4~000 irancs. i,100 mëtres en-viroa (L. D.) 1. Le Satrape, ~4/1 ~W.Pratt).– 2. L'Orangerie, 5/1 (Bowen). S.India.n Chief,7/2 ~Weatherdon).

Non placés Valparaiso, Nor.denReld, ATdenay.Eilenroc.

'.PRIXBELÔNRAY y

-10,000 francs. 2,000 mètrËS environ (M. P.) :1. Sommeil,8/13(W=eatherdon).–2. Général 'Albert, 3H(W. Pratt). 3. Le Flambeau,' /-14/i(French).

,Non placé :Moss'TroQpe.r.

PRIX DE MALLERET

12,000'francs.– 1,600 mètres environ l.Molocli,3/'i(Weatherdon).–2.NeversII, S/2 (Eearney). 3. Railleur, 5/2 (Dodd). Non places :'Washington, Fend l'Air. .PRIXDEVICTOT

'!0,000 francs. 2,000 mètres jenv~ron (M. P.) d. Mademoiselle de Chantilly, 4/5 (Madge). 2. Léandre, ~6/l (F.Gooch).–3.Saint ~eu,5/i (W.Pratt).

Non places Valseur, Calembour~

PRIX DE ROYALLIEU

'T.OOO francs. 3,000 m&tres environ (.G. P.) Confédéré, ëgal.~M-adge).–2. Djohava, 2~ (Bowen). Ermeric,40/l (J. Monk). Non placés Acacia, Alvarex.

Rés~Mats <îtt pap~ smîMe:

l Noms Situât. Pcsag Pe!ou. ~'Courset des 'Unité Unité deschevaux .~eheY.-tOir. ~fr. Cto!trë9. Gagn.. M.. 32.. l"c. Place.. j7.. tl. ~'6 pxrt. Goguette. Place.. d36Q 750

Place.

Le Satrape. Gagn. 1-43..) Et 50

"'e. Place.. 54..j M.. part. L'Orangerie.Ptacë.. 3S50f.i350 50. .Place. J. Sommeil.Gagn.. 17.. 9.. 3'c. .Place.. ji50 50 G.. .4part.GcneralAI.bert.Place.. 1550 9.. .Placé. Motcch.Gagn.. M.. M.. 4'c. .fPIaco.. 2L.. 10.. 5 part. NeversII.opiacé.. i7K) 9 M !Placë.

MUe ne ChaotiUy.77 Gagn..)t750 10 M

!e. Pbee..j 14.. 7.. .a part. Leaadre.Ptacë.. 'LS~. iC.. Place. ~Confédéré (ëc.Wys.)Gagn. 19 1050

C'c.'i .Place.. H50 S..

G·c. 'I .IPlacé..l 11 50~ .G

j~part.iDjohava. Place.. 12;50 C50

t. Place.

MSONS-mFHTTE

Vendredt 27 ma~S98, à 2 heures

L'EXPRESS

A réclamer.– 3,000 fr.–800 mètres env. MM. ML

J.GadoIa. 6 Alberge. 63

<j. Qaudin. 4 Queanoy 6d :M.Stern. 5 Astibloehe. 60 J.Gerhier. t Félonie. GO Cappe. 5 Pantomine. 60 'Mmn Ricotti. 5 .Stratonice. 60 H.Denma.n. 3 Gratin. 59 E. Veil-Picard. Fontaine Labbé.. 58 ,Vte de Fadato. 3 Le~iyarais. 58 Comte Le Marois.. 3 Maranine. 58 ï'\ Thomas 3 Sifneur. 58 Ote du Pontavice.. '3 Va et Vient. 56 J. de Soukozanette 3 Semiramis 56 K J. de Soukozanette 3 Frivole. 56 J.Gertner. 3 Glëmenoe ~saure 56}, ,'VM<: Rainneville 3 New Primrosë. 56~ Y,

[Bar. de Rothschild. 3 Hël!é. 56~ V

'W.BrockwelI. 3 Préfërénce. 56~

A. Sargent. 3 Vendée. 56H ~M.CainauK. S~Foiaade. 56}:

I.

Alberge, av~c 56 kil; 1/2,/a eu raison d'un lot nombreux; .sur cette forme, elle barre tous les vieux .chevaux. Fontaine l'Abbé a facilement battu Soncra,Ma.a.eIciDëet LaChantraine dans le Prix de.Nouan. Après a.voir fourni deux jolies coursea, Maranine n'a pas 6te placée lors de sa dernière exhibition. IIeilé; et Croisade ont des chances, analogues. Je choisis iFoMt~asc ~A!t&é.

PRIX DE SAINT-MICUEL

,OOQ Irancs. 2,500-metres environ

MM. Ml. E. deSaint-Alary.. à Vigoureux.60~ y.. R.Bidau't. 3 Casimir II. 59 Cami!Ie'8!ano.4 Magister .5S Baron Finot. 5 Vaucouleurs. 57~ Ed.Archdeacon. 5 Corail. 57 K. Achilie Fould 5 Loudun. 57 X A. Lavis. 4 Abencérage 56 J. de Brémond 3 AvaHon 53 K E.Deschiimps. 3 Goguette. 50!~ J.Pra.t. 3 Fenouil. 50 Earlofllchester. 3 PoIluxII. 49 IA.:PoLLHiGF.3'L:Batry. '47 A. ~Sargent. :3 Medous. '47 iM. Cajilia.'a~ .IHuminë. ~7 ;M.Cai!IauIt. 3 Agrippa- 47 A'ibert Méfier. 3 Tria'ntm. 47 N: de Bremors :3 Ghstelar .47 'Comte de Ganay. 3 Jrun. 47 M.Marghiloman. 3 Révérence~ 45~ l J.-R. I-lcuNëRsy. 3 Slixture 45 ~t. Cailia~lt.3 Cloltroe. 45 f

'Ma.giEterdoit mieux valoir, qne Vigoureux, Casimir N, Loudun et Abencerage: je ne parle pas de Vaucouleurs ni de Corail qui n'ont rien à faire dans cette~socLetë; dans les ~rois ans, sur un parcours aussi sëYere, Fe- nouil et A.va!Ion, matgrë le puids qu'ils auront à rendre, devraient avoir raison du lot. Je choisis

-B?emoEî6i.

'Pmx DETRIËL

Areclanier. 5,000 francs.– 2,000 mM. 'env.

'MM. HU.

Hirschfeld. 4 Danseur; 59~ G. Brél~t. 4 BUo Gorby. 59~. iBara.6Noa.h'sAsk.58

J.deSaiBt-Marc.4BJueBun.57

J.-R.'Henncssy. 6 Idole. 56~ E-Veil-Picard. 4 QuetteviHe. ~5~ M. "CMlla.ut. 4 His 'Firat. Sa MUeMara-Brochard 4 Mon Premier. 54 A.AbeiUo.3Douro. 54 J. Forêt. 3 Autant. ai'K CamilleBlanc. 3 Hardi. 51}~ A. Jorel 3 Ai. 51~ Mme Ricotti. 3 Casintir. 5rK AcTiine Fould 3 'C&-uterets 5i C.&aleotti. Bëllefonta.ihe. 50 E. drandchamp. '3 FaithfuL 50 iComtedeJuigne. 3 Protocole. 49 J.Prat.3 Picard~n. 49 .J.deBrômond. 3 Cav~r: 49 :H. de'Bremors. 3 Chatelus 49 'Vte d'Harcourt. 3 Ovation 47

J. de'Soukozanette 3 Lsmia. 47~ y

J.-R. HennËSsy. 3 Ma Ch'erë 47

Voila une épreuve qui .n.'est pas.facile à 'débrouiller. sur. sa.forme du Prix deCom;piegne,.QÙ eUe. est venue menacer Fils/de tRof, Idole semble la mëilleuTe dans les che- I vaux âgés dans les trois ans, Mon Premier, Cauterc.ts.Casimir~et Ovation sont ceux qui me plaisent le mieux. Je choisis

:Mo~s.. J

PRIX BORDER-MINSTREL ll ..42~000 ..fra.nos. 2,600 mètres environ

-Biai. b.n. EdmondElauc. '4 Masque.6A :H.~Say. 4 Vidame. 56 :Camme31a,nc. 4 Fils de Roi. 56 .Camille Blanc. 4 Magi~ter 56 EdmondBlanc. 4:MoBtégut. 56 EdmondBlanc. 4 Langbow. 56 J. Lieux. 4 Arrodets.56 :A.lbertMenier. 3 Florizol. 52 Achille Fould. -3 Monfa.Ticon. 50 :H.Say. ;3 lafant. 47 Achille Fould. 3 Libaros- 47 r R.deMoBbeI. 3Moulouia. 47

L'écurie Edmond Blanc a engage un vêritable escadron dans cette épreuve Longbow aurait été devant Masqué à 'Chantilly si son jockey ne l'avait arrêté pour le laisser passer;'Ia meilleure course de Vidame, cette année, est dans le Prix du Cadran, où il-s'est placé derrière Chambertin, procédant Van Diemen,QuineviHe etOoniorp; un choix est difficile dans léstrois ans, je croisnéanmoins que Moufaucon doit être le 'meilleur. Je~ choisis 'j

Ectss'seE~tMOt:t5Bt!~MC.

PRIX VIGILANT

'000 'francs. '1,400 mètres jen-vi.ron (L. D.)

MM. bil..

LE. de Sa.int-AJary.. 3 Bigoudis 56 J.Prat.3 Muté. 54 A. Pierre. :3 .Revigny. 54 SarondeRothschild 3 Quitte, ou Double 54 ,R.doMonbeL.3NeversII.54 Albert Menier. 3 Washington. 54 Petit Le Roy, 3 PariBiana. 52K Ys ~L..Faider.3 Rachel. 52M R.MiIls.3 Demi Vierge. 52H Y. .Bar.A.deSohickIer 3 :LaCenci. 52~ Albert Menier. 3 Le Flambeau. 52 :M. CaiIIa.ult. 3 Ilario. 52 M. Caillault. 3 Idie Hampton. 52 .E.Veil-JPiMrd.3. Rouen.52 Ch.Prat.t.3MaIsurra.52 Vanderbilt. 3 Neptune. 52 Vand~M~3N~enL.52 ~Cte P. de St-Phalle 3 Sommeil. 52 :M. Caitlaut. 3 Grand Prix. 50 H.Say. SLinotte. 50~ H. de Brëmors. 3 .Bayonne. 50~ R. deMonbeI~ 3 Louti. 50 H BaronFinot. 5 Bijotière. 50*4 Ys Vte d'Harcourt. 3 Redoute. 50 'H. Delamarre. 3 L'jOrangerie. 5Q}4

Bigourdis devrait battre Muté,. Revigny, 'Quitte ou Double au peu d'écart de poids qui les sépare Nevers 11 trouvera la. distance'' ~un peu courte; Washington s'est mal comporté cette année; Parisiana, pour .sa ren'trée, a gagné à Maisons-Lafatte Idie Hamp:ton et Grand Prix sont surclassés; Sommeil doit remplir son engagement aujourd'hui à .Longehamp.; la .lutte, à l'arrivée, devrait être .entre Bigourdis, Nevers II et Quitte ou

~Double. Je choisis

.B!go~e!:s.

PRIX D'ALBIAN

Handicajp. –'6,000 francs. –2,200 m~t.'env.

f~rM T-;i

R.MilIs. ~Emmaûs. 62 M, Marghiloman. 3 Indien. 62 A.Poullier. 3 Le Juste. 61~ y E. Deschamps.3 Goguette. 60~ A: Abeille. 3 Douro. 58~ Camille Blanc.j3 Hardi. 58 L. Prudhomme. 3 Glaneur. o7~ Vanderbilt. 3 Niger II. 57 Albert Henier. 3 SanGaHo. 56 H L.Nouuez.3 Lartigtie. 54' Comte:deGanay~ SIrun. 53 MmeRicotti. 3 RoseDeep. 52~ tT A~ln.. *) T;E.~ m J

AA..n~~t.J-i~J't~i -Le haut de l'échelle des-poida est trop chargé Goguette vient de gagner à ChantUly, 'elle a trop de poid3 .également Douro et Gianeur doivent se valoir -San Ga~o vient de fournir de ma.uvaises~courses si'Lisy est bien, avec ~son poids do ~plume, ë~~e 'devrait

gagner;J'enfaismafavorit.e.

'1 ~tsy.

-ËI.TOît.

PMT~iTS~ ET M(m€S f R3S ABLES -L'EXPRESS Quesnoy. Alb.Johnson Panto-mine Weatherdon Stratonice. X.

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PRIX BORDER-MLNST.RELt flasque. BarleB.

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MoulDuia. -~ViTHam-son .Infaut. 'WeàtTierdo~ PRIX VIGILANT

Bigoudis. 'Kaarney

TMuté. E. Watidns

Rovigny. T~Lane Quitte ou .Double.- -W-Pratt

Louli. ;X.

JRouen. -.Cady

Niger II. Maisurca. Hàrtiey Redoute. -Bridgelaud jBijotière. .Nicolas

.'Bayon'ne. X. l

r PRIX D A'LBI~V 1

\-PRIX D'A'IjBIAN

'Emmaus. Barlen Indien. 'T.-Lane 1 Le Juste.<, Bodd. :1

Douro. 'W.Pratt I Glaneuc. Brennan '1

Niger 11. Bridgeland. ..Lartigue. J.Watkins l Lisy. F.GoocJi

Afe~on se )~af à !a'd.tspostHon des acteurs de ta Presse pour tous rensgt~Ttem&Ttts co!tcerttaTttZe~Spm't.'

'P~?y~P ~'Tt 'M~TT~?~'TT'E~5

Ët~hU~ &i <MUUV&Ë!a Valëre boitait sensiblement après 'avoir igagné le Prix Franciscan Friar, hier, à Go-

.lombes.

La jument -n'ayant pas trouvé acquéreur est.retournée chez Ch.'Cunnington,' à La

~Mùrlaye.

L'Aurore II, &. M. de Monbel, remplira son iengageinent. dimanche, a 'Orléans, avec la. .montede.T.Newby. -Le. cheval. Mazarin, M. Nechitch, était 'présent hier sur le terrain, a Colombes, pour 'disputer le. Prix Jumilhac, mais il n'a pas .pris part à la course :il a été dirigé sur 1p. T.BJ.térsalI,et .sera. vendu-samedi prochain, jpour.cs.Qse de dissolution de.société. Le jockey T. Roberts a-quitté La Morlayë, ihierma.tht, pour se rendre a~Iaisons-LafËtte. chez M. G'uinebert.où il remplacera le jockey Wright, jusqu'à ce que ce dernier soit remis des suites de; l'accident dont 'il' a-etë vic- time.. '1

M.: Dautresmes vient d'acheter, -a l'amia- .blé. La Marquises.M.. Ch.Liënart. Kummel, qui n'a pas trouvé acquéreur après sa victoire dans le Prix de Souvray, hier à Colombes, est retourné chez Roland Carter, à .Chantilly.

.Dans le Ppix d'Achères, hier, à Colombes, -par suite de leurs montes d'apprentis jockeys, Petit, Idle Hampton, Clair de Lune, ~Glaneur, .Domezain, Lagopède etAlManzor 'ont porté 45'kil., The Rosé 43 k. 1/2. N'eppérezpas trou ver mieuxque'IeSEJaBE ëS'@iETS!F.LEGAIN(7'=annëe),toujoursIel~doHc te metteur (nombre et produit des gagnants), 14 rue Montmartre. Un 'mois 20 fr.; Résultat quotidien pM~tô B.ég~:eB:€mS. Le 25 Réville 14, Domezain 13,. Chicane 16; en 2<'ligne,~Lindo-l"'30, Lindrick23; outsider (4 chev.)KummeI ls''3l, Petitl<='-46. aju Esom conseM; suivre LE GA7~. .La chute qu'a faite M. de Montmorency avedrun dans le Prix Jeanne d'AJbret, hier, à Colombes, a été beaucoup moins grave qu'on ne pouvait le cramdre'tout d'abord; il en a 'été quitte avec une 'légère cbiîtusionau menton.

Les- chevaux anglais 'Bremont'a P.ride et Beard of-the Wing sont arrives a Saint-Germain-et-sont installés dâ:nsTccur:e'deM. R. Bidault.

Par suite de la monte de Pic ~tideEdwarSs, Valère et Nizam ont bénéficié 'de six livres dedécharge; par .contre, Porcelaine a dû porter 69 kil. dans la même épreuve. -Tvo'Qiie, la ~oultche -de' M.. Mure, est rentrée boiteuse, après avoir disputé le Prix Jeanne d'Albret, hier, à Colombes.

''Magyar, San Carlo et Vista, a/M. Michel Stern, rempliront leurs engagements dimanche a Orléans, les deux -premiers seront montés par leur propriétaire et Vista par Turner.

Dans Lle,.Prlx Jëanne-d'Albret, .hier à Colombes, Epatadoa, Le Cëlestial etControlIer, Étant hongres~ -ont.bëneâcié d'une décharge

de dix.livres..

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E~e eoMg; .s.&t' dimanche éta.itSas't!ef€M 1" &S f; donnant par fr., 55~ fE*. Envoyer cent francs ou plus: 5L Warnier, correspondant sportif, 13, rue du Canon, à Bruxelles. (Lettres chargées 'ou recamman-

dëes).

LeCërant:H.DELAMARE. Paris.–Imprimerie de'la Presse, 1 t6,ruë'dn'CroissMt. –'Sima.rt, imprimeur.

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ont été recommandes par Joe Caidar alors qu'H ~indiquait qu'une ou deux certitude pî.r réunion. Sa rentrée été un véritable triomphe.

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Adresser les lettres et mises (E~ihimum 20 tr.pac .jpuj', gagnant: et place) à.

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24-Ardent 78 fi-.

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m~MjMm ~e LA CAVALCADE AURA L!EU b

g

Ce n'est pas sans une certaine stupé- d faction que nous avons lu ce matin l'ar- q ticle qu'écrivait notre confrère Arsène â Lopin, conseiller municipal, sous .le ti-. ° tre:IesFëfMà.Paris. Pourtant le jour de gloire était arrivé, écrivait-il, et le 14 juillet prochain ne devait plus être ce i4 juillet habituel, banal, avec f les lampions traditionnels, les sauteries en t, Blein air, les rasades chez le brave et excellent limonadier ou bistro du coin,.et les feux d'artifice eans grand caractère; pour tout dire, la Grande Fête Nationale allait être il- .t lustrée en 1893 par un admirable-spectacle c digne de Paris. f Le conseil municipal, prenant l'initiative' s du mouvement, -sur l'appel qui lui était fait -s par un aimable artiste apportant gracieuse- i ment son concours l'organisation dénni- j p tive, avait voté une subvention de 20,000 fr.. supplémentaire de celles attribuées déjà. L'on comptait que le commerce parisien allait de sou côté assurer le succès par une t collaboration nnacoière sérieuse,' c'était de-, s -cidé et ~'était promis.~ r; 1 eracf voila que tout ca'sse.irparait~que le' Commerce parisien a été tapé formidable- j J ment parles protecteurs de cahdidatures~of- ,-Ëcielies et cela do telle manière que .les caisses du commerce sont séchëes et, pour. reprendre .baleine,.et reformer une.cagnôtte, 1 il faudra reporter.jusqu'au.22 septembre pro- 1 chain laGrandë Fête attendue pourTë i4 juil- 1

Notre confrère Botre e<?jle –était- t tl-.bien renseigné ? Allions-nous devoir 1 jlûTis contenter, pour la fête nationale, de l'insipide programme que l'on nous sert depuis plusieurs années? Aurions-nous-à

ni, tout` à`1'hëüïé; üne rioûvelTé e

enregistrer, tout' à Théure, une nouvelle

flécëptiôn?,

C'est à l'auteur du projet lui-même que nous sommes allé demander, s'il n'y avait plus (L'espoir.

C/pez M. Rcedé/

Je n'avais pas lu, nous dit-il, l'article que vous me montrez. M~ Arsène Lopins l'a écrit Tians une trop bonne intention pour que l'idée me vienne de m'en plaindre. Je sais, au surplus, que M. L6pin'est:un sincère ami de Paris et des'artistes. Mais il a été trompe.. é. Notre fête aura bien .lieu, comme il a j~ étèconvenu des le premier jour, les 13 et 15 juillet. Des bruits; contradictoires ont été, sont et, peut-être, seront répandus. Vous pouvez les démentir sans crainte. Le cortège à la Gloire de 'Paris est en- roule. Je puis même .vous .annoncer, tout en restant fort discret, que nous 'réservons une surprise non désagréable aux Parisiens. Cela-sera. la meilleure réponse à faire aux petites manœuvres pratiquées par quelques personnes.

En tout cas, notre programme reste tel qu'il a été adopté a l'Hôtel-de-Ville. Nous le T'emplirons consciencieusement. Les. sympathies lui viennent chaque jour plus nombreuses. Le succès, ne saurait plus faire doute.

.Les prepaya~'fs

Nous sommes allé aux preuves. C'est Rœdel lui-même qui nous y a mené. Au 51 de la i'ue Vivienne, dans les con-; fortables.bureaux aménagés par le coTnité de la prochaine cavalcade; sont exposées déjà les maquettes du joli cortège qui déiUerasur.nos grandes voies avant deux mois.. Le spectacle est ravissant, et nous conseillons vivement à nos confrères de ;faire un tour. à ce Salon en miniature; où ;ils seront toujours les bien accueillis. On peut déjà, par les charmantes réductions exposées, se rendre un compte ~xact de ce que sera/demain, la manifestation d'art grandiose ouverte à la capitale.. Peut-être; d'ici moins d'une.semaine, le puNic sera-t-il convié, dans une grande salle, peur applaudir avant la lettre un défilé qui ne manquera pas de faire épo.que.

Quoi qu'il en soit, hâtons-nous'de rassurer ceux qui pouvaient craindre un'i

~i~ Sr~I~~

Les deux CD'm'ne~s. Monument /usfo~'qrue. Sotrëe d'ë/.ecîfon au fnmtsfëre. Les dames confëren.oëres. Mar;e-A;]ne de 'Bovet. Lou/se M/ohey. Chronfque nmée.

c Avec deux joueurs dé manille et une cour d'assises je ne m'ennuie nulle part en province D, disait je ne sais plus quel homme d'Etat en retraite..

Cette semaine ce philosophe aurait été peureux/même a Paris, car Zola et Carrara. se sont partagé l'intérêt public en comparaissant devant leurs juges respectifs. Un parallèle s'impose entre ces deux ~héros du jour.

Les uns se passionnent pour leromancier, d'autres pour l'assassin, à tel point qu'on .en arrive a ne plus bien savoir si c'était l'assassin qui était romancier ou'le romancier qui frica.ssait I&s garçons de recettes aux champignons.~ Le premier avait cependant un avantage sur le second il était inédit, tandis que Zola se répète et nous lasse prodigieusement par ses reprises. Carrara est venu au prétoire en cabriolet. M. Zola.pius moderne,.esi arrivé aVersaiHes eu automobile, et cependant le cultivateur de' champignons a-été'gentiment condamné à mort tandis que-l'auteur de'e J'accuse B continue à patauger dans les conclusions déposées partout sur sa route, à lancer des assignations à 51; Marinoni,-& M. Judet, aus généraux, au pape, etc..

C'estnni quand cet homme-là a commencé quelque chose, il ne s'arrête plus. Il a écrit vingt-cinq romans, parce qu'il en ava'.t écrit un il s'est présenté quatorze fois à l'Académie, parce'' qu'il s'y était présenté une première fois; et, maintenant,'il cite, il assigne, noircit du papier timbré.Nous en avons pour dix ans. Il avait un ami son éditeur.– on ne sau-. rait trop l'en louer. II en a un autr.e son avocat; et, avec ces deux aides, nous verrons M. Zola, arrivé à une vieillesse très avancée, écrivant d'une main et procédurant de l'autre. Pendant que lès.cours d'assises sont ainsi en pleine activité, on déménage Mazas, puis .Sainte-Pélagie. A!nsis'envolentles meilleurs souvenirs. C'est la décentralisation qui commence. Que va devenir la capitale si on lui enlevé ses prisons? L'opération du transfert des huit cents détenus qui occupaient l'immeuble du boulevard Diderot s'est faite sans eneombre~par convois successifs' .de paniers àSttIadë;.car, pourle moment, il n'y avait sous lesverrous aucun prisonnier de marque, pas 16 moindre' ancien: ministre.C'est,une e économie ponr-radmiMstratioE pénitentiaire,

t.

ajournem&nt :tout estprct.. On-a large-' ] ment le temps de réaliser le projet, tout' enfa.isantbienleschoses. Deux afiiches, d'ailleurs, l'annonceront bientôt aux populations. Elles seront signées Leandre et de Fëure.La composition de chacune est des plus réussies.Nul doute qu'elles ne fassent bien augurer d'une cavalcade yeDant si bien u.sonbeure etrépondant on ne peut mieux, à l'attente générale.

~n promue

Nous aurons un avant-go&t de la jolie fête à la Gloire de Paris d'ici peu de temps.

Des le 36 juin, en eiTet~a, démonstration commencera dans la rue, animée, joyeuse/vraiment vivante et tout à fait originale. Vingt cavaliers sous !es-ordres d'un sergent parcourront la bonne ville pour avertir publiquement les citoyens qu'un momeQt.délicieux leur est.pro.chain.ement. réserve..

Et huit jours après, encore un dimanche, le 3 juillet/des'chevaliers du guet, .toujours sous la conduite d'un chef, faisant rôle. d'appariteur,: rappelleront, au peuple les deux dates attendues.

Enfin, lelOjuUlet,"c'est-à-dire !e 'dimanche suivant,' c'est' la maréchaussée 'quifetale service des publications. On voit que nous touchons au but. Cela dit,, espérons que c'en est fini des hésitations et'quë le cortège Rœdel, doublement intéressant .et sympathique;puisqu'il favorisera. le commerce parisien toutenservant'Ia cause de la patrie, va rencontrer tous les -appuis nécessaires non'pour'réussir, c'est maintena'nt ~certain, mais pour resplendir de tout l'éclat que Jui squhaitentles Parisiens de Paris.

LOUIS BESSE..

T~Fc~. IEE~Jb.Q~

!,c east~ts.–Lethermometre marquait a

S heures ce matin + 13 degrés, et à 2 heures cetapros-midi-}-17 degrés.

Lebaromètreestà756"/°'.

Beau.

LE MONDE'

Une.vente.au pront de la Société/de cha~ .I rite'màtéraelle aura liëù'domaia vendredi,, 'de une heure et demie, .a', sept heures, a la. salLePet!t,S;rue;deSèze.. Le but de cette belle œuvre, est. de secou-~

rira domicile lës~mëres.pauvres.et de proté-

,ger les enfants nouveau-nés.

Les comptoirs seront tenus par laduebesse de Mouchy-, présidente Mme Lebaudy, vice- présidente; la vicomtesse d'Harcourt, v:ceprésidente la cpmtcsse de Maupepu, vice- Drësidente;M'mes Raimbert, Léon Thelisr,

Godillot~

Eour venir en .aide a l'œuvre~de Popincourt, la duchesse de Gramont, présidente~ del'œuv.re, le marquis Costa de Be'aui'ega.rd et tout un comité de dames patronnesses ont organisé une grande représent'aticn de jour déjà pleiné.de c clous D sur laquelle nous reviendrons et- tout Paris voudra se rendre.

–Le comité de Versailles de l'Association des Dames françaises, dont-Mme de MilleviMe.est présidente, organise au pro8t de cette œuvre patriotique un rallye-paper. qui sera couru le jeudi 16 juin, à deux heures dé l'après-midi.

Le départ sera donné an rond-point de l'avenuo~ViIlBHeuve-l'Eta.ng, a Versailles, et lelioud'arrivëeuxé est le parc de SaintCloud. Déjà plus de cent ofticiers appartenant aux 27° dragons, 'H°et22= d'artillerie, 1'='' cuirassiers.et~20° escadron du train, se .sont.fait inscrire, ainsi que de nombreux civils. Cette fête, qui promet d'être très 'brillante, placée sous la présidence du générai Grilîon, commandant dermes deVersaHLes, et à laquelle assisteront les généraux Castang et de Beaulieu, se terminera par un-concert avec le concours .de la musique du 101~ d'infanterie, une distribution de récompenses, une tombola gratuite et une sauterie. LES FLEURS

Le mois de mai est consacré aux neurs; en effet, leur fête annuelle est annoncée pour samedi et dimanche.

Veut-on savoir quelle est la production du Midi en aours odoriférantes ?

Le département des Alpes-Maritimes

qui aurait été obligée de .louer des Sacres. La commission des monuments historiques va sans doute se réunir en vue d'empêcher la démolition complètece vénérable bâtiment, vers lequel est venu aboutir tout ce qui a intéressé notre histoire nationale dd'rant ces dernières années. Une-partie en sera- sans douté conservée pour réducation du peuple et, sur une plaque de marbre placée à l'extérieur du mouumeot, on lira en lettres d'or Panama Cha~fa~es Lebaudi/ C/ierrMns de ~er dM ~ud, etc. De cette façon, les Anglais qui viennent chez nous seront contents.

a~

Si nous n'avons plus Maza.s, nous avons cependant des députés, des députés tout neufs,

tout frais sortis des urnes~ët lundi matin, en ouvrant leur journai tous les Français ont pu. se rendre compte avec joie de cette .bonne nouvelle. Vousêtes-Yous jamais demandéà ce propos comment tous les .journaux peuvent -tomber à peu près d'accor.d sur .le résultat,. le cMEre des voix obtenuespàrtous !es DGnveaux 61us ? Eh bien, voici tousc~s renseignements'sent coinaminqu~s par le miois-

privilégié entre tous– produit annueNement H millions 308,000 kilos de fleurs se décomposentainsi:

Fleurs d'oranger, 1 million 860,000 kitos; Roses, 1 million

Violettes.157,000-

Jasmin, 147,000;

Tubéreuse, 74.000;

Jonquilles, 500,000;

Réséda, 20,000.

La valeur totale de ces fleurs est estimée à 15 millions de francs.

Voila vraiment un département K que c'est comme un bouquet de ûeurs <

? ? ?

Le secrétaire d'un music-hall aussi ennuyeux que désert envoie aux journaux des notes qui essayent en vain d'attirer le public rebelle. Aujourd'hui il n~a. rien trouvé de mieux que ceci A'e quittons pas !'etab!<ssementsaKS sa!uer !a beauté de AfUe W.et !a qëttttHMse'du stnge-ëcm/er. Qui est-ce, du singe deIabeUe W. qui est le plus flatté du rapprochement ? CROSE'S.Ër~Ur-RES

Les carabiniers fêteront ce soir, auGrandHôtel, avec le concours de la musigne delà .garde,.l'apparition de leur histoire sibien illustrée pa~DetaiIlë, Titeus.:et VanMuyden. Le Livre d'or des .carabiniers a. été offert cetapr.ès-midi au Président de' la. République, par lo'géuéral Baillod et le capitaine Bue, aute.ur de cet ouvrage..

Cetexemptaire spécial était reufermé dans un étui de parchemin blanc et or au chiure de M. Félix Faure. `' FA-NTASfA.:

~PRÈS LES É!-ECT!OMS

QueUe sera, dans ia prochaine Chambre, t'attttude de M. PaulDerouIcde, élu, on 'le sait, à une. grosse majoritcavecteprogrammenationalisto? `

Voici les deciarations de l'ancien président de in Ligne des patriotes:

Au début de cette législature, je compte 'garderie silence. Le système parlementaire me retrouve sans illusion. Lu majorité de demain ressemblera a la majorité, d'hier, si exactement, si énergiquement dépeinte par M.Waldeck-Rousseaû:'

Vous savez, s'ecnait-H dans un discours à l'Association gambcttiste, ce qui est advenu de cette majoîite, comment elle a épuise la somme des contradictions changeant d'opinion en munie temps que do ministère, c'est-à-dire souvent, 'n'accordant qu'une conGancetropconditionneUe pour ne pas faire payer sa 'fidélité de concessions et de ~acriHces; affirmant_.sa volonté d'aUëger les 'chargës'publiques, et .ajoutant UO miUions de depenscs.'à un budgetde ptusde S milliards, couronnant enfin son œuvre en mettant a. la dernière heure le budget au piiiage: On'nepeutfaireunportrait plus saisissant et plus vrai'de'ceux 'qui prétendent repré-

senter le pays.

Je ne crois pas que les hommes soent de grands coupables. mà!S..le.regime actuel pro-' voqueun incessantmarchandage entre ministres et députes. Je yois qu'un remède: l'étiiaucipa.tion de la présidence de la -République et des ministres puisés en dehors du Parlement. C'est le programme avec lequel l'ai été 'élu. C'est celui que je compte développer, soutenir..Je sais bien, toutefois, combien il y a d'aspirants ministres .parmi mes collègnesctje n'attends le triomphe demonidëe que de la succession des événements.' En ce qui concerne la manière dont j'entends la revision de la Constitution.-Iaissezmoivous rappeler les paroles que'jepro'noncais le ~t avril, à Angoulême, dans'une grande réunion populaire ft.Pour obtenir une Constitution nouvelle, il n'y a que trois moyens: la volonté d'un ~peuple, c'est-àdire la révolution la volonté d'un homme, .c'est-à-dire le coup d'Etat, ou la volonté de 4'Assemblée,o'est-à.-direIe congres, e J'ajoute qu'il y a dans la nouvelle Chambre un nombre de députés nationalistes qui dépasse de beaucoup celui donné par les statistiques. » ~on seulement le parti nationaliste, puisoue le mot existe, ne doit pas être un parti fermé, mais il ne doit meme~pas être un parti formé.

Ce serait, à mon avis, le rapetisser ou le méconnaître que de dire où il commence et où il s'arrête. Aux jours de danger, intérieur ou extérieur, le ralliement se fera sans difficulté.

Pour terminer, je tiens a vous déclarer oueje déteste l'opposition systématique. La politique de contrôle me paraît la seule utile. Mes préoccupations porteront d'abord sur les trois grandes questions: militaire, agricoleetouvriëre.

tère de l'intérieur, qui reçoit officiellement -les télégrammes des préfets et les .transmet de suite" aux journalistes présents. Or, cette communication ne pourrait pas se faire vingt foisdanh la soirée à qui viendrait la demander il faut se grouper. C'est alors qu'on a imaginé, nu ministère de l'intérieur, la petite causerie de famille à laquelle assistent les représentants de tonales journaux les soirs d'élection.

Voici, du moins, lés renseignements que nous transmet là-dessus un de nos plus distingués confrères:

II est minuit moins un quart. La rue Cambacerës est noire. Quelques fiacres arrivent de droite et de gauche. Des messieurs montent aux bureaux situés au premier et se dirigept. tous vers une ~)iècè timidement ëclai-

rée. C'est 1~ Une Vaste table carrée vêtue du tapis, de serge verte et commandée par de~~enormes lampes; des feuillets de parler semés et la de belles plumes d'oies couchée~ sans ordre le long des encriers ministériels; du sable jaune dans des sébiles; trente chaises éparses et un Jiuissier rêveur forment tout l'ameublement..

Cela vous àl'aii'.morh.e-M. diable. Maisdes que cep messieurs arrivent, voici que.la salle:

17 t c* t TT 1 1~ L.A.~ 3M:A.Ti:~E]~

NOS 1MFORMAT!ONS Aujourd'hui, & onze heures, du matin, les résultats du scrutin de ballottage pour les < i élections législatives ont été proclamés ofa- cieDcment dans la salle des Prévôts, l'Hô- 1 tel de Ville. 1 La commission nommée cet effetaexa- miné les dossiers de chacune des élections et a proclamé ensuite.l'électiond&s candidats ] dont les noms suivent: J Pour Paris: MM. Muzet, Gras, Bertbelot, '1 Prache, LeroIIe, Baudin, Levraud, Girou, Dubois.'Humbert, Chauvière,.Chassaing,' Bernard, Beauregard, Milleyoyé, Bompard, Sembat,. Iloitz, Clovis Hugues; Bos./VaiI-' _< lant. Pour Saint-Denis: MM. Goussot, Waltèr, La!oge, Ferrand. Pour Sceaux: MM. Renou.Gervais.

Le Président de la République a reçu ce 'matin Le vies-amiral Duperré, président' de' rUnion.des .yachts ;/1e général Duchesne, .l ~M. Christian,- directeur de l'Imprimerie nationale le trésorier-payeur général du Mor- ) 1 bihan !e généraiBaiIIod et M. Bue, qui ont 'prié le Prés.ident d'accepter. Ie~ premier 'exemplaire du livre d'or des carabiniers: le ] princo d'Arenberg; le comte de Turenne et j loduo~c La Force.q'.ù sont venus,au nom .J de;ia Société d.encouragement, prier le v Président, de la, République d'honorer de sa présence le Grand-Prix .de ;Paris, qui sera couru le a juin prochain. M. Félix Eaure a accepte..

"j"

C'~staujour'd'huil'Ascensto.n'Qrthodoxe.À cette occasion,.un grand service a ~été. celé- ~bre ce matin.à onze heures .:a. l'église .russe delà rue Daru par l'archiprëtre Rbsdjet- venski en présence du persoanetdel'ambas- sade et du consulat .en. uniforme.et d'un grand nombre de représentants de la colonie russe de'Paris..

A la même heure, des. cérémonies analogues ont'eu lieu .a l';église grecque,de, la rue

l;izet et à l'église;rouuiainé.de, la rqe Jeân~dë

Bizet et a l'église~ roumaine.delà rue Jeah-d'e

Beauvais. r

.~t'AFFMRE~TE.R'

!A:M'cs-Ba-co'ndamM'at!ôBt

~Ketz, 25 mai. Voiciles détails'complets des incidents qui ont précède la condamna- tion a cmqahs et un mois de réclusion pour -espionnage du sieur Gustave-Mihster.eon-damnatiou que'je vous ai télégraphiée, et qui a provoqué en Al;;ace-Lorrs,ine une grandeémotion.

~Le 22 janvjer dernier, Minster s'est rendua Nancy,.et le lendemain à Luxembourg. ~Le 25 janvier, il arrivait Metz, il rendit visite a un employé de l'intendance mili- taire, du nom d'Elbrecht, avec lequel ilavait tié connaissance autrefois. Il lui raconta qu'il était au service d'une agence de journaux à Paris et qu'il gagnait beaucoup d'argent. Il ajouta qu'tl'së rendait fréquemment a :L'uxembourg pour. expédier des dépêches chiS'rëes qu'on refusait'a Metz.

I) parla de l'an'aire Dreyfus, prétendant que Dreyfus avait vendu des documents très importants a la Russie, que l'on pouvait gagner beaucoup d'argent en pratiquant l'es.pionuage, etc. Puis il demanda à Elbrecht s'il;ne.pouvait pas obtenir les horaires de mobilisation à quoi Elbrecht répondit que ces horaires ne se trouvaient pas a l'inten-

'dance.

Le 29 janvier, Minstèr était de nouveau à Metz; mais Elbrecht l'évita. Dans la soirée, Minstèr fut remarqué en compagnie d'un fantassin bavarois, puis d'un artilleur. Le soir, il.eut au café Central un entretien avec un secrétaire de l'intendance, nommé Langer.

De nouveau, Minstèr amena la conversation sur l'affaire Dreyfus et surl'agence parisienne, qui, disait-i),'était fort bien renseignée et pour le compte de laquelle lùi'même avait'rempli des missions en Belgique et en Hollande.. Langer accompagnaMinster dans plusieurs restaurants et l'accusé lui montra une lettre fermée adressée' à K Adolphe Ait, Paris, poste restante -f. Puis .Minstèr pria Langer de lui donner sa parole d'honneur de garder le silence sur ce qu'il'allaitlui demander, ce, à quoi Langer s'engagea. Minstèr le ques-

s'egaye et rit. L'huissier, après avoir taillé .1 les derniers~crayons, se retire un chef de bureau, en habit correct, s'assied au fauteuil du milieu; deux secrétaires sont a côté de lui, et, petit a petit, les entrants viennent leur serrer la main, taper sur J'épaule de ceux qui sont arrivés. Peu à peu le ton de la conversation monte. On apporte de la bière, dës~cigares, on cause, on rit, en attendant la première dépêche sérieuse qui ne fait généralement son entrée que sur le coup du troisième cigare.

Le chef du bureau lit à haute voix les. chiffres qui sont de suite transcrits par .les plumes en mouvement tout autour de la table. Puis, cette dépêche lue, on se recroise 1 les jambes, on reprend le cigare et on redésuste la bière du gouvernement.

Mais c'est vers une heure qu'il faut voir le tableau. La salle est pleine. La fumée bleuit toutes les ugures, et si vous entrez dans ce tabernacle d'où sortent les élus et les blackboulés, vous n'aurez pas une chaise pour vous asseoir. Enfin, à deux heures du matin, on lève la séance. Beaucoup sont partis à une heure un quart. Les solides restent jusqu'à la nn.

L'es élections des départements voisins sont assez rapidement transmises, mais les nouvelles de CIermont-Ferrand, de Gapou de Pontivy sont plus longues à arriver. Alors on peste contre les dépêches qui n'arrivent pas, contrelesgendarmesqui ne vont pas assez vite de commune en commune, contre les Auvergnats qui n'ont pas de piétons assez rapides, contre les Dauphinois, contre les Bretons incorrigibles qui n'osent traverser les bruyères de peur des Korrigans. On exécute des variations sur le Pardon de P~oërme!; la question des chanteuses est mise sur le tapis et le chef de bureau, laissant de côté la rigidité ofncielle, rit le premier de bon cœur..

Les conférences continuent à sévir à la Bodinière. Les hommes ne sufnsant pas, .voici les femmes qui s'en mêlent. Mme Marie-Anne de Bovet s'exerce avec succès dans l'art cher à Vanor et à Lefèvre enSn voici Louise Michel qui quitte la Maison du peuple ou ~e~ salles enfumées des réunions populaires pour venir parler devant le public élégant de la'Bodinière.

C'estuunenlesujet&nnonce parla. Vierge rouge Les ëpbques hët'o~ques et !es Cordes de :a !~)'e à traders ies tége~des.

Sur la foi de ce titre gigantesque, j'arrive rue Saint-Lazare et je vois sur la petite scène la silhouette émaciée de l'éternelle révolutionnaire. Elle est vêtue de noir, robe élimée, cha. peau fatigué, et ressemble à quelque femme délaissée et malheureuse d'ouvrier fréquen-

teur d'assommoirs.. pebout,'les' maias ap.

tionna d'abord sur les affaires de mobilisation et-lui .fit entrevoir des "honoraires de 300 a 400 francs par mois s~il lui procurait des documents relatifs à la mobilisation'; ces documents, ajoutât-il, étaient dcstinos-a l'agence de -plusieurs journaux ,de, Pans.~et non au gouvernement français.

-Langer accepta en apparence les offres de Minster, mais il en informa .aussitôt ses supérieurs. Lë'Iendemain, au café do la Lune, Minster promit à Langer une somme de 2,000 marks s'illui livrait les plans de mobilisation. Langer devait les lui remettre le 5 février et se rendre avec Minster à Luxembourg les .documents seraient photographiés, de sorte que Langer aurait pu les rapporter a Metz. 'A Luxembourg, deux messieurs, devaient en outre donner à Langer des instructions pour les autres documents à fournir. Pendant &et entretien, M. Bauer, commissaire de police au criminel, était en observation devant le ~café, et lorsque Minster voulut partir, il fut arrêté. On trouva en sa,, possession une.lettre ~d'Alta.yant trait à. des «. échantillons B et qui annonçait son'arrivéé ~Luxembourg pour le cas'où il s'agirait d'une-arfàire importante. En même temps, cette lettre enjoignait à Minster de ne pas entrer en rapport avec le commissaire de frontière à'Pagny.

Le 24 janvier, MMistër adressa de Luxembourg une lettre au ministère de la guerre à Berlin, dans laquelle .il~ disait qu'il avait ia .faire des communications très importantes aur d&s questions concernant la défense de l'Allemagne et sur une àS'airé'd'espionnage ii demandait: qu'on le mît en rapport avec un agent 'a Luxembourg. La lettre était signée: «Forch*. L'accusé a déclaré, au cours de l'instruction,'qu'il avait eu l'intention de n'utiliser les renseignements que lui aurait fournis Langer qu'au cas où le ministère, de la-guerre n'auraitpas accepté ses offres. Il aurait, au préalable, falsinéleshoraires avant de'les envoyer aAlt.'

.Dans plusieurs.lettres adressées a M.~ 'Ba~er, commissaire, et'dans des entretiens avec l'agent Beet.Minstora. déclaré qu'il connaissait des personnes de Strasbourg, Bâle et Zurich, se trouvant en relations avec Ait, qu'il pourrait même dévoiler, s'il le voulait, tout l'e système d'espionnage tel qu'il existé en'France, mais~qu'il:ne trahirait aucune de 'ces personnes, quoi qu~pût ~lui arriver.

F'atTS'D.iyERS'

Cette nuit/vers onze heures et demie, une violente explosion s'est produite avenue d'Or'léans, c;n facedu 109, éveillant on sursaut les locataires des maisons voisines, qui accoururent à leurs fenêtres pour se rendre compte des causes de cette explosion. Ils aperçurent alors, à travers une. épaisse fumée, au milieu de l'avenÙR, une voiture de vidanges, a. moitié éyentreo et, à Quelques pas, le'conducteur de la voiture qui~ très ef.'fravë, s'enfuyait a toutes jambes. Voici ce qui's'était passé.

Le conducteur de la.voiture de vidange, Louis 0: remontait lentement l'avenue d'Orléans-, lorsque la roue de son véhicule écrasa un engin explosif qui avait été placé au milieu de l'aveùue. L'explosion fut si violente que des agents accoururent et, voyant le conducteur de la voiture s'enfuir, se mirent à sa poursuite, persuadés qu'ils se trouvaient en présence d.'un anarchiste qui venait de déposer une bombe.

En sentant les'mains des agents se poser sur~ ses épaules, le charretier, déjà affolé, fut'pris d'une véritable terreur et faillit s'évanouir.

Mais la vue de l'uniforme dès agents calma son émotion et, à demi rassuré cette fois, il se. rendit avec eux auprès de'sa voiture. Ils trouvèrent alors à terre les débris de l'engin qu'ils recueillirent soigneusement et transportèrent ensuite chez M. Baissac,commissaire de police du quartier.

Ce magistrat, informé de cette mystérieuse explosion, a. aussitôt ouvert une enquête qui, à ~l'heure actuelle, n'a donné-aucun résultat.

Une eon cierge de la rue de Turenne, Mme S. qui, ce matin, avait eu une scène assez violente avec son mari, avait quitté précipitamment son domicile avec l'intention d'en finir avec la vie,

En effet, arrivée a.u pont de l'Estaoade, elle enjamba le parapet pour. se précipiter dans l'eau. Mais sa robe ayant rencontré un clou fixé au pont s'y accrocha et la maintint suspendue dans le vide.

A ses cris, des agents accoururent et pu-

puyees sur la table, en un geste gauche, la terrible démolisseuse parle de sa voix blanche si calme et toussotte de temps en temps d'une toux de phtisique: Un sourire a la fois amer, désabuse. mais bon, illumine cette face tannée, terreuse, d'illuminée.

Elle s'exprime bien et peu a peu la simplicité d''attitudo et de parole de cette petite femme vous séduit, on la comprend beaucoup mieux qu'un orateur aux éclats de voix tonitruants et on s'explique qu'elle soit religieusement écoutée dans les réunions populaires.

Par exemple, si elle nous a dit un mot des époques héroïques ou des cordes de la lyre, je veux bien être pendu. Par contre, elle nous parle de Londres, de la vie anglaise, se

lançant en une grande apologie de cette cité hospitalière où, dit-elle, on ne s'inquiëtepas si l'étranger est un homme, une femme, un proscrit qui travaille et essaie de vivre. Quëlquesrenseignementsintéressantsnous sont donnes snr cette société internationale de Londres, ces Belges anarchistes, ces Arméniens échappés àux massacrés, ces Fran.çaisfabricateurs de bombes; tout. ceia, pa.. ralt-i~ ~it6!i paix, peureux eofdes~ortea de

rent la retirer saine o.t-sauve de sa fâcheasw~ position. A ce moment, le mari de Mme S. qui était ~rycBu'.â.~ratroii.~r aa~traEa.aTri-~ vaitau p.bn't'de~'t'Ëe~cade~et, reconn~~ant! sa femme, courut, a,elle. La; réconciliation se fit alors et les deux ép'oUx purent rentrer' chez eux sous les yeux ahur.is dos nombreux curieux qui s'étaient amasses'sur le pont. Le corps d'un enfant nouveau-né, qui avait~ été dépose sur une des tombes du cimetière duPèrë-Lachaise, a été trouvé ce matin, a huit heures, par un des gardions du cime' tière. M. Tirache,'commissaire, de police duJ quartier, informé de cette'dëcouverte, a fai~ transporter le'cbrps de l'enfant à la Morgue et a ouvert une enquête.

Souvent après Ics repas, ls digestion.~

Souvent après les repas, !& digestion est pénible et accompagnée de somnolence pour triompher de ces malaises, prenez quatre ou c.inq gouttes d'alcool da menthe de .Riches dans un verre d'eau'. D'ungoût;exquis,le SRSa~ès favorise la digestion, dissipe les migraines, stimule .tout l'organisme.

Les Sirius

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JLa eatastrop&e de Ffaïner~es

Bruxelles, 26 mai. Voici de nouveaux~ détails sur la catastrophe de Frameries, quH s'est produite au' puits 12 de la .Sociétés des Charbonnages belges.. Quatre ouvriers seulement, ont pu êirere- montés, dont un était sain et sauf. Les deux~ autres sont brûlés grièvement.

On n'est parvenu jusqu'aux victimes qu'a-. près beaucoup de difncultës.Treize cadavres.' restent ensevelis dans le charbonnage. Parmi les victimes du sinistre;, se trouvé. ?. Maroiile, frère -du député socialiste de, Mons. Celui-ci, qui se trouvait à Bruxelles,~ i a été aussitôt mandé par télégramme et est'' arrivé à Frameries dans la soirée. Rappelons' ai ce propos que son coUègue de Charleroi, M~Gavrot, 'a été plus éprouvé encore dana' un.e.circ.onsta.nce semblable. Le député so'cialiste de Charleroi:a per.du.-en ëSet, um~ frèreetun ûls dans .un :coup de grisou au ~charbonnage de l'Agrappo.

T 'T'

~=~ B~?%M~A~i

Ce soir:

ATOpëra. Relâche. A ]a Comëdie-'FransMse.–CëHmaM te Bttn-j4tm< Le Vttta~e..

ArOpera-Comique:–Afanon.

ArOdëon. –La Granti'Msrc; Ceitegu'tt /'aM< <n< ?7!ej'~Mon~En/'ti7~ Au Théâtre-Antoine. Représentation du Cerc)e des EschoUers, La Con/Menfe, pièce, en trois actes, de M. Ànare Picard.

A t'Opera-Comiqne 1~ première représentation de ta Bohême, de Puceini, est fixée autundi 6 juin. 'La répétition générale aura Heu le samedi 4,apre0 midi..

On ferme

Le théâtre des Bouffes-Parisiens fera sa e!ôtuf6 annueUemardiprochaia 31 mai.

L'Athecee-Comique donnera'également, ce jour-!à, sa dernière représentation de t'Amot;r tnoui!M, La rëouverture de ces de<ix théâtres aura lieu Tert te 15 septembre avec des pièces nouve))es.

~Le Gymnase fermera ses portes à la fin du mois pour rouvrir !e 20 septembre avec la '70° de l'A!nëe, de M. Jules Lemaitre, dont 'le succès ne s'est pas démenti.

Au théâtre du Pa!ais-Roya!,ce soir-jeudi et de-; main vendredi, deux dernières représentations de la jolie pièce de M. Pierre Wolff.fe Bouiet:

Après-demain samedi et à l'occasion des fêtes de ]a Pentecôte, on reprendra !aCu!otfe, de MM. Sytvana et Artus, arrêtée à la 75° représentation, en plein succès. La pièce sera interprétée par tous les artistësde la création.

Au théâtre de la République, la répétition générale du J!oi de Jtome est remise à demain vendredi, une heure et demie, et la première de-cette pièce est reculée à samedi.

M. Albert Soubies vient de publier, chez FIammarion, dans sa charmante et si utile collection de l'A!manach des Sj~ectaeies, un nouveau volume (le xxvi°. année 1897); orne. comme les précédents, d'un~ jolie eau-forte de M. Lalauze.

Entre autres documents inédits, nous y relevons une curieuse nomenctature des pièces qui, l'an dernier, ont réalisé, dans les théâtres de Paris, les reeties les.plus élevées. Ce soir, aux Folies-Bergère, rentrée de laCav~ lieri, qu'une légère indisposition a tenue éloignée de la scène pendant quelques jours.

GASTON SENKER.

phalanstères, prouvant par eux-mêmes la vérité des théories internationalistes. Louise Michel conclut par une phrase belle et vraie Chaque fois, dit-elle, qu'on n'est pas rejeté d'une sociétë.on n'y fait jamais rien de mal.

Puis c'est le traditionnel appel des femmes à la pais, l'étalage du ridicule des manies guerroyantes, pour en revenir bien vite à und nouvelle apologie des habitudes londonien'nes.

Tout cela, vous le voyez, est assez incohérent, débité sans ordre, sans valeur, avec une monotonie qui finit par ne pas être 'désagréable et. au milieu de laquelle ressortent quelques observations justes, quelques sentiments vrais.

Puis, c'est le Qux des paroles vides, des phrases toutes faites, toujours les mêmes, sur l'humanité future, la société du bonheuf universel et autres balançoires classiques qu'il était amusant d'entendre applaudir par des mains gantées. Marie Magnier, Félicia MaIIet etaient enchantées de la Vierge rouge .et me disaient en sortant a Cette petite vieille au débit monotone, sans voix, avec sa robe noire et ses gestes maladroits, est .une grande comédienne, a Et ces deuxartistes, qui s'y connaissent certes, avaient bienraison. Ke terminons pas sans signaler l'ouver* ture d'une Bodiniëre en plein boulevard. Le~ Capucuies sont un adorable petit théâtre aussi joli que bien placé; il est dirigé paf deux confrères dont les noms seuls sontuna garantie pour son avenir.

MM. Franck et Max Maurey nous réservent de jolis après-midi pour la saison prochaine le premier spectacle qu'ils nous ont donné cette semaine en est déjà une preuve.

Les Fonds hoHanda~s, de .Tristan Bernard, sont une comédie d'un 'comique pinee-sansrire invraisemblable; la revue de Franck est charmante, et endn un poète innovateur, Xavier Roux, nous débitait une chronique rimée, qui commençait par ce& vers Je ne veux pas du..tout vous faire.une chronique, NirepetcrtemotdeRodmàHennique

Sur les chroniqueurs. Non,

Nous en avons d'untel'renom

Qu'il faudrait revenir de TuUe

Ou du pays des Achàntis

Pour vouloir surpasser Catulle,

EtFouquier, et iuiit quant;,

Aussi bien Bergerat lui-même nous l'accorde. La chronique est un genre usé jusqu'à ia corde;

Et c'est pourquoi Xavier Roux Im-mêmo en a fait une en vers charmants et pourquoi. je vien~ d'en terminer une autre en pross très ordinaire..

JULES.CHANCEL.

~'YJ~~a~otts'deL.Lacatt~


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y \1 y ',f ]

i' FËMINITËS

¡FEMINITES 1

En gênerai le mois de mai a bonne ré- 1, '.putation, on désira on attend avec impa- 'ttience qu'il nous ramené les prés Seuris, jla campagne verdoyante, qu'il mette nos ` )boule?ardsetn.os avenues en fête, faisant jèclorelaneuraison des marronniers; acti- ~ant la pousse de tous ces beaux arbres ;qui font de certains coins de notre capi!tale des oasis charmantes l'on aime à 'se reposer.

Cette année le beau mois de mai a 'trempé, toutes les espérances et particu- i :lièrement celles des cyclistes,qui ne peu- !vent s'adonner à leur sport favori. Espé- roas pourtant que cette série de mauvais. ~ours prendra bientôt fin et que toutes, ;Mesdames, vous.pourrez bientôt pédaler. Un court énuméré va renseigner nos aspirantes cyclistes et conseiller les in- ,dccises.

Tout d'abord, porter une veste longue ,et collante ou,pourmieux dire, un jersey ~de laine qui collera bien sur la peau, I ~adopter un corset à lanières, buse très isouple, avec pactes ou ceinture très haute iet doublée de Sanelle. Le maillot de laine i~aDtaisie pour l'hiver, la _blouse de toile 'ou de soie légère pour l'été enfin, au gré '~e chacune, la jupe-culotte, la .jupe, ou I

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,0. terme. ~t40 Compton~ahonaldEscompte. ~3M~7& "_s' 165 .Orleaas,Mtiotisde500~185S.iS.O.. G~dsMouImsdeCorb6il,act.de500f. Ma.. ~0~891 95 7i

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'Obl. 1865 4 7,reinb~ à 500 f- t. p. r36l 5G2 communales 1880 3 502 500 25 e ,'obllg, JI 8$. 469 721 t oblig. 3 5.171. remb. a 500 f. l173 Do Soc. agricole d'exploitat. J. Jaluzotet ë. Dbpg. de Priorit~ 1 39. 4~7 50

a=s.j~ S. :,0 E.E~~ l¡,:0.. FO,2~ Est-Algenen, blig. 3 0/~ ~468 50; 468~ào Ouest-,M-érien, art. -dG 5m GNf.. 6(5 680 .n~

-:z 1811 .3 100, f.- t. P. 11151 lit ~17 50 'fancièresIU53 5-àioof~ ~iol 104 Est actions de. 500 f IC-75 iù73 59 i3az (Cie ~al-jsiennq) ,dG 500 (. 2~0-f. iioo ito3 VALEURS ~ET FOÉDS ÉTRANGERS, R.» des Pa~,s-Autrichiens.. 48~ 48Î

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CI 1886 3 ~<> l¡,00 f. t. p. SS9 -3~l Bons,de too avec ioti3.r 1?~0.. Privilégiées 3 1/2 500, fr. 1,1 'Loinbards(Sud-Autrichieiis), act.500i.. 39. 38..

:> ,1. ry ll.'7u p' 102 1'&S algér. -ay lots ~54 io b7 75 oblig. 3 V5 7~ -76 D3-nanilte (S ociét é de f, ¡55.. F, s Il gne 4 extér. nég. ch. fixe de 1 f. 41-50 'l¡,1 50' idionaux.,rcie ital. des Ch~), act. ffl f.

Dis' T. l¡,OO f. P 110, 75 10,. r,~ïo\)Of. '22 -obli~ 3 fusionn. L74 à~~ 4,-1 50 'Le PrJ.ntemps (Jul~s 'J¡Jluz.o,t,et terme t. 07.5 -Ro ~zrois-à or ni ,ex.c '.pa,ye ,30 '8. n.O.f. 92" 1> 92 Satago.se (Madrid), de :~t» f r. £09 50, lit

~S=' ~S~S~ SS~ S~ S~ SS. 50 Au nnam:ct. Tonkin 1896'~2.1/2 ~90 u go 75 ~Y!l~g< >i;"i>OO f.. ~29 -3 ih~ etam, gar -'1,78- bl' '78 Aciéries de fo$ ;1017." "I,G,Æ 50i 60. 00

~E y ""t,T~~ f~ p

9~.

~VfîN~TP ~T~n'THS~

M M~~M~

Mon 'intention "n'est, point de prouver' .que la bicyclette, en dehors~ ..de son rôle .récréatif, présente un; coté pratique et utilitaire. Oes démonstrations, utiles il y a quelques années,'seraient aujourd'hui: puériles..

Je veux simplement prouver qu'on n'a pas encore fait~cndTe au cyclisme 'tout ce qu'il peut do?~er.. On ne .tire jamais d'une idée réellement/parfaite tous. -les bénéfices qu'elle contient. Vous avez -dû vous, en~apercevoir plus d'une fois. 1- Nous avions la bicyclette militaire, la: 'bicyclette ouvrière, la bicyclette sociale, -la bicyclette politique, la bicyclette postale, nous avions même du moins onTa .a.f'nrmé– la bicyclette .machine à coudre. Nous allons avoir, grâce aux efforts de deuxindustriels distingués, MM. Besse -et Hammond, la bic~c-Iette-h'ac~cur. .Pourquoi) se sont dit ces honorables; constructeurs, ne. pas demander àla bicy- dette de jouer sa petite voitur.ette de .h-: ~vraison? Pourquoi .ne pas attacher au pe- tit cheval d'acier un v.éhiculet susceptible d~ permettre aux cyclistes de trans-, porter-commbdément 'de légers colis? 2 Pourquoi laisser ce monopole aux seuls. motocycIesëtTie pas utiliser le moteur: ~umat~ le plus régulier et le plus per- Tectionn~détousies moteurs–à l'égal'. des moteurs à pétrole?

.'De cette série de raisonnements est né le co~cou-TB de Mc~eMes-t)'acfeMrs qui j -va se dérouler dans le courant du mois prochain (12 juin).

t)ji se rendra .compte combien cette idée de la bicyclette utilitairB répond aux desiderata de la masse parle nombre des rengagements. Près de cinquante constructeurs de voiturettes ont compris qu'il y avait pour ~eux, dans cet .ordres d'idées, une vole large et fréquentée, par laquelle' ils poun-aient écouler facilement leurs produits. De tous les coins de la France, ces modestes travailleurs vont venir à Paris Taire valoir .le résultat de leurs veilles et de leureeJIor.ts. On remarquera que deux jours avant le concours de bicycletfes-tra.cteurs ils au- iront une autre occasion .de se faire ap~ ..precier par le grand public parisien,' qui. .consacre.tout ce qu'il admire. La. parader fleurie de l'Echo de Pa-rts n'a.-t-elle pas~ lieuenenetle lOjuin, et ne comportet-elle pas un de'SIé-de .cycles, motocycles .et~uo~m~eMes? "Je suis bien persuadé que MM. Besse et Hammond sont. trop malins pour laisser échapper cette -occasion de ~préparer I.e succès de curiosité de leur épreuv.e et qu'ils s'arrangeront pour envoyer à LongChamp, pimpants. et décorés,. les tracteurs qui devront se livrer deux jours après à une.besogne moins aimable peutêtre, mais à coup sûr utile, intéressante et fertile en enseignements.

PIERRE .LAFIT.TE.

M~B LE8 ~~LOD~O~~a

Au Pafc t!es iF'6'Emees

Nous ne .croyons pas que le Grand-Prix de Paris de: cette année puisse réunir un lot de coureurs comparable à celui qui prendra part dimanche et lundi prochains au GrandPrix de l'U. V. F..Tous ~les pays deJ'Em'ope y seront représentes, et par leurs meilleurs

champions..

La France met en ligne Morin, Jacquelin, Descha.mps; quant à Bourrillon, il paraitrait que son engagement .ferme n'aurait pas été remis dans les délais exiges; mais npus.ne doutons pas que pour le champion du monde de 1897 il n'y ait dés~accommodements avec le. directeur du \'clpdrojne du Parc des Princes.

la culotte. Tous ces genres sont discutables, présentent des avantages et des inconvénients différents, les~trois sont à e la mode, ce qui importe seul, c'est là le pbin't essentiel. Par-dessus la. 'chemisette se met aussi la jaquette ou le boléro. Les bas noirs sont les plus: comme il faut quelques personnes lûs~preférent -écossais ou rayés en traverse-mais cela est bien voyant et fait .paraître la jambe forte. Se portent indiSéremment la bottine jaune allant jusqu'à mi-jambe, ou le soulier noir ou jaune à barrettes. -Le chapeau preiéré est toujours le canotier, autour duquel s'enroule la voilette en tulleblanc ou crème, qui est indispensable contre les coups de soleil et la poussière. La petite jaquette sac, en 'piqué blanc, a bien son charme et surtout son utilité pendantles grandes chaleurs deréte;'celles qui ne craignent pas d'être remarquées adoptent aussi la jupe ou la culotte en piqué blanc, ce qui est passablement ex– centrique et surtout d'un entretien très difficile.

Comme gants, c'est toujours le suède qui est le plus porté, le gant de daim perfore est ires pratique, les gants de fil, de coton ou de soie sont rejetés comme trop minces. La Sève sourcilière de la parfumerie Ninon, 31, rue du'Quatre-Septembre,: fait allonger et épaissir les cils et les~ sourcils, donne aux yeux une expression. vive et. accentuée, rend la prunelle étin-' celante; 5'fr. et5fr. 50 franco, parfumerie. Ninon, 31, rue du.Quatre-Septembre. LYSNOIR.

Fleurette. Prenez de l'ElixîrdentiIrice' des Bénédictins du Mont-Majella., il blanchit les dents, fortifie l'émail, pu.fiSe l'haleine. Prix fr., et 3 fr. 50 franco, chez M.Senet, administrateur, 35,- me du Quatre-Sëptembre. L.

o/t. précé D cri2. era. Précé. Dora.

L'Angleterre 'est représentée' par Parlby, qui'se trouve dans une forme admirable la Belgique nous a ~envoyé sou champion favori Protm, qui lui aussi était champion du monde en 1896;' la'-Hdnand&est repré'sentse par Pessoa, le recordman des 500 mètres, la 'a .Suisse par'Dufaux, qui lui aussi vient de ~s'adjuger ce beau.reeord :enËn, .l'Italie nous a.:envoyëles champions Sing-rossi, Momo, et les" fameux tandemistes Pasini et .Tommaselli. La course des étrangers rcunii-a dans une -se~le..série tous-ces coureurs et bien malin celui qui pourrait pronostiquer le

vainqueur.

Et la course de tandems qui se.disputer-t dimanche! H-est impossi.ble de trouver un lotcomparable aeelui des équipes engagées ~dans cette épreuve. Nous. avons publie hier les principales.Enfin Desgrange est assuré ~de_ fairje.le maximum dimanche et lundi prochains. car de longtemps nous n'avons vu un parBlHot de coureurs..

THÉO LËCLERÇQ.

BOURRILLON NE PART PAS B6urrillonneprendrapaspartdima.nche.et: .lundi prochains au meeting de .la Pentecôte au Vélodrome du Parc des Princes. Nous.le; .regrettons -vivement ~pour les sportsmen; ~t. pour Bourrillon, mais nous ne saurions trop ~approuv&r.Dësgrange de ne pas! .avoir cédé aux prétentions exorbitantes du Mapmandais, -.qui n'exigeait pas' moins de~ 2,000 francs .du. directeur du Parc des Prin-i ces pour lui :faire l'honneur de .se mettre en: piste.

€:ASSE~cb'U'! J

i.

En établissant jadis des records sans en- traineurs–restés d'ailleurs imbattus–M.! Desgrange'a, fait ses preuves comme sports-~ man.Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant à.ce: .qu'il cherche,, le plus souvent possible, a concilier les intérêts du sport et'.ceux de son vélodrome. C'est ainsi qu'à la suite d'un échange de vues entre 1& directeur'du Paroj des Princes et votre serviteur, le premier~ décida d'essayer.le système des courses a a champs a nombreux. Je me Jéjouirais beaucoup de cette mesurer si je ne craignais qu'elle ne fut un peu trop radicale.Elle l'est, en eSet.s'il est vrai que toutes les coursés, a part le Grand Prix de l'U.. V.-F., se feront d'une seule série, quel' que soit le nombre despa.rtants. Or, je crois qu'il,y aurait quelque,danger' a.ne pas créer de sériés.p.our les courses de: tandems, et de bicyclettes quand la première~ comportera, :par exemple, plus de six.parian'ts etia seconde plus;de dix.ou douze. En somme, voici comment, j'agirais daus~ les dUTérents cas qui peuvent se présenter (les' championnats, ~grands prix et critériums seraient naturellement exceptés et conti– nueraient à. se disputer par.séries,.demi-nna- les et Ënales de trois ou.quatre coureurs au! plus) .Handicap '(bicyclettes). 20 partants: une; seule épreuve; de 20 à 40-partants 2 séries etune nnale comprenant les 10 premiers de~ chaque série; de-40 à.GO partants 3 séries;, les G premiers de chaque série dans 'la n- nale;60à8():partants: 4 séries; les 5 pre- miers de chaque série dans la nnale, etc.: Course scratch (bicyclettes). Même: façon de procéder que pour les handicaps, mais division par séries de'10 partants maximum, la finale devant comprendre'un maxi-! muni d~ëgalemenHO partants.

.Course de tandems, par séries de six partants, nnales ad hoc. Course de triplettes, quadrupleitep, etc. ~l Séries de quatre partants, finales ad hoc. Naturellement ces conditions sont spécia- les au-Parc-dés .Princes. Elles devront être modifiées pour les autres pistes, selon leurs dimensions et leur sécurité.

Tout eh.présentant un spectacle plus animé qu'avec la façon de procéder actuelle, lescourses n'oNriraiejit pas plus de dangers pour

LE.CASAO~AN IZ HOUTM On ne saurait trop insister sur la distinction nette :et claire qui existe entre les substances exc~ta~tes, comme le thé,lecafe,etc., qui sont de simples stimulants, et les substances TUttritwes,' comme le Cacao van Houten,.qui constitue à lui ~seul un aliment complet.. il Le Cacao van Houten est le meilleur des chocolats liouides; il unit dans une parfaite mesure ia quantité de substances grasses et azotées réclamée par l'organisme pour en assurer la complète assimilation et réparer le~ forces sans fatiguer l'estomac..On ne-s'en lasse jamais..

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~~]~, or,

les concurrents. C'est -le. desideratum que; doit poursuivre un directeur ile vélodrome. C'est pourquoi nous crierions Casse-cou a, à, M. Desgrange dans le cas .où il aurait décidé. d'aller d'un extrême à'l'aut.re.

Ilfaut un nombre suffisant de.parta.nts dans les courses vélocipéuiques;.mais pas trop n'en faut

G. DE LA.FRETË.

~n .~i~i~ ~~1 ~'l~i~

N. ???? ? m!)~~

C'est le l°'in que commencera à Paris le .concours de nacres automobiles organisëpar l'Aùtomobile-Olub de France. C'est là un événement d'autant plus important qu'il s'agit de savoir si oui ou non'il est.pratique et avantageux de mettre en service régulier ces véhicules. Lacommission spéciale char-. gée d'étudier cette question aura .a. sa. tête 'M. Forestier,Tominent inspecteur des ponts et chaussées. L'épreuve portera 1

Sur le prix de revient de la. journée d'un ~cre automobile en service usuel dans Paris, accomplissant un parcours varié de- GO kilo–-mètres au minimum dans une durée deseize! 'Iieures.

'Pour faciliter l'exécution de l'épreuve, les M kilomètres seront accomplis d'une seule -traite, suivant la feuille do route. A la con- sommation faite pendant ce trajet, on ajoutera la consommation faite au dépôt pendant la durée complémentaire de: la journée. Sur le confort et la maniabilité de lavoir ture. Sur la fréquence du ravitaillement, l'im- portance eUa facilité des réparations.' Voici maintenant quels sont les véhicules .muuis d'un moteur qui-seront admis à pren- dre part au concours

I.–a) Les .voitures à deux places fer'mées. b) Les voitures à deuxplàces-dëcouvertes, avec capote.

c) Les voitures mixtes à deux places ~pou-~yànt se fermer ou se découvrir instantané-~

.ment. t.

II. a) Les voitures à quatre places fer- ,I mées, avec galeries .pour bagages (30 kilos par voyageur). b) Les voitures à quatre places 'découvertes,'avec capote.

III.–Les voitures à six places fermées, avec galerie pour baga.ges'(30 kilospar voyageur).

Chaque voiture ser.a, pendant tout le temps du service, accompagnée d'un commissaire choisi par la commission. L'épreuve du concours durera douze jours consécutifs et comprendra douze itinéraires différents. En6n, la vitesse dans Paris ne devra pa.s dépasser 20 kilomètres à l'heure. G. B.

NOUVEL.L.ES .DU JOUR .'MB.:S~eS <:Se:c~a.M.ïE'eMF§. Une rencontre à l'épee. a. eu .lieu avant-hier, à Pu-'.teaus, dans la propriété du comte de. Dion, entre M. Liluillier, 81s du notaire parisien, ~également connu dans le monde de l'automobilisme sous le nom de Gilles.Hourgières, ;etM.'de'IjaVillcLeRoux.: Les .'témoins de M. Lhuillior étaient MM. Je comte de Borda et le comte de.Dion ceux. de M. de La Ville Le Roux, MM. de Fitz. James et Metmann. Le duel a été très acharné et a nécessité .six reprises. À la dernière, M. de La Ville Le Roux a été .atteint à la main d'une bles.sure pénétrante qui a mis les témoins dans l'obligation d'.an'êter le combat.

TcM&iivc ~'esB~ae.– Le record ParisRouen, que Stein devait tenter 'ce matin, à huit heures, est remis, en raison du mauvais état de la route dévastée par les pluies diluviennes de ces jours derniers, à jeudi prochain, sept heures-dû matin.

E5!?:eyj'e pho~ogsraip~e. Le gagnant .de Bordeaux-Paris passe le temps. que lui laisse libre la vélocipédie à faire de la photographie, art où il est passé maître. Ainsi, ce ma.tin, il a pris plusieurs clichés, entre autres de Ducom et de quelques amis qui sont venus lui rendre visite dans son charmant pavillon d'Asnières.

COMPAGNIE PARJSIENKE t

T~Dn ~PÂf~~fHAT!?

li ËbLAlhMËDELR~~rM~ LE.~& Le Conseil d'administration a l'honneur, d'informer MM. les Obligataires que les intérêts du 1" semestre 18S8, soit 10 fr. par obligation entièrement libérée, et S fr. 50 par obligation provisoire libérée, seront payes, à partir du. 1" juillet prochain, tous les jours non Séries, de.dix heures a deux heures, au siège de la Compagnie, rue Gondorcet, n"6.

'La somme nette a recevoir, déduction faite des im- pots établis par -les lois de finance, est fixée ainsi qu'il suit :1

Obligations définitives nominatives. 9ir.60 2'~Obliga.tions définitives auporteur.. 9 9fr.085 3°ObHgationsprovisoiresnomiriatives. 8 fr. 16 4° Obligations provisoires au porteur. 7fr.'727 Les porteurs de 20 obligations, au moins, pourront déposer leurs titres, des le 1"' juin, en échange d'un mandat de paiement à l'échéance du 1" juillet 'prochain. Les coupons ci-dessus désignes pourront être payes, à dater du 1"' juin 189S, sous déduction de l'es- compte calcule a.u taux de la Banque de France (sauf pour'les titres grevés d'usufruit, ou inscrits aux noms d'incapables).; mais les titres auxquels appartenaient les coucous ainsi escomptés ne pourront plus être présentés au transfert ou à la conversion avant le '1" juillet suivant.

L'échange des obligations provisoires contre des obligations dennitives aura'lieu à dater du 1"' juillet 1898.

Les titres deunitifs porteront les mêmes numéros que les litres provisoires.

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(à l'insu de !'usufruitier si l'on désire), tJsu.frtHtë, Tïtres !lOEHQat.!fS (en conservantses titres), etc. Ecrire ou s'adressera H. Forgeois, au bureau du journal, i2, rue du. Croissant, 'de 3 à.6 heures.

BteiBtatttte f~c-Sn'e~e~s été cf:a.MCE'ct:E' La Préfecture de police demande en ce. moment aux motocyclistes leur brevet de chau0'eur/. Ainsi hier un agent n coDduit'a.u posta'M. Singer.qui était à motbcycle et qui c'a pu présenter immédiatement le 'fameuxbrevet.

PETITES NOUVELLES

Nous'avons raconté hier les difficultés survenues entre une p&rtie du team français et les organisateur;; des courses deBuffalo. Ces difficultés ont fortement' contrarie ces coureurs, et principalement Gôugoitz et. Lamberjack, déjà fort désireux deretourner dans leur pays, ainsi que je vous en avais avise. Ce désir s'est af~rmé plus irrésistible, et Gougottzet Lamberjack ont décide de s'embarquer le 4 juin prochain pour l'Europe.

Succès de l'Acafcne Mëi)'opo:e le, dimanche 22 niai,: au Parc des Princes: Course du G. V. A. Match du Brassard i" sur~lca~ene, M.-X. match, poursuite :'t°' M. X. surAcatene. Magasin de vente,_i6, avenuode ta GraBde-Armëe, et 16, rue duQuatre-Septembre..

La triplette américaine Dasey-Ftezer-Russe)! aëta'bli, hier, sur la piste.de Denver, le record ~dumitle' pour machine à trois places. v ·

L'équipe a couvert le mille en 1'46" 1/5. Quoique ne faisant plus courir, la marque Gtadia-, tor remporte victoires sur victoires dans les courses, avec .tes cyclistes professionnels ou amateurs, .qui; .montent une Gladiator.parce qu'ils la reconnaissent comme la meilleure machine du.monde. Les récentes victoires de Gladiator dans Paris-Dreux (amateurs) et~ 'le Cycle d'Or, a. Berlin, en sont une preuve. Jacquelin participera les'5 et 6 juin prochain am, courses qui seront organiseësmi Yelodjome de. Friednau, à BeiTiu.

Les moyeux Badte, les pédaliers TacHe, les direc~ons et les pédales Ead.:e,.en. un mot~ toutes les pisces détachées de cette célèbre marque anglaise, se~ trouvent exclusivement chez Comiot, unique représentant en France, 87, boulevard Gouvion-Saint-Cyr. Nous pouvons confirmer aujourd'hui que Bourrillon courra, le 25 juin, le Grand Prix de Hanovre. Rarement marque s'est-imposee aussi rapidement que la Kt/mr:'s. Le .modèle de luxe a 350 francs est enlevé aussitôt par tous les cyclistes qui vont l'admirer, 2, boulevard Emile-Augier; en face de la. gare de Passy. Laurent, le coéquipier d'Ouzou.victimed'.une chute terrible dans la course"Paris-Drcux, jest dans un état assez alarmant. Ses blessures se sont envenimées et l'on craint d'être forcé de.lui faire subir une .douloureuse opération. Nous faisons des vceux pour que ces craintes ne se réalisent pas,

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