La Chevalière de la Mort est ma première tentative littéraire. Elle fut écrite entièrement en 1811, dans un des bureaux de la Compagnie du chemin de fer du Nord dont j'étais, en ce temps lointain, l'un des plus exécrables employés.
Rien ne faisait prévoir encore que je deviendrais un jour attentif à désobliger mes contemporains. Caïn Marchenoir croupissait dans son innocence et ne savait pas son destin.