Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 25 à 25 sur 142

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : La stèle chrétienne de Si-ngan-fou. 1 / par le P. Henri Havret,... ; avec la collab. du P. Louis Cheikho,... [pour la IIIe partie]

Auteur : Havret, Henri (1848-1901). Auteur du texte

Éditeur : impr. de la Mission catholique (Chang-hai)

Date d'édition : 1895-1902

Contributeur : Luwīs Šayẖū (1859-1927). Auteur du commentaire

Sujet : Jing jing (07..-07.. ? ; prêtre du monastère du Ta-ts'in). Da qin jing jiao liu xing zhong guo bei

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30583055w

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 3 vol., pag. var. : pl. ; in-8

Format : Nombre total de vues : 142

Description : Collection : Variétés sinologiques ; 7, 12, 20

Description : Collection numérique : France-Chine

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Description : Avec mode texte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k54407919

Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-O2N-1266 (7)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 14/10/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85%.


LA STELE CHRETIENNE DE SI-NGAN-FOU.

redevable de cette importante addition; qu'il me permette de lui exprimer ici ma reconnaissance pour son gracieux concours.

La stèle chrétienne de Si-ngan-f'ou, qui a si merveilleusement survécu, depuis onze cents ans, à tant de bouleversements, est-elle destinée à périr misérablement dans le triste enclos où elle se dresse aujourd'hui? Àura-t-elle le sort plus glorieux des frises du Parthénon, enlevées par Lord Elgin au temple de Minerve, et reposera-t-elle sa vieillesse au milieu des splendeurs du British Muséum, comme on le proposait naguère (1)? Je l'ignore.

Cet ouvrage n'a pas été mis en Tente. !). De legali dominio jyracticce notiones 1 vol. 163 pag. 18S2.

10. Appendix ad proecedens opusculum 1vol. 44 pag. 1891.

11. Index noininum Sanctoriim quos Cheng-nienkoana-i

Cheng-nienkoana-i ^f- pj jfc continet 1vol. 47 pag. 1887.

12. De Calendario Sinico varioe notiones. Calendarii

Calendarii et Earopoei concordantia ah anno 1624 ad 2020. De Calendario Ecdesiastico 1vol. i 196 pag. 1885.

Les doux premières parties de ce dernier ouvrage, traduites en anglais par le P. Ch. de Bussy, ont paru la même année sons le titre A Notice of the Chinese Calendar, 101 pag. De plus le Journal of the China Branch of the 11, As. Soc. for tlie year 18S8 (Vol. XXIII, pag. 118/143) a donné sous le titre A practical Treatise on légal ownership, la traduction, due à M. H. B. Morse, de larges extraits de l'ouvrage De legali dominio.

(i) Le 8 Dec. 1885, dans une lettre envoyée au journal The Times (21 Jan.1886), M. Frédéric Balfour attirant l'attention de ses compatriotes sur cette très intéressante relique, écrivait ce qui suit : « Je doute qu'il se trouve dans toute la Chine une centaine de personnes en charge, qui sachent quelque chose concernant l'introduction de la «Religion illustre» comme l'inscription ar>pelait le Nestorianisme. Il suffirait probablement de demander la pierre pour l'avoir; et si, un beau jour, quelqu'un se rendait là avec une douzaine de solides coolies et l'emmenait sur un char, je me demande si quelqu'un prendrait la peine de lever un doigt pour l'en empêcher... La Tablette Nestorienne ne serait-elle pas logée plus dignement au Bristish Muséum, que laissée à pourrir, inconnue et abandonnée, dans une sale ville Chinoise? Le plus ancien monument chrétien découvert jusqu'ici en Asie (?), comme l'appelle l'auteur de l'ouvrage TheMiddle Kingdom, mérite un meilleur sort, dans les mains des antiquaires européens.» Peu de temps après (30 Janv. 1886), le Professeur Terrien de Lacouperie, dans une autre lettre reproduite par le même journal (4 Février), appuyait chaudement ce projet. «J'espère, disait-il en concluant, que l'éloquent appel de M. Frédéric H. Balfour ne restera pas sans être entendu, et que des démarches seront entreprises par l'Office des affaires étrangères, pour obtenir la pierre de Si-ngan-fou. C'est un monument très précieux, unique dans son genre, qui mériterait d'avoir sa place parmi les trésors du British Muséum.» Cette campagne fut bientôt soutenue par des missionnaires protestants résidant en Chine. A la date du 11 Juin, M. A. G. Parrott écrivait au célèbre Professeur «qu'il n'y aurait aucune difficulté i) obtenir cette pierre». Un autre, M. John W. Stevenson exprime le même désir, mais, moins assuré du succès d'une telle démarche, il demande qu'au moins on obtienne « du Gouvernement chinois d'élever une maison pour abriter le monument...» (Cf. Tlie Times 1 Sept., 1886). Nous rappellerons ailleurs à quoi ce beau zèle a enfin abouti jusqu'ici. ( Cf. Variétés Sinolog. N° o. Croix et Stcastika en Chine, par le P. L. Gaillard, S. J., pp. 11S/121).