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Rennes en 1485 ; Gilles, tué à la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier en 1488 ; plusieurs membres admis aux honneurs de la cour depuis 1762.
La branche aînée fondue vers 1360 dans Liniac, qui ont transmis la seigneurie de Quélen aux d'Avaugour.
La branche de la Villebou quais fondue dans Bonin.
La branche de la Vauguyon, établie en Quercy, substituée en 1670 aux nom et armes d'Estuer de Caussade, a produit un maréchal de camp en 1652, trois lieutenants-généraux et deux chevaliers des ordres du Roi de 1748 à 1816 et s'est éteinte en 1837.
QUÉLEN (DE) (ramage de Poher), baron dudit lieu en 1512 et sr de Locquenvel, par. de Duault, — de Kerellean , par. de Kermaria-Sular, — baron du Vieux-Châtel, par. de Plounévez-Porzay, — sr de Saint-Bihy, par. de Plélo, — de Tressignaux, par. de Plounez, — du Dresnay, par. de Plougras, — de la Pioche, — de l'Oursière, — de la Ville-Chevalier, par. de Plouagat, — du Plessix-Eon et de Kerjean, par. de Plufur,
— de Kerampont, — du Clos, — de Kerlabourat, — de Kerhoz, par. de Pleubihan,
— de la Saisonnais, — de Castelriec, — de la Crec'holen, par. de Ploufragan, — de la Villetual, — de la Villeglé, — de Kerlan , par. de Sibéril, — de Kerhervé, par. de Ploubezre, — de Kerouc'hant, par. d'Hanvec, — de Kerprigent, par. de Plounérin ,
— de Kerbridou et du Rest, par. de Plouézoc'h, — de Guernisac et du VieuxChâtel, par. de Taulé, — de Pontplancoët, par. de Plougaznou, — de Kermouster, par. de Langoat, —de Chateaufur, par. de Plounévez-Lochrist, — de Kermartin, par. du Minihy de Tréguier, — de la Vieille-Motte, par. de Tonquédec, — de SaintHugeon , par. de Brélévénez.
Anc. ext. chev., réf. 1669, neuf gén. ; réf. et montres de 1427 à 1543, par. de Duault et Plounévez-Porzay, év. de Cornouailles, Kermaria-Sular, Plougras et Plouézoc'h, év. de Tréguier, Plélo et Ploufragan, év. de Saint-Brieuc.
Burelé de dix pièces d'argent et de gueules (sceau 1372). Devise : E peb amzer, Quélen. (En tout temps, Quélen.)
Yves, épouse vers 1132, Jeanne du Perrier, dont: Olivier, marié à Jeanne de Penhoët, père et mère d'Eon, François, Christophe et Jean, croisés en 1248, dont les trois derniers tués à la bataille de la Massoure en 1250 ; Eon, marié à Catherine de Quintin, se croisa une seconde fois avec ses quatre fils Conan, Marc, Tristan et Y von, dont les trois derniers moururent à Tunis en 1270 ; Eon, chambellan du duc, fondateur des Augustins de Carhaix en 1372, épouse Aliette, baronne du VieuxChâtel, dont 1° Conan qui a continué la branche aînée, 2° Guillaume, auteur des branches de SaintBihy, éteinte, et de la Ville-Chevalier qui existe encore, 3° Jean, auteur de la branche du Dresnay.
Guillaume, capitaine et Rolland, connétable de Carhaix, ratifient le traité de Guérande en 1381; François, tué à la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier en 1488 ; une fille à Saint-Cyr en 1735 ; deux pages du Roi en 1745 et 1787, dont l'un maréchal de camp en 1781 ; un chef d'escadre en 1785 ; un abbé de la Rivour, au diocèse de Troyes, évêque de Bethléem en 1755 ; une abbesse de Kerlot en 1759, + 1787 ; un archevêque de Paris en 1821, pair de France, membre de l'Académie Française, + 1839.
Un membre admis aux honneurs de la cour en 1770.
La branche aînée fondue vers 1585 dans Lannion, d'où la baronnie de Quélen a passé par mariage au XVIIIe siècle aux Sénéchal de Carcado.
La branche de Saint-Bihy fondue en 1654 dans Bréhand ; la branche du Dresnay fondue au XVIIIe siècle clans Montigny.