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abbé de la Chaume en 1671; un abbé de Notre-Dame du Bourg, évêché de Nantes, en 1718; un maréchal de camp en 1744, marié dans la maison de la Rochefoucauld de Roye, père d'un colonel au régiment de Soissonnais, tué au col d'Exiles en 1747. Fondu en 1752 dans Kerhoënt.
LOQUET, voyez LOCQUET.
LORET, Sr de la Villedavy et de Penguilly, par. de Mauron, — de la Villegoyat, par. de Taupont, — de Kerivoalen , par. de Saint-Allouestre, — du Poulduc et de Kerhervé, par. de Saint-Jean-Brévelay, — de Lestrehan et de Kerlan , par. de Ploeren , — de la Ragotière, par. de Vallet, —du Boisboyer.
Anc. ext., réf. 1669, six gén.; réf. et montres de 1426 à 1536, dites par., év. de Saint-Malo, Vannes et Nantes.
D'argent au sanglier rampant de sable.
Macé, ambassadeur du duc en Angleterre pour la restitution de la ville et château de Brest en 1393; Pierre, conseiller du duc et sénéchal de Broërec en 1418, épouse Jeanne de Neuville, dont : 1° Jean, sénéchal de Vannes de 1445 à 1464, marié à Marie de Penguilly ; 2° Gilles, marié à Honorée Cresolles; 3° Alain, abbé de la Chaume en 1456.
LORFEUVRE, voyez ORFÈVRE (L').
LORGERIE (DE), voyez MÉTAËR (LE).
LORGERIL (DE), voyez LAMBERT.
LORGERIL (DE), Sr dudit lieu, par. de Plorec, — du Bodou et de Repentigné, par. de Trévérien , — de Tressaint, par. de ce nom, — de Boisjean, par. de Ploubalay, — de la Tourniole, par. de Pleudihen , —de la Vigne, par. de Plurien, — de l'Estourbillonnaye, par. d'Ercé, — de la Villegoures, par. de Tramain, —de Follideuc, par. de Saint-Ygneuc, —de la Houssaye, — de la Chesnaye, — de Trévascoët, — de Kerver, — de la Motte, par. de Plesder.
Anc. ext. chev., réf. 1668, sept gén.; réf. et montres de 1423 à 1535, par. de Plorec, Trévérien et Ploubalay, év. de Saint-Malo, Tressaint, év. de Dol, Tramain et Jugon, év. de Saint-Brieuc.
De gueules au chevron (aliàs : à la bande) d'hermines, accomp. de trois molettes d'or (sceau 1581), voyez BOISADAM, BOISBILLY, CHALONGE et CICÉ.
Alain, croisé en 1248 ; Henry, entendu dans l'enquête pour la canonisation de Charles de Blois en 1370; Simon, maître d'hôtel de Louis, dauphin de Viennois, fait chevalier par le connétable de Richemont au siége de Montereau en 1437, épouse Gillette de Lanvallay, dont: 1° Jean, Sr de Lorgeril, qui a continué la branche aînée ; 2° Guillaume, vivant en 1479 , marié 1° à Jeanne de Boisadam, 2° à Catherine de la Richelais.
Un page du Roi en 1721 ; un président de la noblesse par élection aux États de 1756; un aide de camp du général La Moricière à Castelfidardo en 1860.
La branche aînée, alliée aux Coëtquen, Espinay, Guémadeuc, Parthenay, etc., s'est fondue en 1502 dans Rohan-Landal, puis Maure et Rochechouart.
LORGES, par. d'Allineuc, év. de Saint-Brieuc.
La seigneurie de Quintin fut érigée en duché en 1691 en faveur de Guy-Aldonce de Durfort, maréchal de France, qui obtint la mutation du nom de Quintin en celui de Lorges en 1706. Voyez QUINTIN.