Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 285 à 285 sur 336

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Recueil Clairambault-Maurepas : chansonnier historique du XVIIIe siècle. 9 / publié avec introduction, commentaire, notes et index par Émile Raunié,...

Auteur : Maurepas, Jean-Frédéric Phélypeaux (1701-1781 ; comte de). Auteur du texte

Auteur : Clairambault, Pierre (1651-1740). Auteur du texte

Éditeur : A. Quantin (Paris)

Date d'édition : 1879-1884

Contributeur : Raunié, Émile (1854-1911). Éditeur scientifique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb309114772

Notice d'ensemble : Notice de recueil : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44283282g

Relation : Appartient à : [Dépôt de la Commission de récupération artistique, sous-commission des livres]

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 10 vol. : portraits à l'eau-forte par Rousselle ; in-8

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5401475c

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, 8-YE-86 (9)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 21/09/2009

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 100%.


228 Clairambault-Maurepas.

D'un diable en fureur c'est le jeu.

On frémit, elle est redoutable

Comme un con..., comme un connétable 1.

Luzzy obtient avec raison Les éloges les plus sincères; Elle rend tous les caractères, On l'applaudit à l'unisson. Mais où Luzzy est précieuse, C'est en cu..., c'est en curieuse.

Fanier, que chante maint auteur, Inspire ce qu'ils disent d'elle ; Toujours vive et toujours nouvelle, De leur verve excite l'ardeur; Et, pour augmenter leur flamme, Elle fou..., elle fournit l'âme.

Doligny, bravant les amours, Plaît sans avoir fait parler d'elle; Son coeur est pur, son âme est belle, Elle se rit des vains discours, En réduisant le coeur des femmes, Ebranlant, ébranlant leurs âmes 2.

1. « J'ai vu jouer MIIes Sainval et Mme Vestris. Les deux premières pleuraient un peu trop constamment, mais elles me semblaient, surtout la cadette, plus tragédiennes que Mme Vestris, qui, toute belle qu'elle était, n'a jamais obtenu de grands succès, si ce n'est dans le rôle de Gabrielle de Vergy, où l'effet qu'elle produisait au dernier acte était déchirant. » (Souvenirs de Mme Vigée-Lebrun.)

2. On la dit tribade. (M.)